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176 - 2002, DPA 357 - Approbation du principe de la réalisation de la modernisation des baies du solarium et de l'étanchéité de la toiture-terrasse du logement à la piscine Bernard Lafay, 79, rue de La Jonquière (17e) ainsi que des modalités de passation du marché de travaux correspondant. - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer ledit marché


M. Christian SAUTTER, adjoint, pr�sident. - Nous allons maintenant examiner le projet de d�lib�ration DPA 357 approuvant le principe de la r�alisation de la modernisation des baies du solarium et de l'�tanch�it� de la toiture-terrasse du logement � la piscine Bernard Lafay, 79, rue de La Jonqui�re, dans le 17e, ainsi que des modalit�s de passation du march� de travaux correspondant.
M. BERTHAULT a souhait� intervenir et M. CHERKI r�pondra.
Monsieur BERTHAULT, vous avez la parole.
M. Jean-Didier BERTHAULT. - Merci, Monsieur le Maire.
Sur cette d�lib�ration, tr�s technique je souhaitais faire une intervention en y associant bien entendu mon coll�gue Philippe LAFAY qui avait �voqu� ce sujet lors du dernier Conseil du 17e arrondissement.
Cette d�lib�ration pr�voit la modernisation des baies du solarium et de l'�tanch�it� de la toiture � la piscine Bernard Lafay.
Comme il est dit dans ce projet de d�lib�ration, les travaux vont porter non seulement sur les baies vitr�es du solarium mais aussi au niveau de la toiture-terrasse du logement.
J'aurais voulu savoir si nous pourrions en profiter pour r�parer les capteurs solaires dispos�s sur le toit de la piscine ?
Le Conseil r�gional a d'ailleurs vot� de nouveaux financements pour l'installations de capteurs solaires pour l'eau chaude sanitaire.
Ces travaux d�buteront, d'apr�s les �l�ments techniques que vous donnez dans la d�lib�ration, en juillet 2003 et dureront deux mois.
Sans faire de mauvais esprit, Monsieur le Maire, je pense que d'ici juillet 2003 nous serons sortis de la crise des �quipements sportifs et que nous pouvons envisager un fonctionnement serein de ces �quipements.
Je voulais simplement - mais nous aurons l'occasion de revenir sur les sujets au cours d'un v?u qui a �t� d�pos� sur lequel vous vous �tiez abstenu en Commission - intervenir sur les associations qui sont fortement p�nalis�es par la non possibilit� de profiter des �quipements sportifs et notamment au niveau des associations de natation car leur situation devient pr�occupante. C'est le cas de PAIR 17.
Simplement, avant que nous revenions sur ce sujet, si vous pouviez nous donner des �l�ments techniques sur ces r�parations puisque cette d�lib�ration concerne des travaux et j'y ajouterai un autre �l�ment : l'�tat des vestiaires de cette piscine, qui sont dans un �tat d�plorable et qui ont besoin d'une r�habilitation totale.
Merci, Monsieur le Maire.
M. Christian SAUTTER, adjoint, pr�sident. - M. CHERKI va vous r�pondre.
M. Pascal CHERKI, adjoint, au nom de la 7e Commission. - Je connais l'attachement de mon coll�gue Jean-Didier BERTHAULT � un bon entretien des �quipements sportifs de son arrondissement.
En effet, comme vous l'avez soulign�, dans le cadre du programme des travaux de grosses r�parations 2003, il est pr�vu de traiter l'�tanch�it� au-dessus de l'appartement de fonction, comme quoi nous avons le souci de faire en sorte que les personnels qui sont log�s dans nos �quipements le soient dans de bonnes conditions, au-dessus de l'appartement de fonction et de reprendre les ch�ssis m�talliques des baies vitr�es de la piscine donnant sur le solarium.
Ils sont tr�s corrod�s par l'atmosph�re chlor�e des eaux du bassin et n�cessitent donc des travaux d'urgence.
Cette piscine a �t� r�alis�e dans le d�but des ann�es 1980 et elle n�cessitera, par la suite, d'autres travaux de grosses r�parations, la r�fection des vestiaires dont l'organisation fonctionnelle est obsol�te et ne r�pond plus aux normes en vigueur.
Par ailleurs des travaux techniques sont r�alis�s sur le traitement de l'eau et du chauffage, voire de la ventilation.
L� nous avons un souci commun tant en ce qui concerne l'accueil des usagers que les conditions d'hygi�ne dans lesquelles les personnels travaillent dans ces �tablissements.
Cette piscine est dot�e de capteurs solaires qui devraient ou devaient permettre le r�chauffage de l'eau des bassins.
Malheureusement cette installation est hors d'usage actuellement, et la remise en fonctionnement des �l�ments est envisag�e.
C'est la raison pour laquelle en compl�ment des premiers travaux qui vont �tre effectu�s, nous avons d�cid� de lancer une �tude en 2003 afin d'�tudier, dans un exercice budg�taire proche, la programmation de ces travaux rendus tout � fait n�cessaires.
M. Christian SAUTTER, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur CHERKI.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DPA 357.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2002, DPA 357).

Octobre 2002
Débat
Conseil municipal
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