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121 - VII - QOC 99-36 Question de MM. Tony DREYFUS, Michel OTTAWAY, Alain LHOSTIS, Mmes Olga TROSTIANSKY et Sylvie SCHERER à M. le Maire de Paris concernant la mise en place d'une maîtrise d'oeuvre urbaine et sociale sur le quartier des portes Saint-Denis et Saint-Martin (10e)

M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Nous passons � la question de MM. Tony DREYFUS, Michel OTTAWAY, Alain LHOSTIS, Mmes Olga TROSTIANSKY et Sylvie SCHERER qui concerne la ma�trise d'oeuvre sur le quartier des portes Saint-Denis et Saint-Martin.
En voici les termes :
" Les 19 et 20 octobre derniers, l'Assembl�e adoptait une d�lib�ration mettant en place une ma�trise d'oeuvre urbaine et sociale sur le quartier des portes Saint-Denis et Saint-Martin (10e) pour des actions relevant du D�veloppement social urbain.
Lors de cette s�ance, les �lus de l'arrondissement interrogeaient M. le Maire de Paris sur les moyens en locaux qui seraient mis � disposition du centre social " La Clairi�re ", charg� de cette mission d'information et d'orientation.
M. BARIANI, adjoint, assurait que l'�quipe de ma�trise d'oeuvre urbaine et sociale b�n�ficierait d'un espace dans les locaux du Centre d'action sociale du 10e arrondissement, 6, rue Pierre-Bullet. Or, il s'av�re que cette localisation n'est que provisoire et que l'espace de travail n'est disponible que 2 demi-journ�es par semaine.
MM. Tony DREYFUS, Michel OTTAWAY, Alain LHOSTIS, Mmes Olga TROSTIANSKY et Sylvie SCHERER consid�rent cela comme tr�s insuffisant, car pour que la Ma�trise d'oeuvre urbaine et sociale puisse travailler dans de bonnes conditions, il est indispensable que l'�quipe soit pr�sente tous les jours dans le p�rim�tre du D�veloppement social urbain.
C'est la raison pour laquelle M. le Maire de Paris a �t� saisi de ce probl�me d'h�bergement par un courrier en date du 14 d�cembre 1998, dont le Secr�taire g�n�ral de la Mairie de Paris vient d'accuser r�ception.
En raison de l'absence de r�ponse concr�te � ce courrier, MM. Tony DREYFUS, Michel OTTAWAY, Alain LHOSTIS, Mmes Olga TROSTIANSKY et Sylvie SCHERER demandent quels locaux M. le Maire de Paris envisage-t-il de mettre � la disposition de l'�quipe de ma�trise d'oeuvre urbaine et sociale et dans quels d�lais. "
La parole est � M. BARIANI.
M. Didier BARIANI, adjoint. - Merci, Monsieur le Maire.
Je voudrais rappeler aux intervenants que par convention approuv�e par le Conseil de Paris en date du 28 octobre 1998 et sign�e le 4 novembre 1998, la Ville de Paris et l'Etat, dans le cadre de leur partenariat portant sur la politique de la Ville et les quartiers sensibles, ont confi� � l'association " La Clairi�re " une mission de coordination et d'animation sur le site Porte Saint-Denis/Porte Saint-Martin (10e arrondissement).
Compte tenu des difficult�s rencontr�es pour trouver une solution durable � l'h�bergement de l'�quipe charg�e de cette mission qu'on appelle une M.O.U.S., des locaux provisoires ont �t� �mis � disposition par le Centre d'action sociale de la Ville de Paris, 6 , rue Pierre-Bullet � raison de 5 demi-journ�es par semaine.
Dans le m�me temps, le centre " La Clairi�re ", support de la M.O.U.S., a pr�t� une salle de r�union tous les matins, de mani�re �galement provisoire, dans ses propres locaux rue Grenata (2e arrondissement).
A l'heure actuelle, les deux organismes tiennent toujours � disposition ces locaux. Cependant, l'installation d�finitive de l'�quipe dans ses propres murs doit intervenir rapidement. C'est d'ailleurs cela le but recherch�. Il y a actuellement deux opportunit�s d'h�bergement qui ont �t� identifi�es par la Ville de Paris et des devis relatifs au co�t et � la dur�e des travaux sont attendus d'ici fin janvier pour qu'elle arr�te d�finitivement son choix. Janvier ce n'est quand m�me pas trop long. Les locaux s�lectionn�s, l'un et l'autre situ�s au coeur du site DSU, ont des superficies (63m�tres carr�s et 80 m�tres carr�s) qui permettent raisonnablement l'installation d'une salle de r�union et d'un bureau fonctionnels.
Il est � pr�ciser que l'�quipe locale est occup�e chaque jour, � plein temps, � prendre l'attache des institutions et des associations oeuvrant sur le site.
C'est donc, Monsieur le Maire, un probl�me dont on peut esp�rer qu'il trouvera sa solution d�finitive dans un d�lai tr�s court.
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Madame SCHERER, vous avez la parole.
Melle Sylvie SCHERER. - Excusez-moi, Monsieur BARIANI mais ce projet a �t� vot� il y a trois mois. Vous me disiez que la solution est fort prochaine, j'en suis fort heureuse. Mais je souhaiterais, si cela n'est pas trop vous demander, savoir quelle est la date de la solution heureuse qui devrait aboutir.
La d�lib�ration concernant la mise en place de la M.O.U.S. a �t� vot�e fin octobre, nous sommes fin janvier, et m�me s'ils ont des locaux mis temporairement � leur disposition, je tiens � rappeler que le centre social " La Clairi�re " ne se situe pas dans le 10e mais dans le 2e, ce n'est pas tr�s loin, mais pour travailler sur le terrain, c'est dommage. Si vous pouviez me donner un d�lai, me dire si c'est dans un mois, trois mois, cela me satisferait davantage.
Je vous en remercie.
M. Didier BARIANI, adjoint. - Fin janvier nous faisons le choix entre les deux opportunit�s, et apr�s les choses iront vite. Je pense honn�tement qu'au printemps les locaux d�finitifs seront � disposition et que l'�quipe pourra y �tre install�e.
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur BARIANI.

Janvier 1999
Débat
Conseil municipal
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