M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Nous passons, mes chers coll�gues, au projet de d�lib�ration DPE 120, page 3...
M. Alain DESTREM. - Je voudrais faire un rappel au r�glement.
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Monsieur DESTREM, j'arrive, donc je suis d'une grande mansu�tude, je vous demande de ne pas en abuser. Je vous donne la parole pour un bref rappel au r�glement.
M. Alain DESTREM. - J'en ai pour une seconde. Mes chers coll�gues, je le fais � une heure un peu tardive mais je voulais le faire parce que c'est un sujet important. Vous savez les uns et les autres que nous subissons - on l'a �voqu� � plusieurs reprises - partout depuis plusieurs mois le plan "Vigipirate" et je regrette d'ailleurs que le Repr�sentant du Pr�fet de police ne soit pas l� et � l'occasion...
(Protestations sur les bancs des groupes socialiste et radical de gauche, communiste, du Mouvement des citoyens et "Les Verts").
...Attendez une seconde, c'est juste pour rappeler qu'� l'occasion d'une question d'actualit� qui a �t� pos�e au mois de septembre par nous-m�mes, le Maire de Paris avait r�pondu et le Pr�fet de police �galement, positivement � la question que nous posions sur le fait que les pr�sidents de groupes, de l'opposition et de la majorit� confondues, soient r�guli�rement tenus inform�s de la situation concernant "Vigipirate" et les difficult�s que l'on pouvait rencontrer dans la Capitale ou �ventuellement qu'il y ait une r�union sur une base mensuelle autour du Maire de Paris avec les pr�sidents de groupe ou leurs repr�sentants, le Pr�fet de police ou ses repr�sentants, pour qu'ils soient tenus inform�s des probl�mes de s�curit� dans la Capitale.
Je le dis parce que c'est une question simple. J'ai termin�. Je le dis parce que le Maire de Paris s'�tait engag� � ce que cela soit fait. Alors, Monsieur le Maire, doit-on attendre la fin du plan "Vigipirate" pour que les pr�sidents de groupe soient r�unis et tenus inform�s des probl�mes de s�curit� des Parisiens dans la Capitale ou est-ce que l'on va enfin mettre en place ces groupes qui devaient �tre institu�s d�s le mois de septembre ? Ce qui n'a pas �t� le cas.
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Ce rappel au r�glement �tant fait, nous allons reprendre l'ordre du jour.
M. Alain DESTREM. - Donc il n'y a pas de r�ponse.
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Nous passons au dossier...
M. Alain DESTREM. - Si vous �tes contents de ne pas �tre inform�s, c'est votre probl�me !
M. Pascal CHERKI, adjoint, pr�sident. - Monsieur DESTREM, s'il vous pla�t !