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114 - 2002, DAEE 17 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer avec l'Office de tourisme et des congrès de Paris une convention. - Subvention audit Office. - Montant : 7.060.490 euros


M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Nous passons au projet de d�lib�ration DAEE 17 relatif � la signature avec l'Office de tourisme et des congr�s de Paris d'une convention. - Subvention audit Office. - Montant : 7.060.490 euros.
Melle Charlotte NENNER n'�tant pas l�, je donne la parole � Sylvain GAREL.
M. Sylvain GAREL. - Merci, Monsieur le Maire.
J'en profite pour vous dire de ne pas oublier le voeu n� 32 qui rel�ve de la 9e Commission, qui n'a pas �t� examin� ; je souhaiterais que les v?ux soient pr�sent�s dans l'ordre o� ils doivent l'�tre m�me en l'absence du maire-adjoint concern�.
Concernant l'Office du Tourisme, deux ou trois petites choses car il est tard et je pense qu'on a d'autres d�bats encore qui nous attendent.
On se f�licite que dans ce contrat qui est sign� avec l'Office, soit r�affirm� le d�veloppement du tourisme social et aussi la volont� de d�centralisation qui nous semble vraiment importante, m�me si nous pensons qu'il faut aller au-del� des agents d'accueil, approfondir cette d�centralisation, qu'il y ait un accueil des touristes dans toutes les zones touristiques parisiennes. C'est un bon d�but, mais on pourrait aller plus vite et plus loin.
L'Office du Tourisme vient de changer de Directeur et de Pr�sident ; on comprend qu'il y ait eu pendant un moment une esp�ce de flottement, mais nous souhaiterions que les instances charg�es de sa gestion, � la fois le Conseil d'administration et le bureau, se r�unissent plus souvent pour qu'il y ait une v�ritable communication r�guli�re sur les orientations et d�finitions des activit�s de l'Office du Tourisme de Paris.
Nous souhaiterions enfin que l'on s'interroge sur le statut de l'Office car la subvention de la Ville de Paris continue � augmenter, alors que celle de la Chambre de commerce et de l'artisanat de Paris est de plus en plus faible en proportion. Nous pensons que le d�s�quilibre atteint un tel point qu'il n'y a plus de paritarisme dans le financement de l'Office et qu'il faudrait trouver une solution � ce probl�me.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - La parole est � M. LEBAN.
M. G�rard LEBAN. - Merci, Monsieur le Maire.
Je constate avec joie que la majorit� municipale a souhait� continuer l'effort entrepris par ses pr�d�cesseurs. En effet, rien de tr�s innovant dans le programme d'actions 2002 que l'Office du Tourisme entend mener !
Je souhaite n�anmoins aborder trois points qu'il me semble int�ressant d'�claircir.
Tout d'abord, j'ai constat� avec plaisir que la Municipalit� entend reconduire les grandes actions de promotion � l'�tranger initi�es pr�c�demment par l'Office du Tourisme et des Congr�s de Paris. "Paris, capitale de la Mode" est une op�ration qui a su faire ses preuves. Il �tait donc raisonnable de la r�it�rer. La promotion aupr�s de grands pays r�cemment attir�s par notre Ville, tels que la Chine ou le Japon, doit �tre intensifi�e. La strat�gie de promotion de la France � l'�tranger est donc reconduite, ce qui tend � prouver que les efforts entrepris depuis des ann�es ont fait leurs preuves.
De plus, les actions d'information mises � la disposition des touristes, notamment en ce qui concerne les �ditions, sont, elles aussi, identiques � celles que nous avions d�velopp�es en leur temps.
Seule v�ritable nouveaut�, la d�centralisation des points d'information. L'op�ration des "Ambassades de l'Accueil" a �t� largement approuv�e par le Conseil d'administration de l'Office du Tourisme car elle permet de rendre notre Capitale encore plus conviviale et accueillante pour les touristes fran�ais et �trangers.
Globalement, le budget consacr� � la promotion est augment� de 12 %.
Comment ne pas s'en r�jouir !
Seul hic, alors que toutes les op�rations sont reconduites dans leur globalit� et qu'une manifestation suppl�mentaire d'envergure est mise en place dans le cadre de la d�marche de communication et d'accueil "un �t� � Paris", comment pourront-elles �tre financ�es par une hausse de 2,89 % seulement de l'enveloppe globale qui sera accord�e � l'Office du Tourisme, sachant que la subvention vers�e par la Ville constitue plus de 50 % de ces recettes ? Existe-t-il des rent�es � venir qui n'apparaissent pas dans les chiffres qui nous ont �t� donn�s ?
Il me semble l�gitime de poser la question.
Autre probl�me et non des moindres, l'augmentation du loyer de l'Office du Tourisme. Il n'en est fait mention nulle part. Or, Monsieur le Maire, je souhaiterais vivement conna�tre, et je suis s�r que mes coll�gues sont aussi curieux que moi, je souhaiterais savoir ce qu'il en est de ce loyer qui risque d'�tre multipli� par trois d�s le 1er septembre prochain. La logique comptable voudrait que cette d�pense ait �t� provisionn�e dans le budget de l'Office. Ce ne semble pas �tre le cas.
L'adresse prestigieuse des Champs-Elys�es sera probablement abandonn�e au profit d'une autre, moins co�teuse, mais il me semble indispensable de rester pr�voyant en cas de contentieux avec le propri�taire. A ma connaissance, le d�m�nagement n'est pas � l'ordre du jour. Aussi, Monsieur le Maire, pouvez-vous nous dire clairement o� en sont les n�gociations ? Avez-vous obtenu des d�lais ? O� en est-on de la recherche de nouveaux locaux si cette solution est privil�gi�e ?
Enfin, dernier point et non des moindres, "l'accompagnement de l'essor du tourisme social".
Je ne vois nulle part la d�finition de ce terme voulu par votre majorit� d�s votre �lection. N'est-ce qu'une ligne anodine dans un projet de d�lib�ration noy� au milieu de centaines d'autres ou une volont� r�elle d'ouvrir le tourisme de la Capitale au plus grand nombre ? Je ne suis pas certain que vous le sachiez vous-m�me.
A moins que vous n'ayez accept� ce concept que pour satisfaire vos amis "Verts". La nouvelle donne �lectorale fran�aise vous a peut-�tre fait revenir sur vos positions.
L� encore, comme vous l'avez fait pour le bois de Boulogne pour le contrat r�seaux verts, vous nous soumettez un catalogue de bonnes intentions avec la volont� � peine masqu�e de nous voir vous donner carte blanche pour vous permettre d'assouvir vos desiderata.
Ce projet manque de clart�. Il nous donne � peine quelques orientations de la politique qu'entend mener l'Office du Tourisme et des Congr�s de Paris.
Promouvoir notre ville est capital (sans mauvais jeu de mot). Je souhaiterais que les responsables de l'Office s'expliquent plus concr�tement sur les orientations qu'ils entendent donner � sa promotion puisque ce sont les Parisiens qui la financent pour environ 7 millions d'euros. Ils sont en droit de savoir ce qui sera effectivement fait de leur contribution.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Madame KUSTER, vous avez la parole.
Mme Brigitte KUSTER. - Je ne reviendrai pas sur les propos, que je partage, de G�rard LEBAN.
J'ai une petite interrogation tr�s pr�cise concernant les grands chantiers qu'a d�finis M. BROS en mati�re de tourisme � Paris ; j'ai sous les yeux une brochure, j'allais dire une de plus car j'ai remarqu� que chaque adjoint faisait sa petite brochure en quadri, tout cela est fort sympathique, mais pas tr�s �conomique. Dans une interview, Monsieur BROS, je me permets de vous citer, on vous demande vos grands chantiers et vous dites : "Cela concerne tout d'abord le tourisme d'affaire, en particulier les foires et salons pour lesquels nous subissons une tr�s vive concurrence de la part des grandes villes allemandes o� les L�nder ont investi massivement de l'argent public pour r�aliser des infrastructures performantes. La Ville de Paris doit se pencher d'urgence sur ce dossier, comme le disent depuis des ann�es les professionnels, peu �cout�s jusqu'� pr�sent, il faut le dire".
Monsieur BROS, excusez-moi, l'argent public, n'est-ce pas l'argent de l'Etat ? Quel �tait le Gouvernement ces cinq derni�res ann�es ?
Donc, si jamais vous estimez que les professionnels n'ont pas �t� �cout�s, inqui�tez vous d�j� de ce qu'a fait le Minist�re du Tourisme de Mme DEMESSINE. Dire qu'ils n'ont pas �t� �cout�s par la pr�c�dente mandature me para�t un petit peu os�.
En revanche, sur la promotion du tourisme d'affaires - c'est l� une question et n'y voyez pas de malice de ma part - je vois qu'il y a une baisse de 58 % par rapport � 2001 sur les d�p�ts de candidatures pour les congr�s.
Auriez-vous, s'il vous pla�t, l'amabilit� de m'expliquer � quoi est due cette baisse signal�e dans cette d�lib�ration et qui me para�t contradictoire avec vos priorit�s ? Et cela, c'est quelque chose qui avait lieu � l'�poque o� vous �tiez d�j� en charge de ce domaine.
Je vous remercie.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Merci.
Monsieur LEBEL, vous avez la parole.
M. Fran�ois LEBEL, maire du 8e arrondissement. - Monsieur le Maire, l'Office du Tourisme de Paris que vient d'�voquer notre coll�gue G�rard LEBAN me conduit � �voquer deux questions qui y sont rattach�es.
La premi�re concerne la taxe sp�cifique qui a �t� cr��e il y a quelques ann�es sur l'h�tellerie.
Le produit de cette taxe doit �tre affect� de fa�on tr�s g�n�rale au d�veloppement touristique de Paris. Cela signifie que son produit pourrait tr�s largement payer le nouveau loyer de l'Office dont on vient d'apprendre qu'il pourrait �tre, au mois de septembre, multipli� par 3.
Pourquoi cette solution n'a-t-elle pas �t� envisag�e ?
Aussi, Monsieur le Maire, les �lus de Paris souhaiteraient conna�tre le montant des sommes per�ues par la Ville au titre de cette taxe sur les h�tels en 2001 et l'affectation que vous leur avez donn�e. Je ne crois pas avoir vu ces �l�ments figurer au budget 2002, ni d'ailleurs au modificatif que nous venons de voter.
La seconde question est plus g�n�rale, elle concerne la situation et les probl�mes tr�s sp�cifiques que pose l'avenue des Champs-Elys�es o� est situ�, vous le savez, le si�ge de l'Office du Tourisme de Paris.
Le cas de l'Office du Tourisme, dont la Ville ne peut plus payer le loyer - � moins que vous ne nous disiez le contraire - est � ce titre exemplaire, car ce qui est vrai pour la Ville l'est a fortiori pour les commer�ants qui y sont �tablis, qu'il s'agisse des caf�s, des restaurants ou des cin�mas, ou plus g�n�ralement de tout ce qui fait des Champs-Elys�es un des lieux les plus fr�quent�s du monde entier par les touristes, on pourrait dire m�me le symbole de Paris tout autour du monde.
Or, que peut-on observer en particulier depuis la r�novation si spectaculaire r�alis�e il y a une dizaine d'ann�es et qui fut une r�ussite remarquable ? Elle a ressuscit� l'avenue, relanc� son attrait aupr�s des millions de touristes.
Essentiellement, on a observ� une flamb�e des prix de l'immobilier et sp�cialement des baux commerciaux. Les tarifs qui sont pratiqu�s aujourd'hui - la Ville en sait quelque chose - sont parmi les plus �lev�s du monde, pour ne pas dire les plus �lev�s du monde. Evidemment, ces prix sont justifi�s par la commercialit� exceptionnelle de l'avenue des Champs-Elys�es, ils sont le r�sultat de l'offre et de la demande et, �videmment, il n'est pas possible d'y �chapper. Mais ce faisant, la logique �conomique pousse la totalit� des grands groupes commer�ants � s'implanter sur l'avenue, au d�triment des activit�s culturelles, para-culturelles ou de loisirs, moins rentables et donc incapables de suivre la flamb�e des prix. Ce sont donc paradoxalement les �tablissements qui ont fait et font encore la r�putation incomparable des Champs qui tendent � dispara�tre. Il faut rappeler que le Fouquet's, figure embl�matique, ne fut sauv� � l'�poque que par une action...
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Vous avez termin� votre temps de parole, je crois qu'il faut faire court.
M. Fran�ois LEBEL, maire du 8e arrondissement. - J'ai cinq minutes, je les utilise.
Rappelons aussi que les cin�mas ont perdu plus de la moiti� de leurs fauteuils en quelques ann�es et que les caf�s, malgr� la bouff�e d'oxyg�ne que j'avais r�ussi � leur obtenir sous la forme de contre-terrasses, peinent � ne pas laisser la place aux marchands de textile. Le Lido lui-m�me a bien failli partir.
Le devoir de la Ville, Monsieur le Maire, est de prot�ger en priorit�, par tous les moyens, ce qui est l'embl�me de notre Capitale. Si on ne peut pas toucher � la loi bicentenaire sur la libert� du commerce ou aux lois du march�, qui ne sont pas davantage contournables, il reste que le lib�ralisme n'est pas l'anarchie, vous ne me direz pas le contraire. Vous avez les moyens d'intervenir, si vous en avez la volont�, par les permis de construire - et la loi S.R.U. vous le permet d�sormais - par les r�glements particuliers que vous pouvez prendre ou simplement faire respecter lorsqu'ils existent, par la C.D.E.C. �galement...
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur LEBEL, vraiment, je vous demande de terminer.
M. Fran�ois LEBEL, maire du 8e arrondissement. - ... enfin, par des demandes de classement � tel ou tel titre et au coup par coup ; c'est d'ailleurs dans cette derni�re voie que je vous incite � agir rapidement si vous ne voulez pas attacher votre nom au d�clin de ce qu'on nomme encore "la plus belle avenue du monde".
Je vous remercie.
(Applaudissements sur les bancs des groupes "Rassemblement pour la R�publique et apparent�s", "D�mocratie lib�rale et Ind�pendants", "Ensemble pour Paris" et Union pour la d�mocratie fran�aise).
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Merci.
Monsieur BROS, vous avez la parole.
M. Jean-Bernard BROS, adjoint, au nom de la 2e Commission. - Merci. Je vais r�pondre dans le d�sordre en commen�ant par M. LEBEL.
Monsieur LEBEL, le montant de la taxe de s�jour est, en francs, de 140 millions. Je n'ai pas le d�tail sous les yeux puisque vos questions ne m'ont pas �t� transmises � l'avance. En tout cas, je regrette qu'en 2e Commission personne ne se soit int�ress� � cette d�lib�ration, puisque aucune question ne m'a �t� pos�e lors de la r�union de la 2e Commission.
Aujourd'hui, on me pose plein de questions qui sont tr�s techniques et je voudrais �pargner � mes coll�gues une litanie de chiffres � leur lire et un certain nombre de d�tails.
Pour autant, sur ces 140 millions, environ 50 millions reviennent � l'Office du Tourisme. La diff�rence �tait d�j� affect�e par l'�quipe pr�c�dente, pour partie � l'entretien des bois de Boulogne et de Vincennes, de la place de la Concorde et d'un certain nombre de lieux touristiques de Paris. Mais je pourrai, d�s que vous le souhaitez, vous en transmettre le d�tail.
Nous n'avons rien chang� � cela.
J'essaye, moi, d'ann�e en ann�e, en tout cas pour cette ann�e et l'ann�e prochaine, d'obtenir un peu plus sur ce budget sur cette taxe de s�jour. C'est effectivement en chemin. C'est difficile puisque la diff�rence est d�j� affect�e pour l'entretien du patrimoine dit touristique.
Monsieur GAREL, plus de r�unions et plus d'informations, c'est en route, vous le savez puisque vous faites partie aussi du Conseil d'administration de l'O.T.C.P. On a d� effectivement changer un certain nombre d'�l�ments des �quipes, mais tout cela est en train de se mettre en route. Quant au plus de lisibilit� que vous demandez, vous l'aurez, je vous l'assure, dans les semaines � venir.
Monsieur LEBAN, sur la promotion � l'�tranger, rien de ce c�t�-l� n'a chang� et nous faisons un effort. L'�quipe �tait au Japon r�cemment, elle sera en Chine au mois d'octobre et de novembre, ce sont des march�s �mergents, et d'ailleurs le Directeur actuel est un sp�cialiste de l'Asie, c'est pour cela que nous l'avons recrut�, pour essayer de d�velopper encore plus ces march�s.
Les ambassadeurs de l'accueil, effectivement c'est un dispositif nouveau qui consiste � aller au devant des touristes et non pas � attendre que ceux-ci viennent sur les Champs-Elys�es actuellement. Cela permet de donner plus d'informations sur place.
(M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, remplace M. Christophe CARESCHE, adjoint, au fauteuil de la pr�sidence).
Pour l'augmentation du loyer, Monsieur LEBAN, vous participez aussi aux r�unions du Conseil d'administration, vous savez ce qu'il en est, nous sommes actuellement en n�gociation avec les A.G.F., n�gociation qui pourrait nous amener, si nous devions partir, � r�clamer une soulte pour lib�rer les locaux, ce qui nous donnerait une op�ration positive.
Quant au tourisme social, pour �tre bref, cela a consist� dans un premier temps � faire rentrer la Ville de Paris dans un dispositif qui s'appelle B.S.V. -Bourse-Solidarit�-Vacances - dispositif auquel la Municipalit� pr�c�dente n'avait pas souhait� participer. Ce dispositif permet � des jeunes en difficult� de partir en vacances.
Quant � Mme KUSTER, pour en terminer, quand je parlais de budget et d'argent je ne parlais pas de l'argent de l'�tat mais de l'argent du budget municipal et notamment justement de la taxe de s�jour et donc des efforts qui doivent �tre faits pour le tourisme d'affaires pris sur la taxe de s�jour et non pas sur le budget de l'�tat. C'est le budget municipal dont il s'agit.
Nous allons travailler dans ce sens l�. Rien n'est facile parce que ce sont des parts de march� qu'il faut prendre sur nos concurrents europ�ens, notamment, et donc il faut aller chercher de nouveaux salons, de nouvelles foires et de nouvelles conventions. C'est un march� tr�s concurrentiel et tr�s difficile. Nous nous battons mais je pense que l'�quipe actuelle, avec � la t�te de l'Office du Tourisme M. JANAILLAC, qui a �t� tr�s longtemps � la t�te de Maison de la France, est tout � fait performante pour aller chercher de nouveaux salons internationaux et d�velopper les parts de march� du tourisme d'affaires dans l'avenir.
On comprend bien qu'il y a des r�percussions aussi sur le chiffre d'affaires du tourisme de vill�giature.
Je crois avoir globalement r�pondu, Monsieur le Maire.
M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur BROS.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DAEE 17.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2002, DAEE 17).

Juillet 2002
Débat
Conseil municipal
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