retour Retour

16 - 1998, JS 182 - Subvention exceptionnelle à l'Académie d'armes de France (9e). - Montant : 5.000 F 1998, JS 359 - Subvention exceptionnelle à l'association " Division squash team " (18e). - Montant : 5.000 F 1998, JS 361 - Subvention exceptionnelle au Comité départemental de Paris de football (18e). - Montant : 5.000 F

M. Michel ROUSSIN, adjoint, pr�sident. - Si vous le permettez, mes chers coll�gues, compte tenu de l'heure, il y a trois projets que je souhaiterais �voquer, sur lesquels s'est inscrit M. HUBIN. M. HUBIN n'est pas l�, mais M. BURRIEZ pourra peut-�tre r�pondre � M. HUBIN.
Il s'agit :
- du JS 182, subvention exceptionnelle � l'Acad�mie d'armes de France, d'un montant de 5.000 F ;
- du JS 359, subvention exceptionnelle � l'association " Division squash team " - cela m'arrache de devoir lire cela, en tant que responsable de la francophonie ! - d'un montant de 5.000 F ;
- et du JS 361, subvention exceptionnelle au Comit� d�partemental de Paris de football, d'un montant de 5.000 F.
Monsieur GALLAND, vous avez la parole.
M. Yves GALLAND, adjoint. - Au nom de mon groupe, je me substitue tr�s volontiers � M. HUBIN sur ces inscriptions, qui sont l'illustration, au travers du squash et d'autres choses, de l'extr�me dispersion de nos subventions, Monsieur le Maire. C'est pour cela que nous souhaitions avoir quelques explications compl�mentaires.
M. Michel ROUSSIN, adjoint, pr�sident. - Je vous remercie.
Monsieur BURRIEZ, pouvez-vous r�pondre � la question de M. HUBIN, repr�sent� par M. GALLAND ?
M. Jean-Pierre BURRIEZ, adjoint, au lieu et place de M. Dominique CANE, adjoint, au nom de la 4e Commission. - Notre ami Yves GALLAND a soulev� le probl�me de la grande dispersion des subventions, il n'a pas critiqu� ces subventions qui ont �t� vot�es � l'unanimit� de la 4e Commission. Je rappelle que ce sont tout de m�me des subventions minimes, pour des op�rations bien individualis�es, bien cibl�es ou pour des op�rations nouvelles.
Je vous demande donc de les adopter sans probl�me.
M. Michel ROUSSIN, adjoint, pr�sident. - Je vais mettre aux voix successivement les trois subventions exceptionnelles.
Monsieur GALLAND, voulez-vous intervenir ?
M. Yves GALLAND, adjoint. - Simplement pour pr�ciser que je ne suis absolument pas satisfait de la r�ponse de M. BURRIEZ.
Le fait que les subventions soient minimes n'a rien � voir avec le fait qu'elles soient justifi�es ou non, �parpill�es ou non. Et si nous avons choisi ces subventions, c'est bien parce que, sur le principe, on peut v�ritablement s'interroger sur le bien-fond� d'une subvention de 5.000 F au Squash � Paris.
Quand on multiplie cela � des centaines d'exemplaires, on finit par avoir des probl�mes de lisibilit� de la politique municipale.
M. Michel ROUSSIN, adjoint, pr�sident. - Je vous remercie.
Je mets donc successivement aux voix, � main lev�e, les trois projets de d�lib�ration.
Le premier, pour la subvention � l'Acad�mie d'armes de France (JS 182).
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (1998, JS 182).
Le deuxi�me, pour la subvention � l'association " Division squash team " (JS 359)
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (1998, JS 359).
Le troisi�me, pour la subvention au Comit� d�partemental de Paris de football (JS 361).
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (1998, JS 361).
M. Yves GALLAND, adjoint. - Vous noterez que sur les deux premiers projets cit�s, le groupe " Union pour la D�mocratie � Paris " s'abstient. Il vote pour le troisi�me.
M. Michel ROUSSIN, adjoint, pr�sident. - Nous tenons compte de vos remarques.
Je vous remercie.

Janvier 1999
Débat
Conseil municipal
retour Retour