M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Nous passons donc en 6e Commission, et allons examiner le v?u n� 35 qui ne se rattache � aucun projet de d�lib�ration, d�pos� par Mme Violette BARANDA et M. Olivier PAG�S au nom du groupe des "Verts".
Oui, je vous en prie, Madame ATALLAH, vous avez la parole.
Mme Marie-Th�r�se ATALLAH. - Les points "Emeraude" se sont vus donner comme double objectif l'information, le conseil et l'orientation des personnes �g�es sur les diff�rents services, aides et structures existants � Paris et sur tout ce qui est susceptible d'am�liorer leur vie au quotidien. La mise en place ou le renforcement de la coordination locale m�dico-psychosocial, des diff�rents professionnels intervenants aupr�s des personnes �g�es � Paris.
Destin�s � constituer de v�ritables lieux de ressources pour les personnes �g�es et pour les professionnels du secteur, tous les points "Paris-Emeraude" n'ont pas aujourd'hui les moyens de remplir, comme on le souhaiterait ce r�le, entre autres parce qu'ils manquent de visibilit�, autant pour les professionnels que pour les personnes �g�es et que leurs locaux ne sont toujours pas adapt�s pour l'accessibilit� de ces personnes �g�es. Nous pensons que le rapprochement g�ographique des points "Paris-Emeraude" se trouvant dans cette situation vers des r�sidences sant�, quand cela est possible, peut �tre une solution int�ressante pour r�pondre aux besoins actuels de visibilit� et d'accessibilit�. Sur proposition de Violette BARANDA et Olivier PAG�S, le groupe des �lus "Verts" a �mis le v?u que soient transf�r�s � titre exceptionnel des points "Paris-Emeraude" dans les r�sidences pour personnes �g�es relevant du Centre d'action sociale de la Ville de Paris.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Mme STIEVENARD va vous r�pondre.
Mme Gis�le STIEVENARD, adjointe. - Nous avons d�j� eu la discussion en Commission � ce sujet. Il y a � l'�vidence la volont� de la part de l'Ex�cutif municipal de renforcer les moyens des points "Paris-Emeraude" qui peuvent avoir un r�le de pivot dans un travail partenarial avec l'ensemble de ceux qui interviennent aupr�s des personnes �g�es. Il y a donc n�cessit� de leur donner davantage de moyens humains. L'acquisition des locaux sera �galement examin�e. La suggestion qui est faite de les positionner au sein des r�sidences-sant� sera �tudi�e, mais il faut savoir qu'il y a peu d'espace disponible, sauf � les inclure dans les futurs �tablissements qui sont pr�vus, puisque vous savez que nous avons quatre projets de maisons de retraite, dont le premier concerne les terrains H�rold dans le 19e arrondissement. J'enregistre la proposition qui est faite. Nous l'examinerons bien �videmment avec int�r�t et nous veillerons � am�liorer les conditions de travail et de r�ception au sein de ces points "Paris-Emeraude".
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - L'avis est-il favorable sur le v?u ?
Mme Gis�le STIEVENARD, adjointe. - Oui.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u avec un avis favorable de l'Ex�cutif.
Qui est pour ?
Qui est contre ?
Abstentions ?
Le v?u est adopt�. (2003, V. 175).