M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - On m'indique qu'il y aurait un large accord, et m�me l'unanimit� mais je n'ai pas encore l'avis de Jean VUILLERMOZ, pour que, compte tenu de l'heure tardive, les questions orales soient inscrites au B.M.O. avec les r�ponses.
Mme Catherine G�GOUT. - J'ai une demande l�-dessus. Si l'on n'aborde pas les questions orales ce soir, je souhaiterais vraiment que, demain, les r�ponses soient communiqu�es aux groupes.
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Tout � fait.
M. Christophe NAJDOVSKI. - Depuis plusieurs mois maintenant, nous d�battons du statut de ces questions orales. Je pense qu'on aurait tout � gagner � trancher une bonne fois pour toutes.
Cela fait partie, c'est vrai, du r�glement int�rieur mais je pense qu'une r�union de tous les pr�sidents de groupes pourrait �tre utile pour essayer de voir, ensemble, ce que l'on peut faire compte tenu du fait que ces questions orales sont tout le temps rel�gu�es en fin de s�ance, � des heures indues.
Je me pose la question de savoir si l'on ne gagnerait pas � avoir, en fait, des questions �crites auxquelles les �lus pourraient avoir l'assurance d'avoir une r�ponse dans un d�lai rapide.
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Ce que je vous propose avec l'accord de l'adjoint au Maire charg� du fonctionnement du Conseil, Christophe CARESCHE, c'est qu'une r�union, dans un d�lai tr�s rapproch�, de l'ensemble des pr�sidents de groupe du Conseil de Paris, ait lieu pour avancer et trouver une solution, qu'on esp�re d�finitive, pour ces questions l�gitimes que vous avez pos�es les uns et les autres.