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54 - QOC 97-19 Question de M. Pierre AIDENBAUM, Mmes Malvina PIN, Elisabeth LARRIEU et des membres du groupe socialiste et apparentés à M. le Maire de Paris relative aux missions des agents de la Propreté.



M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Nous passons � la question orale de M. Pierre AIDENBAUM, Mmes Malvina PIN et Elisabeth LARRIEU � M. le Maire de Paris relative aux missions des agents de la Propret�.
Je vous en donne lecture :
" Un audit interne des services de la Propret� de Paris a �t� r�alis� pour identifier les points faibles et d�gager des perspectives d'am�lioration des missions des agents de la propret� de la voie publique parisienne.
M. Pierre AIDENBAUM, Mmes Malvina PIN, Elisabeth LARRIEU et les membres du groupe socialiste et apparent�s demandent � M. le Maire de Paris de leur communiquer les conclusions de cette enqu�te, engag�e depuis plus de 3 mois, les dispositions pr�conis�es pour assurer l'�quit� du traitement entre tous les quartiers ainsi que les moyens envisag�s pour que les services agissent efficacement dans les rues �troites du centre de Paris. "
Je vous donne la r�ponse au lieu et place de M. Patrick TR�M�GE, adjoint.
En septembre 1995, le Maire de Paris pr�sentait les grands traits de sa politique sociale. Il engageait, en particulier, les services municipaux � s'adapter aux attentes des Parisiens comme � celles des agents.
Par ailleurs, cette volont� rejoignait et confortait la d�marche d�j� engag�e aux Services techniques de la Propret� de Paris. De multiples initiatives locales visaient � am�liorer la qualit� du service rendu aux Parisiens dans le domaine de la propret� des quartiers et � concevoir des possibilit�s nouvelles de mobilisation et de modernisation des moyens des services.
Le responsable des services a donc jug� opportun de dynamiser ce mouvement et d'entamer un travail de r�flexion collective : le projet de service. D�but� avec l'ann�e 1996, il vise � recenser les missions et les objectifs assign�s � la Propret� de Paris. Dans un premier temps, il a permis de d�gager les principaux probl�mes de propret� et les initiatives prises localement pour y rem�dier.
Il a �t� suivi d'un audit interne qui a permis d'identifier les points faibles et de d�gager les perspectives d'am�lioration. Un comit� de pilotage, compos� de responsables de la Direction de la Protection de l'environnement et des S.T.P.P., a retenu dix th�mes, consid�r�s comme prioritaires, tels que la lutte contre le d�p�t sauvage d'objets encombrants, contre les d�jections canines, la meilleure int�gration des agents dans leur territoire g�ographique, etc.
Il convenait ensuite de valider ces axes de progr�s, d'�laborer des propositions et de b�tir des plans d'actions. Pour ce faire, pr�s de 150 volontaires de tout grade ont constitu� des groupes de travail inter-hi�rarchie. Leurs propositions de plans d'action, remises en fin d'ann�e 1996, sont en cours de validation. Il faut en effet rappeler que toute modification d'organisation du service doit recevoir l'aval des organismes paritaires avant d'�tre exp�riment�e sur le terrain.
Garder et am�liorer l'aspect de propret� des rues, des trottoirs et des chauss�es de Paris constituent un d�fi quotidien pour les services de la Propret� et une pr�occupation constante de la Municipalit�. L'�galit� de traitement de tous les quartiers constitue donc un principe de base de l'organisation et du fonctionnement des S.T.P.P. qui transpara�t bien dans l'�nonc� de leur mission g�n�rale : Paris Propre Partout et en Permanence.

Janvier 1997
Débat
Conseil municipal
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