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67 - II - Questions du groupe " Union pour la démocratie à Paris ". QOC 99-89 Question de M. Jean-Philippe HUBIN à M. le Maire de Paris à propos de la réalisation de parkings, avenues Bosquet et de Ségur (7e)


Libell� de la question :
" Avant son d�c�s, M. FR�D�RIC-DUPONT avait lanc� la construction de 2 parkings dans le 7e arrondissement, le premier, avenue Bosquet, l'autre, avenue de S�gur.
Ces 2 �quipements, dont notamment celui de la rue Bosquet, est particuli�rement n�cessaire.
Ils ne sont toujours pas, plus de 4 ans apr�s le d�c�s de M. FR�D�RIC-DUPONT, en voie de r�alisation.
Des difficult�s juridiques avaient en effet �t� rencontr�es. Elles semblent aujourd'hui r�solues.
M. Jean-Philippe HUBIN demande donc � M. le Maire de Paris de lui faire part de l'�tat d'avancement de ces projets et notamment de celui relatif au parking de l'avenue Bosquet. "
R�ponse (M. Bernard PLASAIT, adjoint) :
" La convention relative � la construction et � l'exploitation de deux parcs r�sidentiels, Bosquet et S�gur dans le 7e, a �t� approuv�e par le Conseil de Paris en juillet 1994. Le concessionnaire �tait la S.A.E.M.E.S.
Le projet du parc Bosquet comporte 212 places sur 5 niveaux. Il est situ� entre la rue du Champ-de-Mars et la rue de Grenelle et pr�voit 200 amodiations et 12 locations. Celui du parc S�gur comporte 228 places sur 3 niveaux. Il est situ� entre l'avenue de Saxe et l'avenue Duquesne et pr�voit 200 amodiations et 28 locations.
Le montage financier d'origine �tait �quilibr�, les perspectives d'amodiations �tant bonnes � l'�poque.
Cette convention a �t� attaqu�e devant le Tribunal administratif qui a d�bout� r�cemment les plaignants. Juridiquement, il est donc possible de r�activer la convention pour r�aliser ces parcs.
Cependant, compte tenu de l'�volution de la conjoncture depuis cette date, le concessionnaire consid�re aujourd'hui que le nombre d'amodiataires et de locataires sera en-dessous des pr�visions initiales et que les montants d'amodiations devront �tre revus � la baisse.
L'ensemble de ces �l�ments ne permet plus d'envisager l'�quilibre financier de l'op�ration tel qu'il �tait pr�vu dans la convention. Le concessionnaire a donc indiqu� qu'il ne pouvait pas donner suite � cette op�ration � court terme.
Pour relancer cette affaire sous la forme d'une consultation " loi Sapin ", il faudrait pr�voir une subvention de la Ville, ce qui n'est pas envisageable. Les op�rations projet�es ne peuvent donc dans l'imm�diat �tre r�alis�es, mais devront �tre r�examin�es dans un an ou deux si la conjoncture �volue favorablement. "

Février 1999
Débat
Conseil municipal
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