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118 - QOC 2000-102 Question de Mme Danièle GIAZZI, MM. Gérard LEBAN et Dominique CANE à M. le Préfet de police au sujet du sentiment d'insécurité, rues de l'Yvette et Henri-Heine (16e)


M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - La question suivante de Mme Dani�le GIAZZI, MM. G�rard LEBAN et Dominique CANE � M. le Pr�fet de police est au sujet du sentiment d'ins�curit�, rues de l'Yvette et Henri-Heine (16e).
En voici la teneur :
"Mme Dani�le GIAZZI, MM. G�rard LEBAN et Dominique CANE ont �t� alert�s � plusieurs reprises sur le sentiment d'ins�curit� qui r�gne aux alentours des rues de l'Yvette ou Henri-Heine (16e). Il semblerait que des bandes organis�es de jeunes n'habitant pas le quartier se livrent � des activit�s de racket et d'exhibitionnisme.
Mme Dani�le GIAZZI, MM. G�rard LEBAN et Dominique CANE souhaitent savoir quelles sont les mesures que M. le Pr�fet de police compte prendre pour rem�dier � cet �tat de fait."
La parole est � M. le Pr�fet de police.
M. LE PR�FET DE POLICE. - Comme le reste de l'arrondissement, le secteur des rues de l'Yvette et Henri-Heine fait l'objet de l'attention toute particuli�re des services de police qui y exercent des surveillances r�guli�res et soutenues.
Il est vrai que des incidents ponctuels dont sont � l'origine certains jeunes fr�quentant une institution d'accueil sp�cialis�e situ�e rue La Fontaine, alimentent un sentiment d'ins�curit� parmi les riverains.
Compte tenu de cette situation, les effectifs de police locaux ont re�u pour instructions d'intensifier leurs rondes sur le secteur consid�r� et ont sensibilis� le responsable de cet �tablissement.
Le 15 janvier dernier, les �lotiers de l'arrondissement ont ainsi �t� amen�s � proc�der � l'interpellation de deux jeunes, scolaris�s dans cette structure d'accueil, auteurs d'un vol avec violences commis � l'angle des rues Rib�ra et L�on-Bonnat.
Les deux mis en cause ont fait l'objet d'une mesure de garde � vue. L'un a �t� remis en libert� sur instructions du magistrat du parquet de Paris, le second s'est vu remettre une convocation devant le juge pour enfants de Bobigny.
J'ajoute qu'en ce qui concerne les activit�s d'exhibitionnisme, aucune plainte n'a �t� d�pos�e au commissariat central territorialement comp�tent ni aucun fait de ce genre n'a �t� port� � sa connaissance.
Je puis vous assurer n�anmoins que les effectifs locaux poursuivront avec vigilance leurs surveillances sur le secteur.

Février 2000
Débat
Conseil municipal
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