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M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Nous passons � l?examen du v?u r�f�renc� n� 64 dans le fascicule, d�pos� par le groupe socialiste, radical de gauche et apparent�s, relatif au maintien des personnels sp�cialis�s au Centre m�dico-psychop�dagogique Claude Bernard, dans le 5e.

La parole est � Mme Olivia POLSKI.

L�, vous avez l?occasion de vous exprimer ! Vous disposez d?une minute encore.

Mme Olivia POLSKI. - Merci. Je pense que, si c?est de nouveau M. MENGUY qui me r�pond, on risque d?avoir encore le droit � d?autres informations auxquelles je ne pourrai pas, de nouveau, r�pondre mais on va continuer ainsi !

Je vais donc pr�senter le v?u de Mme Lyne COHENSOLAL qui ne peut pas �tre l� maintenant mais qui tenait particuli�rement � ce que cela puisse �tre pr�sent� ce soir, au sujet du maintien des personnels sp�cialis�s de l?Education nationale au Centre m�dico-psychop�dagogique Claude Bernard, situ� 20 rue Larrey � Paris, 5e.

En effet, il y a eu, parmi les nombreuses annonces de suppression de postes, une r�cente annonce de suppression des deux derniers postes Education nationale du C.M.P.P., ce qui mettrait en danger le lien indispensable entre le monde du soin et celui de l?�ducation dans ce C.M.P.P.

Sur proposition de Lyne COHEN-SOLAL et des �lus du groupe Socialiste, Radical de gauche et Apparent�s, le Conseil de Paris �met le v?u que le Maire de Paris intervienne aupr�s du recteur de l?Acad�mie de Paris, afin de demander le maintien des personnels sp�cialis�s de l?Education nationale au Centre m�dico-psychop�dagogique Claude Bernard, situ� 20 rue Larrey.

Je vous remercie.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci.

Madame Colombe BROSSEL, vous avez la parole.

Mme Colombe BROSSEL, adjointe. - Je vais essayer de r�pondre parce que je sens le d�bat qui s?instaure entre Olivia POLSKI et Jean-Baptiste MENGUY et je vois mon utilit� qui d�cro�t au fur et � mesure de la s�ance. C?est tr�s vexant !

Nouvelle illustration du fait que c?est l� qu?il faudrait, au contraire, mettre plus d?accompagnement, c?est l� qu?il faudrait, au contraire, aider les plus faibles, ceux qui ont le plus de difficult�s, ceux qui ont le plus besoin du service public, c?est � nouveau l� que l?on tape, avec des proc�d�s qu?il est difficile de qualifier sans porter de jugement mais qui sont parfois au-del� m�me de la mesquinerie. On le verra sur le v?u suivant. Quand on s?attaque � l?�cole et � l?h�pital, quand on s?attaque aux enfants qui sont, par principe, les plus fragilis�s et qu?on les prive de cet acc�s � l?�ducation pendant une p�riode de leur vie particuli�rement difficile, tout cela pour gratter un poste, deux postes, trois postes, pour remplir les obligations qui vous ont �t� transmises par le minist�re, je crois qu?on est en train de tomber v�ritablement tr�s bas.

Bien entendu, je relaierai, nous relaierons aupr�s du rectorat de Paris la demande de maintien de ces personnels, que ce soit pour le C.M.P.P. ou que ce soit, j?anticipe, sur le poste d?enseignant sp�cialis� au sein du groupe scolaire de l?h�pital Sainte-Anne.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u d�pos�e par le groupe socialiste, radical de gauche et apparent�s, assortie d?un avis favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est adopt�e. (2011, V. 131).

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