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131 - QOC 2002-11 Question de Mme Laurence DOUVIN et des membres du groupe "Démocratie libérale et indépendants", à M. le Maire de Paris relative à l'installation d'oriflammes publicitaires sur les Champs-Élysées (8e)


Libell� de la question :
"Depuis quelques temps, l'avenue des Champs-Elys�es (8e) voit les m�ts qui la bordent orn�s d'oriflammes publicitaires de diff�rentes natures portant la mention "Mairie de Paris".
Cette avenue de prestige ne saurait �tre transform�e en porte-enseigne, m�me pour des motifs humanitaires auxquels d'autres supports peuvent �tre destin�s.
Il para�t important que seuls soient mis sur les m�ts des drapeaux symboles des pays dont la France re�oit les h�tes.
Mme Laurence DOUVIN et les membres du groupe "D�mocratie lib�rale et Ind�pendants" demandent � M. le Maire de Paris de leur donner des explications � ce sujet."
R�ponse (M. Jean-Bernard BROS, adjoint) :
"Les portes-oriflammes des Champs-Elys�es, initialement pr�vus pour le pavoisement lors des visites des chefs d'Etat, on ensuite �t� utilis�s aussi pour aider � la communication dans le cadre de grandes causes nationales ou internationales � l'aide de kak�monos. Cette �volution a �t� initi�e sous la pr�c�dente mandature.
Depuis avril 2001, trois op�rations de ce type ont �t� r�alis�es sur l'avenue des Champs-Elys�es :
- groupement d'int�r�t public Paris 2008 : pavoisement pour le soutien de candidature aux jeux olympiques de 2008 en juin 2001 ;
- UNICEF : pavoisement dans le cadre de la journ�e nationale des Droits de l'enfant en nombre 2001 ;
- P�lerin magazine : op�ration "les c?urs d'or P�lerin magazine" en faveur de l'association "Cent pour sang la vie", � destination des enfants malades de leuc�mie, en d�cembre 2001.
Les organisateurs de cette troisi�me op�ration souhaitaient un pavoisement d'une dur�e d'un mois : l'autorisation a �t� limit�e � 15 jours.
Cette restriction montre qu'il nous para�t souhaitable de tenir un juste �quilibre entre le respect de ce site prestigieux et la n�cessit� de soutenir de grandes causes.
Cette question fera l'objet � l'avenir d'un suivi tout particulier."

Janvier 2002
Débat
Conseil municipal
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