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110 - QOC 2003-19 Question de MM. Pierre-Christian TAITTINGER, Claude GOASGUEN, Gérard LEBAN, Christian CABROL, Daniel-Georges COURTOIS, Mmes Véronique BALDINI, Laurence DREYFUSS, Danièle GIAZZI et Laëtitia LOUIS à M. le Maire de Paris relative au projet de création de lignes d'autobus de quartier et à leur financement


Libell� de la question :
"MM. Pierre-Christian TAITTINGER, Claude GOASGUEN, G�rard LEBAN, Mme V�ronique BALDINI, MM. Christian CABROL, Daniel-Georges COURTOIS, Mmes Laurence DREYFUSS, Dani�le GIAZZI et La�titia LOUIS demandent � M. le Maire de Paris o� en est le projet de cr�ation de lignes d'autobus qui assureraient la liaison � l'int�rieur des arrondissements.
La R.A.T.P., � la demande de la Ville de Paris, aurait d�j� �tudi� les conditions dans lesquelles ce type de lignes de quartier pourrait r�pondre � un r�el besoin (quartiers avec de fortes pentes, zones mal desservies par les autres lignes de bus ou de m�tro en raison de la g�ographie, etc.)
Des projets devraient donc bient�t voir le jour.
MM. Pierre-Christian TAITTINGER, Claude GOASGUEN, G�rard LEBAN, Mme V�ronique BALDINI, MM. Christian CABROL, Daniel-Georges COURTOIS, Mmes Laurence DREYFUSS, Dani�le GIAZZI et La�titia LOUIS souhaitent savoir quel sera leur financement."
R�ponse (M. Denis BAUPIN, adjoint) :
"La Municipalit� parisienne a d�j� eu l'occasion de faire part de l'int�r�t qu'elle portait � la cr�ation de dessertes locales par minibus, venant compl�ter le r�seau des 60 lignes de bus de Paris. Il est cependant rappel� que la Ville de Paris n'a pas comp�tence pour d�cider seule de cr�er ce type de desserte, la d�cision revenant � l'autorit� organisatrice des transports, en l'occurrence, le Syndicat des transports d'Ile-de-France.
Les services de la Ville de Paris �tudient, conjointement avec la R.A.T.P., le co�t de ces dessertes. Il appara�t que leur mise en place est particuli�rement int�ressante dans certains quartiers situ�s � la p�riph�rie parisienne, o� la densit� de desserte est actuellement plus faible, ainsi que dans les quartiers o� le relief rend les d�placements p�destres difficiles pour certaines cat�gories de personnes.
La mise en place de ce nouveau type de service pose cependant la question de son financement. La position du Syndicat des Transports d'Ile-de-France est � ce sujet constante : il n'est pas du ressort du S.T.I.F. de financer les dessertes locales, sauf d�ficit de desserte av�r�. Les dessertes locales existant en banlieue sont financ�es par les communes qui les ont demand�es.
Une pr�sentation � la Commission Extra-municipale des D�placements des investigations men�es sera faite apr�s leur ach�vement, au printemps prochain."

Janvier 2003
Débat
Conseil municipal
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