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64 - 2011, Vœu déposé par le groupe socialiste, radical de gauche et apparentés relatif à la mise en place du programme Paris Santé Nutrition dans les centres d’animation du 13e. Vœu déposé par le groupe E.E.L.V.A. relatif aux centres d’animation et au programme Paris Santé Nutrition. Vœu déposé par l’Exécutif.



M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Nous passons maintenant � l?examen des v?ux r�f�renc�s nos 56, 57 et 57 bis dans le fascicule, d�pos�s respectivement par les groupes socialiste, radical de gauche et apparent�s, E.E.L.V.A. et l?Ex�cutif, relatifs aux centres d?animation et au programme Paris Sant� Nutrition.

Le premier va �tre pr�sent� par Mme Marie-Annick BARTHE, le suivant par M. Yves CONTASSOT, les deux en une minute, et M. Bruno JULLIARD r�pondra.

Mme BARTHE, vous avez la parole.

Mme Marie-Annick BARTHE. - Bien, Monsieur le Maire.

Le premier v?u est un v?u qui concerne le programme ?Paris Sant� Nutrition?, qui est destin� � pr�venir le surpoids et l?ob�sit�. Le 13e est l?un des trois arrondissements pilotes de ce programme avec le 19e et le 15e. Ce programme associe les familles, les �coles, mais aussi les associations et, bien entendu, les structures d?accueil de la Ville de Paris qui accueillent les petits parisiens.

Or, il se trouve que dans un centre d?animation du 13e, le centre Daviel, les distributeurs de snacks, confiseries et autres sodas ont remplac� la petite buvette qu?il y avait dans ce centre. Ce changement, bien entendu, va � l?encontre des objectifs qui sont recherch�s � travers Paris Sant� Nutrition, et ceci d?autant que les op�rations de sensibilisation de ce programme sont programm�es en 2011, notamment dans ce centre d?animation.

Ce qui est ici demand� par les �lus du groupe socialiste, radical de gauche et apparent�s, c?est qu?une solution alternative � ces distributeurs de snacks et boissons sucr�es conforme au programme ?Paris Sant� Nutrition? soit mise en place sur ce centre d?animation de Daviel et, bien entendu, que ces d�marches soient �tendues aux cinq autres centres d?animation du 13e arrondissement.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci.

La parole est � M. Yves CONTASSOT, pour nous pr�senter le v?u n� 57.

M. Yves CONTASSOT. - Merci.

J?aurais pu pr�senter aussi le v?u n� 56, puisque c?est nous qui l?avons d�pos� dans le 13e arrondissement ; je regrette d?ailleurs qu?il ne soit pas indiqu� dans l?intitul� de ce v?u qu?il a �t� d�pos� � notre initiative, mais ce n?est pas grave.

Le v?u n� 57 vise � aller au-del� du v?u n� 56 qui concernait stricto sensu le 13e arrondissement pour �tendre les m�mes dispositions � l?ensemble des centres d?animation de Paris.

Je dis tout de suite que nous le retirons au profit du v?u de l?Ex�cutif apr�s en avoir discut� avec Bruno JULLIARD.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci beaucoup.

En r�ponse � ces deux v?ux, l?Ex�cutif a d�pos� le v?u n� 57 bis, qui nous est pr�sent� par M. Bruno JULLIARD.

M. Bruno JULLIARD, adjoint. - Tr�s bri�vement, d?abord, je donne raison � Yves CONTASSOT, effectivement, le v?u n� 56 a �t� d�pos� par J�r�me COUMET et les �lus du groupe socialiste apr�s un d�bat dont l?origine est effectivement Yves CONTASSOT et le groupe ?Europe Ecologie - Les Verts et Apparent�s?.

Quelques mots tr�s brefs, d?abord pour saluer l?initiative des deux v?ux qui nous sont propos�s, notamment pour souhaiter la mise en place d?une politique plus volontariste de pr�vention sur la nutrition dans les centres d?animation.

Les centres d?animation, qui sont des endroits � vocation d?�ducation, notamment pour un jeune public, doivent �tre exemplaires dans le domaine, donc je donne �videmment, au nom de l?Ex�cutif, un avis tr�s favorable � la recherche de solutions alternatives aux distributions de snacks et de boissons.

Malheureusement, il n?est pas toujours possible de supprimer des distributeurs automatiques, notamment pour des raisons budg�taires et �conomiques ; on ne peut pas toujours mettre une buvette avec un personnel � temps plein. Lorsque c?est possible, il faut que ce soit le cas, cela me para�t �tre la meilleure des solutions. Sinon, pour le reste, il faut que nous utilisions la possibilit� de supprimer, dans ces distributeurs, toutes les boissons ou confiseries qui ne correspondent pas au Plan sant� que la Ville soutient.

En revanche, en ce qui concerne les piscines, la question est l�g�rement diff�rente, puisque des mesures ont �t� d�j� prises depuis 2004 et le cahier des charges mis en ?uvre par les fournisseurs des distributeurs des �quipements sportifs, c?est : ?doivent s?engager � proposer des prestations vari�es, adapt�es au caract�re sportif des sites concern�s?.

Bref, pour toutes ces raisons, nous avons propos� un v?u bis en remplacement des deux v?ux pr�c�dents s?ils acceptent de les retirer, bien �videmment.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci.

J?ai bien not� que les v?ux nos 56 et 57 �taient retir�s au b�n�fice du v?u n� 57 bis.

Je mets donc aux voix, � main lev�e, le projet de v?u d�pos� par l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

Le projet de v?u est a adopt�. (2011, V. 27).

Chers coll�gues, Christophe NAJDOVSKI est en train de nous rejoindre, mais il n?est pas encore tout � fait l�, donc nous allons sauter les quatre projets de d�lib�ration, nous y reviendrons tout � l?heure, et avec son accord, nous allons proposer � Jean VUILLERMOZ de prendre tout de suite le relais.

Février 2011
Débat
Conseil municipal
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