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89 - QOC 2002-45 Question de Mme Catherine GÉGOUT, M. Pierre MANSAT et des membres du groupe communiste, à M. le Maire de Paris à propos de la clôture du jardin d'enfants, 3, rue Victor-Dejeante (20e)


Libell� de la question :
"Les locataires de l'ensemble immobilier de l'O.P.A.C. de Paris, rue Victor-Dejeante ainsi que le personnel du jardin d'enfants situ� 3, rue Victor-Dejeante (20e) demandent depuis longtemps que ce jardin soit s�curis� par une cl�ture.
En effet, notamment le soir et le week-end, les jeunes du quartier y viennent, certains avec leurs chiens, car il n'y a qu'une petite cl�ture basse. Il en r�sulte des probl�mes d'hygi�ne pour les enfants (m�gots, d�jections canines, etc.) ainsi que des nuisances sonores pour les locataires, puisque le jardin est enclav� dans le groupe d'immeubles. Ce lieu n'est �videmment pas adapt� � ce type d'usage.
Il �tait convenu que l'O.P.A.C. et la Ville de Paris prendraient en charge, chacun pour moiti�, la cl�ture � r�aliser. Seul, l'O.P.A.C. a fait sa part. Aussi, le jardin est-il pour partie clos, c'est-�-dire, ouvert !
Mme Catherine G�GOUT, M. Pierre MANSAT et les membres du groupe communiste demandent � M. le Maire de Paris ce qu'il entend faire pour qu'il soit mis fin, dans les meilleurs d�lais, � cette situation inacceptable pour les enfants, les personnels et les riverains."
R�ponse (Mme Olga TROSTIANSKY, adjointe) :
"Des probl�mes d'hygi�ne sont effectivement rencontr�s dans le jardin du jardin d'enfants de la rue Victor-Dejeante, en raison de l'absence de cl�ture.
L'O.P.A.C. a missionn� une entreprise pour la pose de grilles et portails au cours des vacances de la Toussaint 2001, et la Ville de Paris s'est engag�e � faire r�aliser la part des travaux de cl�ture lui incombant.
Pour ce faire, des devis ont �t� demand�s � diff�rentes entreprises, mais n'ont �t� obtenus qu'au mois de septembre 2001.
Il a ensuite �t� proc�d� � l'engagement financier du montant des travaux, de 160.960 F.
L'ordre de service a �t� adress� d�but octobre � la soci�t� retenue, la M�tallerie Marie.
Toutefois, en raison de son plan de charge, il n'a pas �t� possible � cette derni�re de d�buter les travaux avant la fin de l'ann�e.
Il a �t� convenu que l'entreprise d�bute les travaux le 4 f�vrier 2002 leur ach�vement devant �tre effectif avant la fin du mois de f�vrier."

Janvier 2002
Débat
Conseil municipal
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