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71 - 2011, Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif au parking situé avenue de la porte Briançon (15e).



M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous passons � l?examen du v?u r�f�renc� n� 51 dans le fascicule, d�pos� par le groupe U.M.P.P.A., relatif au parking situ� avenue de la porte Brancion.

La parole est � M. MENGUY.

M. Jean-Baptiste MENGUY. - Merci, Monsieur le Maire.

C?est un v?u qui fait suite � une demande des riverains sur un secteur au niveau de la porte Brancion, au niveau boulevard du p�riph�rique, au-dessus en tout cas, qui a �t� neutralis� lors des travaux de couverture du p�riph�rique.

C?�tait une zone qui servait � l?origine pour des places de stationnement et qui, en l?�tat actuel, porte toujours des palissades de chantier et ne s?est toujours pas vu restituer sa destination d?origine.

L?id�e de ce v?u est qu?au moins la destination d?origine, c?est-�-dire un parking, puisse lui �tre rendu, ou alors, �ventuellement, un autre �quipement.

Je profite des quelques secondes qui me restent pour, ici, saluer le travail de l?adjointe de quartier du quartier Brancion-Brassens - les conseils de quartier sont � l?honneur dans cette 3e Commission et je trouve cela bien - pour saluer donc le travail de Louisa FERHAT, qui a �t� r�cemment nomm�e Chevalier dans l?Ordre national du M�rite. Je crois que, comme dit l?expression, franchement, elle le m�rite !

Je vous remercie.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Vous la f�liciterez de notre part.

Je donne la parole � Mme LEPETIT.

Mme Annick LEPETIT, adjointe. - Merci, Monsieur le Maire.

Concernant ce v?u, je voulais r�pondre � M. MENGUY et insister un tout-petit peu quand m�me sur cette question, que lorsque vous demandez la r�ouverture d?un parking, il ne peut pas y avoir de r�ouverture ; il peut y avoir �ventuellement une ouverture, mais pas une r�ouverture, puisque ce parking n?existait pas, en tout cas l�galement, je tiens � rappeler que c?�tait un parking sauvage. Il faut quand m�me dire les choses telles qu?elles sont.

Ceci dit, j?en conviens, ce n?est pas satisfaisant de laisser en l?�tat un tel espace situ� au-dessus de la nouvelle couverture du boulevard p�riph�rique et les services de la Direction de la Voirie et des D�placements ont propos� un am�nagement, mais le maire de Vanves, qui a �t� consult�, a donn� un avis d�favorable � l?installation du b�timent propos�. Il souhaite, lui, un espace d�gag�.

Nous travaillons donc � un nouveau projet susceptible de recevoir l?accord du Maire de Vanves et, bien s�r, un projet qui fait place aux pi�tons d?abord et aux circulations douces, afin, bien s�r, d?�tre en phase avec l?objectif final du projet de couverture.

Voil� o� nous en sommes.

Donc, je ne peux pas, aujourd?hui encore, et j?en suis d�sol�e, Monsieur MENGUY, donner un avis favorable � votre v?u.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Parfait !

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

2001, V?u d�pos� par M. Jean-Fran�ois MARTINS relatif � l?avenue du G�n�ral Leclerc.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous passons � l?examen du v?u r�f�renc� n� 52 dans le fascicule, d�pos� par M. Jean-Fran�ois MARTINS, relatif � l?avenue du G�n�ral Leclerc.

La parole est � M. MARTINS, une minute.

M. Jean-Fran�ois MARTINS. - Oui, Monsieur le Maire.

L?Ex�cutif a souvent tendance � rappeler qu?il a �t� �lu sur des engagements et qu?il les tiendrait aupr�s des Parisiens.

L?avenue du G�n�ral Leclerc fait typiquement partie des promesses que vous avez faites en d�but de premi�re mandature, que vous avez faites en d�but de seconde mandature, et dont les habitants de l?avenue du G�n�ral Leclerc ne voient toujours pas la concr�tisation.

L?avenue du G�n�ral Leclerc et la porte d?Orl�ans sont des points noirs de Paris, l?un des pics de pollution les plus importants, l?une des avenues les plus accidentog�nes et, �videmment, un enfer � vivre pour les riverains.

Le conseil de quartier Mouton-Duvernet a adopt� un v?u dans le cadre des proc�dures de d�mocratie locale qui ont cours dans le 14e arrondissement, le Conseil d?arrondissement a vot� un v?u � l?unanimit� le 31 janvier et le maire du 14e arrondissement, Pascal CHERKI, n?a pas jug� bon de d�poser ce v?u pourtant vot� � l?unanimit� en Conseil de Paris ; je le fais donc aujourd?hui pour demander � la Ville de Paris qu?elle �tablisse enfin un calendrier de travaux, d?�tudes pour l?am�nagement de l?avenue du G�n�ral Leclerc et de la porte d?Orl�ans, qu?elle rende public ce calendrier et que celui-ci pr�voie notamment le d�but des travaux avant la fin de la mandature pour montrer que vous respectez votre engagement ; c?est une question civique et de confiance de nos concitoyens, Monsieur le Maire.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Mais bien s�r !

Mme LEPETIT va vous r�pondre.

Mme Annick LEPETIT, adjointe. - Merci, Monsieur le Maire.

Monsieur MARTINS, vous n?ignorez pas que le maire du 14e, Pascal CHERKI, suit de tr�s pr�s ce dossier, vous n?ignorez pas non plus que suite aux d�cisions qu?il a prises lors d?une r�union du 10 f�vrier dernier, la Direction de l?Urbanisme est en charge d?�laborer, bien s�r en relation avec la Direction de la Voirie et des D�placements, un cahier des charges, ainsi qu?un cahier d?�tudes, afin de cibler le p�rim�tre qui concerne le p�rim�tre du secteur, qui inclut, d?une part, la porte d?Orl�ans et la place Denfert-Rochereau et, d?autre part, le quartier de la porte de Montrouge.

Il y a aujourd?hui des �tudes qui sont en cours. Compte tenu des dossiers, compte tenu de l?ampleur du dossier, compte tenu aussi que l?avenue du G�n�ral Leclerc est un axe qui rel�ve de la comp�tence de la Pr�fecture de police, les propositions d?am�nagement, lorsque nous serons en mesure de les faire, devront �tre d�finies avec les services du Pr�fet de police, comme nous l?avons fait d?ailleurs, et ce n?�tait pas un probl�me en soit, pour la place de la R�publique ou pour les Grands Boulevards, par exemple.

Les �tudes qui sont engag�es aujourd?hui ont pour objectif, bien s�r, une meilleure s�curit� des usagers, la r�duction de la congestion, de la pollution de l?air et des nuisances sonores. Je pense que nous aurons l?occasion d?en reparler puisque, encore une fois, c?est un dossier qui est suivi de pr�s par la mairie du 14e.

Je propose donc, bien s�r, Monsieur le Maire, un vote d�favorable.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous vous avons entendu, mais, auparavant, M. MERCIER veut faire une explication de vote.

M. Etienne MERCIER. - Oui, une rapide explication de vote, parce que je ne comprends pas qu?on mette en cause le maire du 14e, alors que dans ce d�bat sur l?avenue du G�n�ral Leclerc, le v?u dont parle Jean-Fran�ois MARTINS est un v?u que j?ai moi-m�me corrig� avec le conseil de quartier en tant que responsable de l?espace public.

Or, il avait �t� convenu que M. CHERKI, dans le cadre du d�bat g�n�ral sur les transports, pr�senterait la probl�matique de l?avenue du G�n�ral Leclerc comme celle de la porte d?Orl�ans, ainsi m�me que la passerelle du R.E.R. B.

J?ai envoy� tout le r�cit de l?intervention de M. CHERKI � tous les membres de ce conseil de quartier et il a �t� convenu qu?il fallait fonctionner comme cela.

Je trouve cela un peu maladroit de pr�senter ce v?u aujourd?hui, comme si Jean-Fran�ois MARTINS �tait le seul � d�fendre l?avenue du G�n�ral Leclerc.

Je terminerai mon explication de vote en disant que non seulement nous avions convenu cela, mais nous avons une enveloppe annuelle de 250.000 euros pour entretenir cette avenue, l?embellir, le tout d�pens� sou par sou avec le conseil de quartier en concertation pleine, totale et continue.

Je trouve vraiment cela? je redis maladroit mais j?en pense beaucoup plus.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Tr�s bien.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u d�pos�e par M. Jean-Fran�ois MARTINS, assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Mai 2011
Débat
Conseil municipal
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