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94 - QOC 99-4 Question de M. Philippe LAFAY à M. le Maire de Paris relative à l'avenir du lycée Stéphane-Malarmé (17e)


M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - La question suivante de M. Philippe LAFAY � M. le Maire de Paris est relative � l'avenir du lyc�e St�phane-Malarm�.
En voici les termes :
" Au cours de la s�ance du Conseil de Paris du 9 f�vrier 1998, M. Philippe LAFAY avait attir� l'attention de M. le Pr�fet de police sur l'ins�curit� r�gnant aux abords du lyc�e St�phane-Mallarm� (17e) ainsi que l'�ventuelle fermeture de cet �tablissement envisag�e par le Rectorat de Paris.
En effet, la baisse r�guli�re des effectifs conduit les autorit�s acad�miques � s'interroger sur l'avenir de ce lyc�e.
Le corps enseignant, les parents et les �l�ves souhaitent, au contraire, la p�rennit� de l'�tablissement, estimant qu'il s'agit d'une structure de proximit� � dimension humaine offrant de bonnes conditions de vie et d'�tudes, comme le d�montre l'am�lioration des r�sultats au baccalaur�at depuis ces derni�res ann�es.
Enfin, les actes d�lictueux relev�s auparavant disparaissent progressivement, ce qui devraient permettre d'enrayer la d�saffection de la fr�quentation de cet �tablissement.
En cons�quence, M. Philippe LAFAY demande � M. le Maire de Paris d'effectuer une d�marche aupr�s du Ministre de l'Education nationale afin de conna�tre les intentions r�elles du Rectorat de Paris sur l'avenir du lyc�e St�phane-Mallarm�. "
Je vous donne la r�ponse au lieu et place de M. Jean de GAULLE, adjoint.
Il convient de rappeler que l'Acad�mie de Paris, qui est responsable de l'organisation p�dagogique des �tablissements scolaires, est seule comp�tente pour d�cider de l'avenir du lyc�e St�phane-Mallarm�.
Cet �tablissement scolarisait 555 �l�ves en 1989/90, en accueillait 378 en 1993/94, 243 en 1998/99. Toutefois, il convient de pr�ciser que 670 coll�giens sont accueillis actuellement dans le m�me ensemble immobilier. Les effectifs de coll�giens sont rest�s relativement stables depuis le d�but de la d�cennie.
La Ville de Paris suit avec une attention toute particuli�re les mesures pouvant concerner le devenir de cet �tablissement et a demand� � l'Acad�mie de lui confirmer officiellement et sans d�lai ses intentions concernant le lyc�e.

Janvier 1999
Débat
Conseil municipal
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