retour Retour

127 - VI - Questions du groupe "Démocratie libérale et indépendants".QOC 2002-391 Question de M. Claude GOASGUEN et des membres du groupe "Démocratie libérale et indépendants" à M. le Maire de Paris au sujet de la fermeture de nombreux services hospitaliers durant l'été et plus particulièrement le service de soins palliatifs de l'hôpital Sainte-Perrine (16e)


Libell� de la question :
"Faute de personnel, de nombreux services hospitaliers fermeront leurs portes durant l'�t�.
Cette situation est encore moins admissible lorsqu'elle concerne un service de soins palliatifs tel que le service de l'h�pital Sainte-Perrine (16e).
M. Claude GOASGUEN et les membres du groupe "D�mocratie lib�rale et Ind�pendants" demandent � M. le Maire de Paris quels sont les projets � ce sujet, compte tenu du fait que ce service est le seul de ce type dans le 16e et qu'il est indigne de devoir faire subir � des personnes en fin de vie l'�preuve d'un transport saisonnier vers d'autres lieux pour des motifs strictement li�s � des probl�mes d'application de la loi sur les 35 heures."
R�ponse (M. Alain LHOSTIS, adjoint) :
"La fermeture de l'unit� de soins palliatifs n'est pas li�e � des probl�mes d'application des 35 heures, mais aux difficult�s de personnel particuli�rement sensibles pendant la p�riode de cong�s annuels.
Cette unit� comprend 4 lits d'hospitalisation. Les personnes malades sont adress�es par des m�decins de ville ou de structures hospitali�res ext�rieures au groupe hospitalier Sainte-Perrine - Chardon-Lagache - Rossini.
Aussi, afin d'�viter des transferts de patients, les admissions sont-elles arr�t�es ant�rieurement � la date de fermeture pr�vue.
Si malheureusement des patients sont encore hospitalis�s, leur transfert est organis� en �troite collaboration avec des �tablissements proches, en particulier l'h�pital Jeanne-Garnier, situ� dans le 15e arrondissement, et la continuit� du soutien accord�e aux familles est assur�e entre les deux �tablissements.
Les malades hospitalis�s dans les unit�s de soins de longue dur�e ou de soins de suite du groupe hospitalier Sainte-Perrine, qui n�cessitent des soins palliatifs, ne sont en aucun cas transf�r�s. Ils continuent � �tre pris en charge par l'�quipe mobile de soins palliatifs et par le personnel des services o� ils ont hospitalis�s."

Juin 2002
Débat
Conseil municipal
retour Retour