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4 - Déclarations diverses


M. Jean VUILLERMOZ. - Madame la Maire ?... Je voudrais faire une tr�s courte d�claration, si vous me le permettez, sur le fonctionnement des arrondissements.
Effectivement, la loi D�mocratie de proximit� permet l'�lection de 44 adjoints aux maires suppl�mentaires dans les mairies d'arrondissement de Paris, dont 27 dans les mairies dirig�es par la gauche.
Le strict respect de l'accord que nous avons pass� avec toutes les composantes de la majorit� municipale devrait permettre au parti communiste d'avoir 3 adjoints au maire suppl�mentaires dans des arrondissements. C'est le r�sultat de l'accord que nous avions pass� avec les groupes de la majorit� municipale.
Aujourd'hui, cet accord n'est toujours pas respect�, sauf, il faut le souligner, dans le 18e arrondissement. Apr�s les refus des maires du 13e et du 20e arrondissements, une porte s'est ouverte lundi dernier. En effet, le maire du 19e a retir� la d�lib�ration de l'ordre du jour du Conseil, laissant ainsi la possibilit� � un �lu communiste de devenir maire adjoint.
Toutefois, le compte n'y est toujours pas et nous r�it�rons notre demande d'avoir un 3e �lu adjoint au maire d'arrondissement. Nous pensons qu'il serait tout � fait logique et l�gitime que ce soit dans le 13e arrondissement et nous regrettons vivement les r�sistances que nous avons rencontr�es jusqu'� ce jour.
C'est donc avec insistance, Madame la Maire, garante du bon fonctionnement de la majorit� municipale, que je vous demande d'intervenir pour que l'accord issu de l'�lection municipale soit respect�.
Merci beaucoup.
(Applaudissements sur les bancs du groupe communiste).
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Monsieur le Pr�sident, votre message est entendu. La majorit� municipale y travaille. Je salue d'ailleurs le travail tout particulier de Patrick BLOCHE et des quatre Pr�sidents de groupes de la majorit� et je pense que ce probl�me devrait se r�soudre, comme les uns et les autres s'y sont engag�s, dans les meilleurs d�lais.
J'ai plusieurs demandes de Pr�sidents de groupes. Ce sujet n'est pas inscrit � l'ordre du jour de nos d�bats, donc ne faisons pas d�river cette s�ance, mais je donne la parole, comme il est pr�vu au r�glement, aux Pr�sidents de groupes, puisqu'ils ont un droit d'intervention, et je vous propose ensuite de passer � l'ordre du jour de la s�ance.
Monsieur NAJDOVSKI, vous avez la parole.
M. Christophe NAJDOVSKI. - Merci. C'est une tr�s courte d�claration pour dire que, pour les �lus "Verts", l'accord global qui a �t� conclu � Paris au jour d'aujourd'hui n'est pas non plus respect� et nous souhaitons que les engagements qui ont �t� pris par M. CARESCHE (et qui sont, semble-t-il, aussi ceux du Maire de Paris) soient bien confirm�s et que nous arrivions donc tr�s rapidement, c'est-�-dire dans la journ�e, � un accord global sur Paris sur cette question.
Je vous remercie.
(Applaudissements sur les bancs du groupe "Les Verts").
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Merci. Monsieur GALLAND, vous avez la parole.
M. Yves GALLAND. - Madame la Maire, j'ai beaucoup de sympathie pour mes coll�gues pr�sident du groupe communiste et pr�sident du groupe "Les Verts". La loi D�mocratie de proximit� est une chose, les probl�mes internes � la majorit� municipale sont autre chose. Je pense que c'est ailleurs que ces probl�mes doivent se r�gler et qu'ils ne doivent pas faire l'objet d'introductions liminaires au Conseil de Paris.
(Applaudissements sur les bancs des groupes Union pour la d�mocratie fran�aise et U.M.P.).
Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe, pr�sidente. - Merci, Monsieur GALLAND.
Pour suivre ce bon conseil, nous poursuivons.

Octobre 2002
Débat
Conseil municipal
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