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73 - Adoption par un vote d'ensemble de l'Assemblée des projets de délibération n'ayant pas donné lieu à inscription


Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Je vous propose � pr�sent de nous prononcer par un vote � main lev�e sur l'ensemble des projets de d�lib�ration n'ayant pas fait l'objet d'une inscription.
Monsieur LEGARET...
M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Avant de passer au vote, je vous demande de faire application de l'article 7 du r�glement et de faire pr�alablement une v�rification du quorum.
Je vous en remercie.
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Je ne sais pas ce que vous souhaitez faire, si c'est v�ritablement aider notre Assembl�e � conclure et voter les d�lib�rations attendues par les Parisiens ou si vous avez d'autres finalit�s.
Si l'on fait application, comme vous le demandez maintenant, de l'article 7, il n'y aura pas de vote de toutes ces d�lib�rations et nous reprendrons la s�ance � 15 heures pour poursuivre cette s�ance que nous pourrions lever maintenant car je vous annonce ici, mes chers coll�gues, que suite � une d�cision de l'ensemble des Pr�sidents de groupe et en conf�rence d'organisation, il a �t� d�cid� de r�pondre par �crit aux questions orales.
M. LEGARET faisant sa proposition d'application de l'article 7, il va nous obliger � revenir cet apr�s-midi pour le vote de l'ensemble des d�lib�rations.
Merci, Monsieur LEGARET, nous appliquons l'article 7 et vous remercions de faciliter les travaux de notre Assembl�e.
Monsieur VUILLERMOZ, vous avez la parole.
M. Jean VUILLERMOZ. - Un mot car nous serons amen�s � revenir cet apr�s-midi.
Je vous demande de bien vouloir excuser le groupe communiste qui ne pourra pas �tre l� cet apr�s-midi ; nous serons aux obs�ques d'Henri KRASUCKI cet apr�s-midi.
Je voulais lui rendre un hommage : c'est un homme qui laissera sa trace dans l'histoire de notre pays, un grand homme, un grand Parisien. Issu de l'immigration, il a v�cu � Belleville et dans le 19e arrondissement. Ce fut un grand r�sistant, juif, d�port�, un des repr�sentants les plus brillants de cette g�n�ration qui a beaucoup compt� pour le mouvement ouvrier � Paris. Ce fut un grand syndicaliste, un communiste, il ne m�nageait pas sa peine pour discuter autour de lui dans sa cit�.
C'est dans ces conditions, Madame la Maire, que je vous demanderai de bien vouloir excuser le groupe communiste qui ne sera pas pr�sent cet apr�s-midi.
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Merci pour ces informations et nous nous associons � l'hommage que vous voulez rendre � M. KRASUCKI.
M. J�r�me COUMET. - Je souhaite m'adresser � M. LEGARET : eu �gard aux informations qu'il ne devait pas poss�der et qui rendent difficiles la convocation de notre Conseil cet apr�s-midi, ce qui exclurait la pr�sence du groupe entier de notre majorit�, je demande instamment � M. LEGARET de revenir sur sa demande de v�rification du quorum pour permettre la cl�ture de nos travaux dans de bonnes conditions.
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Nous avons travaill� s�rieusement. Les travaux se sont bien d�roul�s, nous avons pu avancer sur des dossiers difficiles sur lesquels il y a des attentes des Parisiens. Il y a aussi les obs�ques de M. KRASUCKI, auxquels un groupe important de notre Assembl�e sera pr�sent cet apr�s-midi.
Je vous propose donc de ne pas tenir compte de la demande de v�rification du quorum et de proc�der au vote afin de lib�rer notre Assembl�e d'une s�ance qui ne serait qu'une s�ance li�e � un souci de retarder les travaux de notre Assembl�e.
Je vous invite donc, mes chers coll�gues, de vous prononcer, � main lev�e, par un vote global d'approbation sur les projets de d�lib�ration n'ayant pas donn� lieu � inscription.
Ces projets de d�lib�ration sont adopt�s et leur liste sera, selon l'usage, annex�e au proc�s-verbal int�gral de la pr�sente s�ance.

Janvier 2003
Débat
Conseil municipal
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