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2006, DVD 5 - Programme Mobilien en faveur du réseau principal de bus. - Approbation de l’axe Mobilien 26 à Paris. - Approbation de la mise en accessibilité aux personnes à mobilité réduite. - Autorisation à M. le Maire de Paris de solliciter les subventions correspondantes auprès des différents partenaires.


M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Nous passons maintenant au projet de d�lib�ration DVD 5 relatif au programme Mobilien en faveur du r�seau principal de bus.

Monsieur BRAVO, vous avez la parole.

M. Jacques BRAVO, maire du 9e arrondissement. - Merci, Monsieur le Maire.

Je voudrais prendre le temps de vous exprimer ma position et celle du Conseil du 9e arrondissement sur le projet de Mobilien, avec une application particuli�re au 9e arrondissement qui est � la fois le lieu de d�part et d?arriv�e du bus 26.

L?ensemble des projets ?Mobilien? s?inscrit dans le Plan r�gional de d�placements urbain d?Ile-de-France qui a �t� adopt� en d�cembre 2000 dans le cadre de la loi sur l?air.

Ses orientations visent � augmenter l?usage des modes alternatifs, comme le transport public naturellement, la marche, le v�lo, etc.

Par rapport au d�bat que j?ai suivi de pr�s, en fin de matin�e, sur le bus, sur la ligne 92, j?ai dit avec beaucoup de fermet� que le pire serait de ne rien faire et d?en rester � la situation de la mandature pr�c�dente qui, pour le 9e, signifie trois axes quasiment toujours satur�s : la rue La Fayette, la rue de Ch�teaudun et la rue de Maubeuge.

Chers coll�gues, quand je prends un bus, je ne me demande pas s?il est de droite ou s?il est de gauche ! Je me demande s?il fonctionne, s?il avance et s?il me conduira � la destination que je vise.

A Paris, 17 lignes de bus sont concern�es par ce projet dont cette fameuse ligne 26 pour le 9e. Le choix de ces lignes s?est fond� sur la fr�quentation et la compl�mentarit� par rapport au m�tro et au R.E.R., la desserte des p�les de transport et des quartiers p�riph�riques.

Ce projet Mobilien s?adapte au mode de vie des Franciliens qui a progressivement chang�, car les d�placements des Parisiens augmentent et la majorit� d?entre eux, c?est vrai, les font en voiture.

Ce nouveau rythme urbain impose un autre partage de la voirie et une redistribution des modes de transport pour redonner une attractivit� positive aux transports en commun.

Le ?Mobilien? am�liore la qualit� de service des bus et des d�placements en Ile-de-France. Je vise des bus plus fr�quents, plus rapides, plus propres, plus accessibles, plus s�curis�s.

Cette nouvelle qualit� de service est l?un des leviers principaux de la reconqu�te des transports en commun � Paris.

Sur cette partie des principes du projet ?Mobilien?, j?insiste sur un enjeu de sant� publique, que Denis BAUPIN souligne chaque fois : l?am�lioration de la qualit� de l?air. Les Franciliens sont pr�occup�s par la qualit� de l?air qu?ils respirent et conscients que le principal responsable des �missions de polluants nuisibles pour la sant� se trouve bien dans le trafic automobile.

C?est pour cela qu?il faut offrir aux Franciliens des alternatives � l?utilisation de l?automobile. Cela passe par une augmentation de l?offre, une am�lioration de la qualit� de service des transports collectifs, des cheminements agr�ables, m�me sur les grands boulevards, pour tous les pi�tons et des itin�raires cyclables s�rs et directs.

A ce titre, les caract�ristiques de la ligne 26 justifient pleinement qu?elle soit incluse dans le programme Mobilien. C?est en effet une ligne de rocade, qui relie l?est de Paris � une gare parisienne, qui dessert les p�les d?�change multimodaux de la gare Saint-Lazare et de la gare du Nord, ainsi que des quartiers � forte densit� de population.

Chers coll�gues, le projet d?am�nagement qui nous est propos� aujourd?hui a fait l?objet d?importantes concertations. Il a �t� valid� dans le 9e par la Commission de circulation et de d�placement de l?arrondissement, commission qui regroupe les associations du 9e mais �galement les repr�sentants des cinq conseils de quartier. Il concerne �galement les axes majeurs de circulation que sont chez nous la rue Saint-Lazare, la rue La Fayette, la place d?Estienne d?Orves, la rue de Ch�teaudun.

Je tiens � remercier singuli�rement Denis BAUPIN, car il a particip� activement, il a contribu� � toutes nos concertations.

Le projet de ?Mobilien 26? pr�sente plusieurs avantages majeurs pour mon arrondissement. Il am�nage de fa�on coh�rente et mieux lisible l?ensemble du tron�on de la ligne 26 dans le quartier Trinit�-Saint Lazare. Il permet notamment de d�sengorger la rue d?Amsterdam qui descend du Nord pour aller vers le Sud et o� le trafic automobile est tr�s important, en y am�liorant la circulation des voitures et des bus.

Ce projet �tablit un meilleur partage de l?espace public entre les voitures particuli�res et les bus, rue La Fayette et rue de Ch�teaudun, tout en pr�servant la vie et l?activit� du quartier.

Ce projet contribuera � r�guler les flux de circulation en amont du m�tro Cadet, pour �viter l?engorgement permanent au confluent des rues La Fayette et Ch�teaudun.

Je tiens � souligner avec encore plus de force que ce projet de ?Mobilien 26? va renforcer la s�curit� des pi�tons et r�duire les risques d?accident, par une meilleure lisibilit� des diff�rents flux de circulation autour de la place d?Estienne-d?Orves autour de la Trinit� et par la s�curisation des travers�es pi�tonnes et des d�ambulations pi�tonnes - le Pr�fet de police est ici repr�sent� et je le salue dans ses efforts avec nous :

- au sud de la place d?Estienne-d?Orves et � l?Est, auniveau de la sortie du m�tro, il y a actuellement conflit entre un flux de pi�tons tr�s important et un flux automobile constant sur la place devant l?�glise de la Trinit� ;

- actuellement, le contresens du bus 26 sur les rues LaFayette et Ch�teaudun est excessivement dangereux. M. le Pr�fet le sait bien. Sur la p�riode 2000-2002, 127 accidents ont �t� recens�s sur ces deux voies, avec notamment un accident mortel, que je ne n?oublierai pas, d?une jeune maman enceinte et deux autres victimes gravement bless�es rue La Fayette. Les victimes de ces accidents sont principalement les deux-roues, car les cyclistes empruntent ce contresens du bus qui ne leur est pas ouvert et qui peut entra�ner des d�passements dangereux.

Sur ce plan-l�, le couloir de bus bidirectionnel lat�ral permettra de prot�ger les cyclistes dans les deux sens de la circulation.

Chers coll�gues, telles sont les raisons de solidarit�, d?efficacit� et de clairvoyance, au service de tous les Parisiens, qui m?ont conduit � pr�senter moi-m�me ce projet de d�lib�ration devant mon Conseil du 9e arrondissement. Quel contraste avec les positions de blocage de la droite parisienne ce matin lors du d�bat sur la ligne 92?

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Il faut conclure !

M. Jacques BRAVO, maire du 9e arrondissement. - ? qui, comme par hasard, ne traverse que des arrondissements tels que les 6e, 7e, 8e, 15e, 16e et 17e !

M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Depuis ce matin, �a y va !

M. Jacques BRAVO, maire du 9e arrondissement. - JeanFran�ois LEGARET, je ne vous ai pas interrompu d?un mot ce matin !

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur BRAVO, il faut que vous concluiez.

M. Jacques BRAVO, maire du 9e arrondissement. - Si ce que je vous dis vous g�ne, �coutez-le quand m�me ! Ecoutez-le quand m�me.

Je ne comprends pas l?opposition d�sormais syst�matique de la droite parisienne � tout am�nagement en faveur des usagers des transports en commun, je le r�p�te.

Soignez votre voix, Jean-Fran�ois LEGARET, vous �tes us�, l� !

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur BRAVO, est-ce que vous pouvez continuer ?

M. Jacques BRAVO, maire du 9e arrondissement. - Je le r�p�te, je ne prends de bus ni de droite ni de gauche, je veux des bus plus fr�quents, plus rapides, plus propres, plus accessibles, plus s�curis�s et mieux maill�s en r�seau.

Chers amis, r�solument, nous voterons pour ce projet de d�lib�ration.

(Applaudissements sur les bancs des groupes socialiste et radical de gauche, communiste, du Mouvement r�publicain et citoyen et ?Les Verts?).

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Nous voil� rassur�s !

Madame DOUVIN, vous avez la parole.

Mme Laurence DOUVIN. - Merci, Monsieur le Maire.

Je voudrais d?abord rassurer M. BRAVO. J?interviens non seulement sur le bus 92, comme ce matin, mais aussi sur le 26.

M. Denis BAUPIN, adjoint, au nom de la 3e Commission. - Encore!

Mme Laurence DOUVIN. - Oui, encore !

Nous n?allons pas refaire le d�bat de ce matin. Oui � la r�gularit� et � la fr�quence des bus, non aux am�nagements inutiles, co�teux et ayant pour v�ritable but de condamner � l?enfer tous les autres usagers.

Je me concentre sur le 26. Je voudrais parler des livraisons. Cela m?inqui�te de voir qu?elles sont pr�vues sur ?lincoln?, comme rue Saint-Lazare d?un c�t�, ou �galement sur l?avenue Simon-Bolivar, avec la mise en place de ces points sur les trottoirs par des ?lincoln?. La circulation dans les couloirs eux-m�mes ne peut que s?en ressentir et la difficult� de livrer aussi. Et cette difficult� rench�rit, bien s�r, les co�ts de livraison en rendant les conditions de ces livraisons difficiles pour les professionnels.

Ensuite, deuxi�me probl�me : sur les rues de Ch�teaudun et de La Fayette, il est mentionn� le maintien d?une ?large file de circulation?. L�, malgr� les explications qui m?ont �t� donn�es en 3e Commission, je ne sais pas ce qu?est une large file de circulation. Une large file de circulation, c?est une file unique et pas deux ; deux v�hicules de front, c?est plus de 5,40 m�tres. Avoir une largeur de voie entre 4,30 m�tres et 5 m�tres n?apporte rien. Au mieux, cela permet de d�passer un v�hicule en stationnement, mais c?est tout. C?est bien insuffisant. C?est tout � fait insuffisant en face du besoin �vident de maintien sur ces axes de tr�s forte fr�quentation de deux files pour la circulation g�n�rale dans les axes de remont�e vers le Nord de Paris.

Ensuite, je voudrais ajouter quelque chose qui concerne la desserte des gares de l?Est et surtout du Nord. Je suis toujours surprise, quand on �voque la desserte des gares, de ne jamais entendre prendre en consid�ration le besoin de ceux qui ont des valises et ne peuvent les mettre sur un v�lo ou prendre les transports en commun, par exemple les familles ou les personnes �g�es qui viennent prendre le train avec des bagages.

Rue du Jourdain, maintenant vous souhaitez installer un contresens cyclable prot�g� par un s�parateur tout en mettant la rue en sens unique depuis la rue des Pyr�n�es. Comment seront pr�vus les reports de circulation ? Il n?y a jamais d?�tude d?impact avec les projets ?Mobilien? et on ne d�couvre les d�g�ts qu?apr�s.

Globalement, sur cette ligne de 9,4 kilom�tres, les am�nagements propos�s dans une zone centrale et tr�s fr�quent�e ne vont pas manquer de provoquer des encombrements multiples.

Comme nous le savons tous maintenant, une diminution de la vitesse des v�hicules de la circulation g�n�rale comme celle qui surviendra engendre m�caniquement des encombrements et g�n�re de la pollution. Est-ce bien le but recherch� par ce projet de d�lib�ration ?

Merci.

(Applaudissements sur les bancs des groupes U.M.P. et Union pour la d�mocratie fran�aise).

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Cela va plus vite.

Madame NENNER, vous avez la parole.

Melle Charlotte NENNER. - Oui, tout comme Jacques BRAVO, je voulais rappeler notre soutien important au projet ?Mobilien?, en particulier pour la ligne 26.

Tout comme pour le 9e arrondissement, cet am�nagement de couloir de bus aura une vraie importance et est particuli�rement n�cessaire dans le 10e arrondissement.

D?autre part, je tiens aussi � souligner que la concertation dans le 10e a �t� large et a associ� les 6 conseils de quartier concern�s dans le 10e arrondissement par la tenue de la Commission extra municipale des d�placements.

Je tiens juste � rappeler �galement que le choix du couloir de bus bidirectionnel c�t� nord a aussi �t� motiv� par l?argument de facilit� et de lisibilit� des travers�es pi�tonnes.

En effet, pour les pi�tons, la travers�e de la rue Lafayette ne sera pas plus dangereuse qu?une rue classique � double sens puisque les pi�tons devront regarder � gauche puis � droite pour traverser la chauss�e et b�n�ficieront du refuge du s�parateur du couloir de bus afin de traverser en deux fois la rue si n�cessaire.

D?autre part, et cela me para�t important de le souligner, le diagnostic a montr� que la rue Lafayette constituait un v�ritable point noir pour le passage du bus, pris dans les embouteillages dans un sens et g�n� dans sa progression dans l?autre sens.

L?am�nagement de couloirs de bus s?av�re donc particuli�rement important pour les usagers du bus.

Enfin, je voulais juste r�pondre � Mme DOUVIN qui s?inqui�tait de la desserte des gares pour la d�pose minute ; en particulier de la gare de l?Est et de la gare du Nord. Je tiens � la rassurer puisque les projets que nous menons en ce moment de r�am�nagement complet du parvis de la gare du Nord et du projet de r�am�nagement du parvis de la gare de l?Est prennent en compte tous les modes de transport et en particulier la desserte minute qui est organis�e et qui permettra d?acc�der � la gare du Nord et � la gare de l?Est. Je rappelle qu?actuellement ces deux gares subissent un trafic de transit particuli�rement important qui nuit � cette desserte minute.

L?id�e est donc bien de casser le transit mais de permettre un acc�s facilit� � la gare pour les voyageurs.

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Merci.

Vous voulez r�pondre, Monsieur BAUPIN ?

M. Denis BAUPIN, adjoint, rapporteur. - Oui. Merci � l?ensemble des intervenants.

Je crois que chacun aura pu constater la diff�rence d?ambiance par rapport � ce matin puisque M. BARIANI nous avait dit tout � l?heure que sans doute si tous les maires d?arrondissement concern�s par la ligne 92 avaient donn� un avis d�favorable, c?est que le projet �tait mauvais. Je lui signale que tous les maires d?arrondissement sur cette ligne 26 ont consid�r� que le projet �tait bon et ont donc donn� un avis favorable.

Peut-�tre que l?on peut penser que sur la ligne 26 les services de la Ville, de la R.A.T.P., de la Pr�fecture de police ont extr�mement bien travaill� et extr�mement mal travaill� sur la 92, ou peut-�tre penser qu?il y a d?autres consid�rations qui ont fait que les discours de ce matin et ceux de cet apr�s-midi �taient diff�rents. Ainsi, j?aimerais remercier Jacques BRAVO pour son implication dans le projet et dans l?argumentaire qu?il vient de faire - je pense que c?est tr�s important que les maires d?arrondissement interviennent de fa�on aussi significative pour contribuer � la concertation et aux projets.

Quand des maires d?arrondissement ont envie de s?investir pour que des projets d�bouchent, eh bien ils d�bouchent et on propose des avis favorables. On am�liore les projets au fur et � mesure dans la concertation, ce que l?on a d�j� dit d?ailleurs ce matin en ce qui concerne la ligne 92.

Je ne reviendrais pas sur les am�nagements parce que Jacques BRAVO les a bien rappel�s. Je ne reviendrais pas sur le diagnostic que Charlotte NENNER a aussi largement �voqu� et qui montrait la n�cessit� de ces am�nagements.

Je voudrais juste dire � Mme DOUVIN que sa d�claration ?oui � la r�gularit�, non aux am�nagements? a au moins le m�rite de la clart�. C?est clair. Il faut que la r�gularit� tombe du ciel, c?est-�-dire qu?il ne faut surtout rien fermer mais il faudrait que ce soit r�gulier. Je pense qu?en effet cela traduit bien la logique qui �tait en place avant notre arriv�e, celle que vous proposez lorsque vous proposez de d�truire les couloirs de bus si jamais, par malheur, vous ne reveniez aux responsabilit�s.

Quelques mots sur les bagages, ce discours, auquel Mme NENNER a d�j� en partie r�pondu, qui voudrait que les 50 % de Parisiens qui n?ont pas de voiture ne puissent pas partir en train, ne puissent pas se d�placer avec des bagages est quelque chose qui appara�t absolument insupportable lorsqu?on est soi-m�me sans voiture et que?

Eh bien, oui, les valises sont maintenant � roulettes et on peut aller prendre le train en prenant le m�tro.

(Mouvements divers dans l?h�micycle).

Mais si ! Mais riez ! Riez ! Riez ! Riez, Madame DOUVIN. Riez mais c?est dire le m�pris que vous avez pour les Parisiens qui n?ont pas de voiture. C?est quelque chose qui est particuli�rement inqui�tant.

Dans les d�bats, on entend quoi ? On entend aussi : ?quand on fait ses achats pour No�l, on a besoin d?avoir une voiture?. Cela veut dire que les 50 % de Parisiens qui n?ont pas de voiture par exemple ne font pas de cadeaux de No�l � leurs enfants ? C?est cela qui est sous-entendu dans ces affirmations ?

(Mouvements de protestation sur les bancs des groupes

U.M.P. et Union pour la d�mocratie fran�aise).

La volont� de croire que le mode de d�placement normal dans Paris est la voiture se d�note dans toutes vos interventions. Cela vous am�ne � caricaturer l?impact des couloirs de bus.

Contrairement � ce que montre AIRPARIF, vous pr�tendez que les couloirs de bus augmentent la pollution. Et je suis content que dor�navant vous vous int�ressiez aux livraisons puisque vous avez sembl� vous poser la question sur la mani�re dont les livraisons allaient se faire.

Si vous �tiez venue au d�bat que nous avons organis� il y a quelques jours avec la Chambre de commerce notamment, vous auriez pu entendre Mme ROY, Pr�sidente de la Chambre de commerce, se f�liciter du travail men� avec la Municipalit� parisienne pour am�liorer les livraisons dans Paris?

(Applaudissements sur les bancs des groupes socialiste et radical de gauche, du Mouvement r�publicain et citoyen, communiste et ?Les Verts?).

?et cela c?est nouveau par rapport � ce qui avait pu se faire pendant de nombreuses ann�es.

M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - C?est tr�s bien.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD 5.

Qui est pour ?

Qui est contre ?

Qui s?abstient ?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2006, DVD 5).

Janvier 2006
Débat
Conseil municipal
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