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2010, Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif à la prise en compte des préoccupations des riverains dans l’aménagement du secteur Lourmel-Eglise (15e) en matière de circulation des véhicules à moteur au sein de l’îlot. Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif à la prise en compte des préoccupations des riverains dans l’aménagement du secteur Lourmel-Eglise (15e) en matière de santé publique et de respect de l’environnement. Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif à la prise en compte des préoccupations des riverains dans l’aménagement du secteur Lourmel-Eglise (15e) en matière de sécurité. Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif à la prise en compte des préoccupations des riverains dans l’aménagement du secteur Lourmel-Eglise (15e) en matière de hauteur des constructions. Vœu déposé par le groupe U.M.P.P.A. relatif à la prise en compte des préoccupations des riverains dans l’aménagement du secteur Lourmel-Eglise (15e) en matière de végétalisation de l’îlot.


M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Nous allons examiner conjointement les v?ux r�f�renc�s nos 112 � 116 dans le fascicule, d�pos�s par le groupe U.M.P.P.A., relatifs � la prise en compte des pr�occupations des riverains dans l?am�nagement du secteur Lourmel-�glise, dans le 15e.

Les veux ont �t� regroup�s : c?est Mme POIRAULT-GAUVIN qui va les pr�senter et pour l?ensemble, elle a cinq minutes. Merci.

Mme G�raldine POIRAULT-GAUVIN . - Merci, Monsieur le Maire, mes chers coll�gues.

Je suis intervenue � plusieurs reprises dans cette Assembl�e pour transmettre au Conseil de Paris les pr�occupations des riverains du programme Lourmel-�glise et j?esp�re, Madame la Premi�re adjointe, que nous parviendrons cette fois-ci � trouver quelques points d?accord pour permettre au mieux l?implantation de ce projet dans le 15e arrondissement.

C?est la raison pour laquelle j?ai d�pos� cinq v?ux pour permettre � l?Ex�cutif d?accepter au moins un v?u, une ou deux revendications.

Je redis avec insistance que les �lus de la majorit� du 15e soutiennent la cr�ation de l?ensemble des �quipements projet�s, dont le caract�re social et l?utilit� n?ont jamais �t� remis en cause par nous.

L?E.H.P.A.D., les logements sociaux, le foyer pour femmes en situation de pr�carit�, la halte-garderie sont n�cessaires � notre arrondissement : nous ne le contestons pas. Mais c?est son int�gration dans le quartier qui justifie mon intervention pour que ce projet soit accept� par les riverains qui vont voir leurs conditions de vie totalement changer.

Nous passons en effet d?un espace priv� � un espace public, mais dans ce dossier, malheureusement, les riverains, qui se sont largement exprim�s par le biais de p�titions lors de l?enqu�te publique, et les �lus aussi, ont le sentiment d?un Ex�cutif qui est sourd. Et je ne veux pas entendre aujourd?hui l?argument que vous avancez � chaque fois sur le nombre de lits et de logements qu?il faudrait supprimer. Il suffit de peut-�tre diminuer la taille des logements puisque vous ne voulez pas, dans le cadre de votre politique du chiffre en mati�re de logements sociaux, en diminuer le nombre pour permettre la diminution des hauteurs des constructions.

Premi�re revendication, premi�re pr�occupation, et c?est l?objet du v?u n� 112 : la circulation des v�hicules � moteur dans l?�lot.

La desserte de l?ensemble des nouvelles constructions va g�n�rer des flux importants de v�hicules de tous types camions, voitures, v�hicules l�gers - au sein de l?�lot. Une nouvelle voie, d?ailleurs, p�n�trant dans ce p�rim�tre, va �tre cr��e, et d�pendra de la Direction de la Voirie et des D�placements.

Dans une lettre qui a �t� adress�e par la SemPariSeine aux p�titionnaires, il est pr�vu une moyenne de 200 mouvements par jour, ce qui constitue bien entendu une hypoth�se basse.

Or, aujourd?hui, cet �lot est un havre de tranquillit� avec une moyenne de z�ro mouvement par jour. Nous aimerions d?ailleurs savoir sur quelle �tude la SemPariSeine se fonde pour avancer ces chiffres.

Une couverture des voies de circulation � l?int�rieur de cet espace serait la solution id�ale.

Mais en tout cas, � d�faut, le libre acc�s de l?ensemble des v�hicules ne peut �tre accept� de jour comme de nuit : il faudrait d?ailleurs un acc�s par badge de 18 heures � 8 heures du matin, une barri�re � l?entr�e, des ralentisseurs, pour r�duire les nuisances sonores.

Deuxi�me regret, la climatisation et la ventilation de l?E.H.P.A.D.

L?implantation d?un local technique, d?un groupe �lectrog�ne, d?un syst�me de climatisation sur le sommet de l?E.H.P.A.D. posent trois types de probl�mes : un surcro�t de hauteur, des nuisances sonores et un risque sanitaire. L� aussi, les r�ponses de la SemPariSeine ne sont pas suffisantes, et c?est l?objet du v?u n� 113.

Le v?u n� 114 concerne la s�curit� sur l?ensemble de l?�lot.

L?agencement des nouvelles constructions, l?acc�s aux terrasses, aux balcons, le libre acc�s � l?�lot la nuit sont de nature � favoriser un climat d?ins�curit� dans ce qui constitue pour le moment, je l?ai dit, un havre de tranquillit�.

Donc, un renforcement de l?�clairage, l?installation de vid�oprotection, la restriction de l?acc�s � cet espace le soir et la nuit sont des solutions qui permettraient de r�duire, de pr�venir les probl�mes de s�curit�.

Quatri�me crainte, et c?est l?objet du v?u n� 115 : la hauteur excessive des constructions.

L?engagement, d?ailleurs, que les b�timents ne d�passent pas quatre �tages avait �t� pris par la Ville lors de la r�union publique de concertation en mai 2008 et, pourtant, les cotes ont largement augment� au fur et � mesure au cours de ces deux derni�res ann�es. Le maintien de la vue, de la lumi�re pour les logements existants est largement remis en cause. Donc, ne diminuez pas le nombre de logements mais peut-�tre leur taille pour pouvoir respecter le cahier des charges et r�duire les hauteurs : c?est une solution qui me semble acceptable.�

Cinqui�me inqui�tude : la trop forte densification de l?�lot.

Le parti pris est �trange. A deux pas de la parcelle Boucicaut, o� on nous a expliqu� qu?il fallait une respiration, de la v�g�talisation, etc., alors qu?un espace vert �tait pr�vu � l?origine pour all�ger l?ensemble du programme, les emprises des b�timents au sol sont plus importantes que pr�vu. On nous parle de toitures v�g�talis�es mais les usagers des �quipements ne pourront pas en profiter, ni les riverains. Donc, nous pr�voyons dans le v?u n� 116 une v�g�talisation au sol.

Voil� mes chers coll�gues, une municipalit� responsable est une municipalit� qui sait d�gager un consensus, trouver des solutions aux probl�mes pos�s.

Une Municipalit� responsable est une municipalit� qui sait convaincre en donnant quelques satisfactions aux demandes l�gitimes. On a le sentiment d?une concertation de fa�ade. Vous n?aviez rien c�d�, je conclus, Monsieur le Maire. Vous n?avez rien c�d�, d?ailleurs avec un certain m�pris. Les riverains de ce projet ne sont pas moins dignes d?int�r�t que les futurs usagers de cet �quipement public.

Donc, vous ne pourrez pas dire que la mairie du 15e n?a pas tout tent� pour essayer de trouver une solution acceptable pour tout le monde.

Je vous remercie.

(Applaudissements sur les bancs des groupes U.M.P.P.A. Centre et Ind�pendants).

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame.

Pour la r�ponse, je donne la parole � Anne HIDALGO.

Mme Anne HIDALGO, premi�re adjointe. - Tr�s bien. Bon d�marrage ce matin.

Avant d?entrer dans le d�tail de ces cinq v?ux, je note avec un grand plaisir que les �lus U.M.P. soutiennent la cr�ation des �quipements publics projet�s : ce n?est pas si fr�quent.

Je m?en r�jouis, c?est �crit dans les v?ux et vous l?avez rappel�. Je le dis sans ironie : cela fait du bien de voir qu?il y a une reconnaissance du travail que le Maire de Paris, moi-m�me, Liliane CAPELLE, Jean-Yves MANO, nous r�alisons sur ce dossier pour le 15e arrondissement.

J?en viens donc au premier v?u. Il est fait r�f�rence � des questions de circulation de v�hicules � moteur. Vous nous dites qu?il va falloir vraiment faire en sorte que la voie de circulation pr�vue en c?ur d?�lot ne soit pas un lieu de passage.

Je le dis pour ceux qui ne connaissent pas le dossier, c?est un tr�s beau projet que nous soutenons depuis longtemps, qui vient s?inscrire sur un lieu qui �tait une friche. Il n?y avait rien, c?�tait tout de m�me une esp�ce de d�sert, avec un hangar offrant des vues absolument d�plorables aux riverains, sur lequel vont �tre r�alis�s non seulement un E.H.P.A.D. - nous nous en r�jouissons avec Liliane CAPELLE -, mais �galement des logements.

C?est l?�quipe T.V.K., celle-l� m�me qui assure aujourd?hui la r�novation de la place de la R�publique, qui a gagn� le concours d?architecture et a propos� vraiment quelque chose de tout � fait int�ressant pour un c?ur d?�lot, dans un quartier qui n?a pas vraiment d?identit� en termes d?architecture et d?urbanisme tant tout a �t� d�moli et reconstruit, sans que l?on tienne compte vraiment de la beaut� et de la qualit� de cet �lot.

Donc, la voie de circulation qui est pr�vue en c?ur d?�lot va desservir les �quipements municipaux. Elle int�grera le domaine public de la voirie.

Les v�hicules � moteur qui vont emprunter cette voie en impasse seront peu nombreux, principalement destin�s au service de livraison des �quipements. Au maximum, nous compterons 200 mouvements quotidiens.

Vous savez, on a la chance d?avoir � la Ville des fonctionnaires extr�mement comp�tents, qui savent tr�s bien faire les comptages, en mati�re de voirie. D?ailleurs, la Pr�fecture de police s?appuie souvent et converge avec les comptages que nous faisons.

Vous pourrez avoir acc�s � ces comptages, si vous le voulez. En tous les cas, nous faisons confiance aux services de la Ville qui nous disent qu?il y aura au maximum 200 mouvements quotidiens.

Nous avons d�cid� de ne pas mettre en place un syst�me de fermeture dans cet �lot et � cette voie, d?abord parce que ce sont des syst�mes dont nous savons qu?ils sont tout � fait inefficaces dans le temps et qu?aucun des futurs gestionnaires de l?�lot ne pourrait prendre en charge la mise en place d?un tel syst�me de contr�le en vue d?une hypoth�tique fermeture du site.

Donc, nous avons envisag�, ce qui nous para�t tout de m�me nettement mieux, un traitement pi�ton de cette voie afin de limiter l?entr�e des v�hicules ext�rieurs et leur stationnement, puisque c?est tout � fait incompatible avec la desserte des services de s�curit�.

Par ailleurs, vous savez qu?il y a un parking souterrain qui, lui, sera contr�l� jour et nuit.

Sur le v?u n� 2, vous nous parlez des �missions nocives li�es aux installations de climatisation en toiture. A ce jour, vous le savez d?ailleurs puisque cela vous a d�j� �t� dit, les installations de climatisation n?entra�nent aucun risque et le sujet a �t� r�solu, y compris avec les riverains.

Je vous rappelle tout de m�me que, ce site �tant en zone P.P.R.I., inondable, le plan de pr�vention des risques d?inondation interdit que certaines installations soient implant�es en sous-sol, dont le groupe �lectrog�ne, dont le fonctionnement n?interviendrait qu?en cas de panne du r�seau E.D.F., ce qui est essentiel. On a affaire � un E.H.P.A.D., et s?il n?y a pas de groupe �lectrog�ne, on aura des difficult�s en cas de rupture de l?approvisionnement �lectrique. Ce groupe �lectrog�ne sera install� en toiture, ainsi qu?un groupe de traitement d?air.

De plus, l?emprise des installations en toiture a �t� r�duite, suite � la concertation qui s?est engag�e avec les riverains, que j?ai rencontr�s, moi aussi, et que la S.E.M. rencontre r�guli�rement.

Ils ont d?ailleurs particip� au jury d?architecture, puisque nous avions des repr�sentants des riverains, qui ont vot� aussi pour le projet de l?architecte T.V.K. A la demande des riverains, ce seront 160 m�tres carr�s contre 380 m�tres carr�s en sous-sol qui seront pr�vus pour r�duire les installations en toiture.

Diverses dispositions sont pr�vues aussi pour pr�server les immeubles riverains. Ainsi, l?installation des �quipements techniques se fera dans des locaux ferm�s, ce qui est la moindre des choses.

Enfin, cette op�ration Lourmel respectera les exigences de certification habitat et environnement, dont je vous rappelle que les niveaux de performance sont sup�rieurs � la r�glementation actuelle.

Tous ces �l�ments visant l?environnement et la sant� publique sont bien s�r disponibles sur le site d�di� � ce projet, www.egliselourmel.fr.

Je donnerai un avis d�favorable � ce v?u, comme pour le premier.

Le troisi�me v?u concerne l?�clairage. Bien s�r, l?�clairage du site va �tre appropri� � la configuration de l?espace int�rieur dans un double objectif de confort et de s�curit�.

Conform�ment au programme d?am�nagement vot� par le Conseil de Paris, les espaces au sol qui vont permettre l?acc�s au logement, � l?E.H.P.A.D. et � la cour centrale auront un statut d?espace public, ce qui sera tout de m�me beaucoup plus clair pour tout le monde.

A ce titre, d?ailleurs, c?est la Ville de Paris avec la Direction de la Voirie et des D�placements qui aura en charge la maintenance et la gestion de la voie et de la cour cr��e.

Mais si vous souhaitez que la Pr�fecture de police remette de la police de proximit� qui puisse circuler dans cet �lot, nous y sommes tout � fait favorables, bien �videmment.

J?�mettrai donc un avis d�favorable aussi � ce v?u.

De m�me pour le v?u suivant qui nous explique que la hauteur des b�timents est excessive sur ce site. Ecoutez, soyons tout de m�me raisonnable. Je veux bien que l?on invente l?immeuble avec des logements en sous-sol, parce que je ne vois pas comment on case un programme comme celui-ci, qui n?est pas un programme particuli�rement dense, qui est tr�s utile au public.

Je pense que, tout de m�me, avoir un E.H.P.A.D. avec des personnes �g�es d�pendantes ne fait pas peur aux riverains. J?ai plut�t le sentiment, pour ceux que je rencontre, qu?ils sont satisfaits de cela.

Ne venez pas nous parler de difficult�s dans l?architecture. Franchement, regardons avant et apr�s. Le projet architectural de T.V.K. s?inscrit parfaitement dans l?E.P.U.R. d?am�nagement telle qu?elle a �t� d�battue au cours de la concertation que nous avons eue en 2008.

Je voudrais vous rappeler, bien s�r, que toute baisse suppl�mentaire des b�timents, qui ne sont tout de m�me pas des b�timents de grande hauteur, contrairement � ceux qui sont autour de lui, induirait une perte de surface.

Je pense que vous savez tr�s bien que l?on ne peut pas remettre en cause ce que l?on a d�j� vot� en termes de programmation et de surfaces d�di�es aux logements et aux �quipements publics.

J?�mettrai un avis d�favorable.

Vous faites r�f�rence dans le v?u n� 116 � une trop forte densit� en c?ur d?�lot. C?est � relativiser. L?op�ration porte sur une constructibilit� globale d?un C.O.S. de 1,95 et de 1,6 pour le c?ur d?�lot.

Je vous rappelle que les parcelles riveraines, dont les constructions sont implant�es en limite du site, supportent un C.O.S. de 4 et m�me de 5. Je pense notamment � l?adresse du 84 rue de Lourmel.

Je voudrais aussi pr�ciser que la cr�ation d?un espace vert a �t� pr�sent�e dans le cadre d?un second sc�nario qui a �t� retenu, � l?issue de la concertation. Nous avons effectivement l� un petit espace vert qui va na�tre �galement � cet endroit.

S?agissant de la v�g�talisation du c?ur d?�lot, les efforts sont port�s vers un meilleur �quilibre entre le v�g�tal et les diff�rentes contraintes du site, notamment celles qui rel�vent des questions de s�curit�, de l?acc�s pompiers et de la lisibilit� aussi de l?espace central.

Conform�ment aux prescriptions paysag�res, les pieds d?immeubles et les pieds de murs mitoyens sont trait�s avec des bandes plant�es d?un m�tre de large. De plus, un mur mitoyen lat�ral en vis-�-vis avec la cour plant�e fait l?objet d?un traitement v�g�talis�.

Enfin, les espaces ext�rieurs des constructions sont plant�s en toiture, comme je l?ai demand�. D?ailleurs, cela figure dans quasiment toutes les propositions que nous recevons aujourd?hui de la part des architectes.

L?id�e qu?il y ait des toitures en terrasse plant�es et v�g�talis�es, et que l?on aille y compris vers des terrasses partag�es � l?instar des jardins partag�s en pied d?immeuble est quelque chose qui est en train de faire jurisprudence. Je m?en r�jouis dans notre Ville.

C?est donc un avis d�favorable au v?u pr�sent� par l?U.M.P.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u r�f�renc�e n� 112, d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u r�f�renc�e n� 113, d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u r�f�renc�e n� 114, d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u r�f�renc�e n� 115, d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Je mets aux voix, � main lev�e, la proposition de v?u r�f�renc�e n� 116, d�pos�e par le groupe U.M.P.P.A., assortie d?un avis d�favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

La proposition de v?u est repouss�e.

Novembre 2010
Débat
Conseil municipal
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