M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - M. GIRARD m'avait demand� la parole, je la lui donne.
M. Christophe GIRARD, adjoint. - Oui, je voulais faire une intervention � l'adresse des �l�ves du lyc�e Ch�rioux, grand-p�re de l'une des conseill�res de Paris, qui sont pr�sents aujourd'hui et qui peut-�tre peuvent se demander pourquoi les bancs de cette Assembl�e sont si clairsem�s...
(Rires).
... Je voulais les rassurer car certaines et certains d'entre eux, peut-�tre un jour, auront envie �galement de briguer un mandat �lectif et d'�tre soit conseiller municipal, d�put� ou s�nateur, et leur expliquer que nous nous r�unissons chaque mois pendant deux jours et pratiquement une nuit et qu'aujourd'hui 19 mars 2002, il y a un �v�nement important dans Paris puisque sera inaugur�e tout � l'heure par Bertrand DELANO�, au cimeti�re du P�re-Lachaise, la premi�re pierre du M�morial parisien aux militaires morts ou disparus en Afrique du Nord entre 1952 et 1962...
(Protestations diverses sur les bancs de l'opposition municipale).
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur GIRARD, l�, on n'est plus dans le cadre...
M. Christophe GIRARD, adjoint. - Comme certains d'entre eux sont d'origine �trang�re, je pense qu'il �tait bien qu'ils connaissent notre, leur histoire. Ils peuvent reconna�tre sur les bancs de l'Assembl�e un ancien Maire de Paris, M. TIBERI, et un ancien Ministre, M. Philippe S�GUIN.
Je pense qu'il n'y a pas de pol�mique, c'est simplement une fa�on de les renseigner, c'est tout, et de leur souhaiter �galement un bon bac, puisqu'ils sont en terminale.
(Applaudissements sur les bancs des groupes socialiste et radical de gauche, communiste, "Les Verts" et du Mouvement des citoyens).