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(La s�ance, suspendue � dix-huit heures vingt-cinq minutes, est reprise � dix-huit heures vingt-six minutes, sous la pr�sidence de Mme Olga TROSTIANSKY, vice-pr�sidente).

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - La s�ance est reprise.

M. Sylvain GAREL. - Je demande de conclure !

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - Monsieur GAREL, vous avez la parole pour la conclusion.

M. Jean-Fran�ois LAMOUR. - ? (Inaudible - hors micro).

(Brouhaha).

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - Attendez ! Monsieur LAMOUR, je demande � M. GAREL de conclure.

(Vives protestations sur les bancs de l'opposition).

Attendez ! On demande juste � M. GAREL de conclure. Monsieur GAREL, vous avez la parole.

M. Jean-Fran�ois LAMOUR. - M. Sylvain GAREL ne terminera pas. Cela commence � bien faire !

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - M. GAREL a la parole pour conclure et ensuite M. BROSSAT.

M. Sylvain GAREL. - Je veux juste conclure en faisant une proposition !

M. Pierre-Yves BOURNAZEL. - Je reprends la parole parce que c?est scandaleux !

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - Monsieur GAREL, concluez, s'il vous pla�t !

(Vives protestations sur les bancs de l'opposition).

M. Sylvain GAREL. - Je fais juste une proposition. Je veux simplement qu'il y ait l'organisation d'un d�bat organis� au Conseil de Paris sur cette question. On voit qu?il y a des gens qui refusent le d�bat, qui refusent la discussion?

M. Jean-Fran�ois LAMOUR. - Vous vous moquez du monde, Madame la Pr�sidente ! Vous faites une pr�sidence partiale.

M. Sylvain GAREL. - ? qui n?ont que l?anath�me � la parole et nous pensons que c?est un d�bat tr�s s�rieux. Il faut une politique des drogues � Paris.

Je vous remercie.

(Brouhaha).

Mme Olga TROSTIANSKY, pr�sidente. - Merci, Monsieur GAREL.

La parole est � M. BROSSAT.

(Exclamations et mouvements divers sur les bancs de l'opposition).

Je suspends de s�ance pour 2 minutes.

M. Jean-Fran�ois LAMOUR. - C'est n'importe quoi ! ! Vous vous croyez tout permis en permanence.

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