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100 - QOC 2002-36 Question de Mme Géraldine MARTIANO et des membres du groupe Union pour la Démocratie française, à M. le Maire de Paris à propos du manque de personnel affecté à la surveillance des entrées des écoles du 16e arrondissement


Libell� de la question :
"Mme G�raldine MARTIANO et les membres du groupe Union pour la D�mocratie Fran�aise appellent l'attention de M. le Maire de Paris sur le manque notoire de personnels affect�s � la surveillance des entr�es et sorties d'�cole du 16e arrondissement.
Il est en effet surprenant de constater la distorsion entre le besoin, �valu� � plus de 70 agents et l'affectation des 20 agents accord�s par la Municipalit�.
Mme G�raldine MARTIANO et les membres du groupe Union pour la D�mocratie Fran�aise demandent � M. le Maire de Paris de leur faire parvenir l'�tat des demandes de personnels des autres arrondissements et les d�cisions prises concernant les affectations."
R�ponse (M. Christophe CARESCHE, adjoint) :
"Actuellement 6 points-�coles sont tenus par des A.L.M.S. sur le 16e arrondissement.
Les points-�coles sont d�termin�s par la Pr�fecture de police dans chaque arrondissement et apr�s consultation des maires d'arrondissement et des repr�sentants scolaires concern�s.
Compte tenu des difficult�s de localisation de locaux permettant d'accueillir les A.L.M.S., il a �t� d�cid� que l'offre par les mairies d'arrondissement de lieux d'accueil adapt�s constitueraient un crit�re d'affectation prioritaire.
La pr�sence d'A.L.M.S. charg�s d'assurer la surveillance de points-�coles est �troitement li�e � la mise � disposition, par les mairies d'arrondissement, de locaux situ�s � proximit� de leur lieu d'affectation.
Ceux-ci permettent � ces emplois-jeunes d'y rev�tir leur tenue, d'y recevoir leurs consignes de service, et de rester sous contr�le permanent d'inspecteurs de s�curit� encadrant.
Actuellement, le d�ploiement d'A.L.M.S. sur des points d'�cole reste subordonn� � cette condition essentielle.
A ce jour, la mairie du 16e arrondissement n'a pas proc�d� � des propositions conformes aux besoins mais se verra affecter, dans les meilleurs d�lais, des A.L.M.S. suppl�mentaires, d�s lors qu'elle pourra fournir des locaux d'accueil adapt�s."

Janvier 2002
Débat
Conseil municipal
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