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131 - QOC 2001-416 Question de Mme Laurence DOUVIN et des membres du groupe "Démocratie libérale et indépendants" à M. le Maire de Paris à propos de l'état de saleté des rues de Paris


Libell� de la question :
"Les rues de Paris sont dans un �tat de salet� alarmant, ce qui provoque le m�contentement et l'incompr�hension d'un grand nombre d'habitants. La gr�ve des �boueurs, l'application du plan "Vigipirate renforc�" et l'incivisme de ceux qui d�posent des sacs n'importe o� sur les trottoirs, conjuguent les difficult�s.
Quelles mesures compte prendre M. le Maire de Paris face � ces probl�mes qui sont particuli�rement sensibles dans les rues pi�tonnes et dans celles o� sont install�es des march�s et commerces alimentaires, notamment rue Poncelet (17e), qui est particuli�rement �troite et tr�s fr�quent�e et o� commer�ants et riverains se plaignent de la salet� et des risques sanitaires encourus."
R�ponse (M. Yves CONTASSOT, adjoint) :
"Les services de la Propret� mettent en ?uvre tous les moyens pour maintenir chaque arrondissement dans le meilleur �tat de propret� possible.
Les effets n�gatifs du plan Vigipirate sont progressivement r�duits par la collecte syst�matique des sacs plastique de substitution, collecte qui peut s'effectuer plusieurs fois par jour.
Bien qu'affect� par un mouvement de gr�ve de tr�s courte dur�e au d�but du mois, le rythme de ramassage des ordures m�nag�res a retrouv� son cours normal gr�ce aux mesures arr�t�es par le service du Nettoiement d�s la lev�e du mouvement.
Les probl�mes sur les voies de march�, notamment rue Poncelet dans le 17e arrondissement sont g�n�r�s par la pr�sentation � la collecte d'un nombre important de cageots et cartons de gros volume sur un site exigu et bord� de commerces de bouche en pleine activit� � 13 h 30. Afin de tenter d'y rem�dier, les services �tudient les moyens d'inciter les commer�ants � limiter leurs d�p�ts au contenu de leurs bacs.
Enfin, une vaste campagne d'information "propret�" sera lanc�e au printemps 2002 pour tenter d'enrayer la mont�e galopante de l'incivisme, commune � tous les arrondissements, mais particuli�rement sensible dans certains secteurs."

Octobre 2001
Débat
Conseil municipal
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