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88 - Observations sur le déroulement de la séance


M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Nous allons entamer la discussion...
M. Philippe S�GUIN. - Monsieur le Maire, le moment est peut-�tre venu de nous interroger sur les modalit�s de poursuite de nos travaux.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - C'est ce que j'allais proposer !
Nous avons encore deux commissions � examiner. Si tout va bien et si chacun respecte son temps de parole, nous devrions terminer d'ici une heure. Il restera �videmment les questions orales et les r�ponses qui y seront apport�es. La solution que je souhaiterais vous proposer, consiste � vous remettre imm�diatement par �crit les r�ponses aux questions. En effet si nous souhaitions le faire oralement, il faudrait �videmment ouvrir la s�ance cet apr�s-midi et j'ai le sentiment que beaucoup d'entre vous ont des emplois du temps d�j� charg�s.
M. Philippe S�GUIN. - Oui, Monsieur le Maire, sous r�serve de la remise imm�diate des r�ponses, nous nous rallions bien volontiers � votre proposition.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Y a-t-il des observations de la part des autres groupes ?
Nous adoptons donc cette disposition.
M. GALLAND souhaite intervenir. Je lui donne la parole.
M. Yves GALLAND. - Monsieur le Maire, nous avons en permanence des d�calages dans l'ordre du jour, nos avons des engagements, les uns et les autres.
Je tiens � dire mon d�saccord total avec la suppression des questions orales, une fois de plus. Je l'avais dit la derni�re fois d�j�. Je fais partie de ceux qui en pr�sentaient et sont rest�s, quel que soit le d�calage, pour pouvoir y participer.
Vous d�cidez de les supprimer ? Dont acte.
Nous en tirerons, en ce qui nous concerne, un certain nombre de cons�quences. Il n'est pas possible d'assister � cette d�sorganisation et � ce d�sordre permanent qui p�sent sur les questions orales. C'est un �l�ment de notre r�glement qui est ainsi bafou� et les questions orales sont en permanence prises en otage.
Je voulais dire mon d�saccord, ma r�probation et le fait que nous sommes scandalis�s.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Je comprends votre m�contentement, Monsieur GALLAND, il est parfaitement l�gitime.
Nous avons eu l'occasion d'�voquer cette question � plusieurs reprises. Maintenant, il faut que nous nous penchions s�rieusement sur une nouvelle organisation pour r�pondre aux questions orales. Peut-�tre faut-il - vous l'aviez sugg�r� - organiser une s�ance sp�cifique pour examiner ces questions orales.
Je vous ferai des propositions tr�s rapidement pour que nous soyons en mesure de respecter nos engagements, ainsi que sur le r�glement int�rieur.

Mars 2002
Débat
Conseil municipal
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