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2007, SGRI 3 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer une convention triennale d’objectifs en avril 2005 avec l’Association internationale des Maires francophones (A.I.M.F.). - Attribution de la subvention correspondante. - Montant : 1.733.040 euros.


M. Yves CONTASSOT, adjoint, pr�sident. - Nous passons � l?examen du projet de d�lib�ration SGRI 3 concernant une autorisation � M. le Maire de Paris de signer une convention triennale d?objectifs en avril 2005 avec l?Association internationale des Maires francophones (A.I.M.F.).

Je demanderais aux intervenants d?�tre synth�tiques car nous prenons beaucoup de retard.

Je donne la parole � Mme Genevi�ve BERTRAND.

Mme Genevi�ve BERTRAND. - Merci, Monsieur le Maire. Bri�vement.

Comme toutes les ann�es pr�c�dentes, la subvention exceptionnelle que la Ville de Paris envisage d?attribuer � l?Association Internationale des Maires Francophones se maintient � 1.733.040 euros, niveau tr�s cons�quent.

La composition des recettes de l?A.I.M.F. fait appara�tre qu?en 2006 d?autres contributeurs ont confirm� leur apport � la hausse, manifestant leur soutien accru aux objectifs et aux r�alisations de l?A.I.M.F.

C?est notamment le cas de l?A.C.D.I., Agence Canadienne de D�veloppement International, du Qu�bec, de la communaut� fran�aise de Belgique.

Une interrogation concerne le montant de la subvention que le Minist�re fran�ais des affaires �trang�res a accord� � l?A.I.M.F. en 2006, d?un montant de 2.900.000 euros en augmentation de 1 million d?euros par rapport � 2005 et � 2004.

Quelles en sont les raisons ?

Bien �videmment, le groupe U.D.F., rassur� sur le contr�le de l?emploi des fonds, a toujours soutenu et soutiendra sans faille l?existence et les moyens d?action de l?A.I.M.F., composante essentielle de la dimension internationale et francophone de notre Capitale.

Mais qu?il me soit permis, � cette occasion assez rare d?�voquer dans notre enceinte le r�le international de la Ville de Paris? qu?il me soit donc permis de regretter la faible valorisation de l?�v�nement qu?aurait d� constituer l?accueil � Paris, il y a une quinzaine de jours, de maires et gouverneurs de villes et de r�gions du monde entier � l?occasion du Congr�s mondial de C.G.L.U., Cit�s et Gouvernements Locaux Unis, dont le Maire de Paris est l?un des 3 copr�sidents mondiaux.

Il me semble qu?un relief moins endog�ne aurait pu �tre consacr� � cet �v�nement consid�rable et flatteur pour Paris d?accueillir les repr�sentants de la moiti� des maires des grandes villes du monde.

Je vous remercie.

M. Yves CONTASSOT, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame BERTRAND.

Je donne la parole � M. SCHAPIRA � qui je demanderais d?�tre bref �galement.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, au nom de la 9e Commission. - Merci, Madame BERTRAND.

Vous savez, les relations internationales n?int�ressent pas forc�ment la grande presse. D?ailleurs, pendant la campagne des pr�sidentielles, vous voyez bien que ce n?est pas au centre des d�bats.

N�anmoins, � Paris nous avons une politique internationale et nous maintenant le cap.

Pour en revenir � la question que vous me posiez, relative � l?A.I.M.F., je peux vous confirmer que depuis que nous sommes en responsabilit�, nous avons fait en sorte d?avoir des bailleurs multilat�raux. Et c?est vrai que l?Agence Canadienne de Coop�ration et D�veloppement International, la communaut� fran�aise de Belgique, les villes de Lausanne, Li�ge, Luxembourg, Bordeaux - bref, j?en passe -, l?Agence de l?Eau, le S.I.A.A.P., l?Agence Seine Normandie, l?Agence Rhin Meuse et les villes membres �videmment sont toutes maintenant des bailleurs multilat�raux.

Vous avez raison de dire que le Minist�re des Affaires �trang�res a augment� sa subvention consid�rablement, et que celle du Minist�re de l?�ducation nationale est rest� stable. Je vous pr�cise que l?A.I.M.F. investit sur le budget allou� par la Ville de Paris 933.000 euros sur des projets de coop�ration concrets. L?A.I.M.F. est l?un des 5 op�rateurs de la Francophonie, et re�oit donc � ce titre des subventions du Minist�re des affaires �trang�res, et du Minist�re de l?Education nationale.

M. Yves CONTASSOT, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur SCHAPIRA.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SGRI 3.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2007, SGRI 3).

Mars 2007
Débat
Conseil municipal
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