Libell� de la question :
"La partie de la dalle de Beaugrenelle desservant la piscine et la cr�che Keller est dans un �tat de n�gligence de plus en plus accru et de plus en plus regrettable.
Il est vrai que cette dalle semble recevoir de fa�on habituelle les d�tritus envoy�s du haut des tours par des habitants peu respectueux des autres.
Mais au-del� de cette situation dommageable aux habitants scrupuleux de leur environnement, il y a aussi, sur cette dalle, le passage quotidien de tr�s jeunes enfants et de leurs parents qui se rendent � la cr�che tous les jours.
Le circuit impos� ainsi � ces tout petits est tout � fait inacceptable. Ils doivent d�tourner les obstacles, respirer des odeurs naus�abondes, et la vigilance des parents doit �tre extr�me afin qu'ils ne ramassent pas n'importe quoi.
C'est pourquoi Mme Dominique BAUD demande � M. le Maire de Paris ce que la Ville de Paris peut faire aujourd'hui pour am�liorer cette situation, soit en intervention directe, soit en obligeant les responsables � nettoyer."
R�ponse (M. Yves CONTASSOT, adjoint) :
"La question pos�e par Mme BAUD porte sur l'entretien de la partie de la dalle Beaugrenelle desservant la piscine et la cr�che Keller.
La dalle Keller est propri�t�, par bail emphyt�otique, de la soci�t� "Terre et Famille", soci�t� d'habitations � loyer mod�r� anciennement filiale de la Poste. Ce bail a �t� conclu � l'�poque avec la Poste, avec obligation pour la soci�t� "Terre et Famille", de r�aliser un parc de stationnement, la cr�che et des logements.
En 1981 lors de la premi�re r�novation urbaine de la zone Beaugrenelle, une convention de gestion a �t� �tablie entre la Poste, "Terre et Famille", la Ville de Paris et la S.E.M.E.A.-XV, la charge de l'entretien de la dalle �tant d�l�gu�e � cette derni�re.
La S.E.M.E.A.-XV, dont l'attention a �t� attir�e sur cette plainte, pr�cise que :
- le ramassage des papiers et d�tritus est effectu� quotidiennement ;
- le lavage des diff�rents espaces et la suppression des tags sont assur�s r�guli�rement.
D'autre part, depuis plus d'un an, la S.E.M.E.A-XV n'a re�u aucun courrier de plainte portant sur ce sujet.
Il est � noter que les limites de propri�t� au niveau de la surface de la dalle sont quelque peu artificielles, sachant que les diverses propri�t�s sont imbriqu�es, et que les plaintes des riverains sont g�n�ralement li�es � l'�tat de v�tust� de certains ouvrages."