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2010, Vœu relatif aux horaires des vacataires des "Points écoles" déposé par le groupe U.M.P.P.A. Vœu déposé par l'Exécutif.


M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Nous poursuivons avec l'examen des v?ux nos 71 et 71 bis, pr�sent� par le groupe U.M.P.P.A., sur la gestion des "Points �coles".

Mme DOUVIN � nouveau, et Christophe GIRARD, � nouveau, r�pondra en pr�sentant le v?u n� 71 bis.

Madame DOUVIN, vous avez la parole.

Mme Laurence DOUVIN. - Monsieur le Maire, mes chers coll�gues, il s?agit de la surveillance des "Points �coles". Comme vous le savez, elle est confi�e � des vacataires. La convention qui lie la Ville de Paris avec ces vacataires pr�voit quatre cr�neaux horaires dans la journ�e, mais ne permet pas de surveillance le soir.

Or, nous avons affaire � une demande croissante des associations de parents d'�l�ves et des directions des �coles pour une surveillance des "Points �coles" aux alentours de 18 heures.

C'est pourquoi nous demandons que cette convention liant la Ville de Paris avec les vacataires soit revue pour permettre un �talement des horaires de surveillance, en particulier le soir aux alentours de 18 heures.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame.

M. Christophe GIRARD a la parole.

M. Christophe GIRARD, adjoint. - Mes chers coll�gues, ch�re Madame DOUVIN, Paris compte 660 �coles publiques, dont 322 maternelles et 328 �l�mentaires, qui accueillent plus de 136 �l�ves.

Depuis 1998, la Ville de Paris a pris � sa charge, par le biais d'une convention, une mission de circulation incombant � la Pr�fecture de police, la surveillance des travers�es pi�tonnes aux entr�es et sorties de certaines �coles.

Ces "Points �coles" sont class�s par ordre de dangerosit� par la Pr�fecture de police avant chaque rentr�e scolaire selon un r�f�rentiel qui prend en compte diff�rents crit�res tels que la densit� du trafic, la signalisation, les am�nagements de voirie, etc.

En fonction du croisement de ces crit�res, il appara�t que certains "Points �coles" ne n�cessitent aucune surveillance particuli�re.

Je vous demande le silence.

Monsieur LHOSTIS?

Il appara�t que certains "Points �coles" ne n�cessitent aucune surveillance particuli�re tandis que d'autres doivent au contraire faire l'objet d'une surveillance humaine.

� ce jour, la Ville de Paris assure, gr�ce � des personnels vacataires, la surveillance humaine de 294 "Points �coles", dont 55 nouveaux points cr��s � la rentr�e 2010.

� ce propos, Monsieur le Pr�fet de police, Georges SARRE le dit et le r�p�te depuis qu'il est Adjoint � la s�curit�, il est indispensable que la Pr�fecture de police surveille effectivement les siens, d'autant que la Ville finance 2.000 A.S.P.

Dans son programme �lectoral de 2008, "Paris un temps d'avance", le Maire de Paris a propos� que le nombre de "Points �coles" surveill�s par la Ville de Paris soit port� � 500 d?ici 2014.

Alors, je vous remercie.

Je veux �tre s�r d'avoir tout dit et sur le v?u, il y a un v?u bis qui est pr�sent�.

Et donc, je proposerai � Mme DOUVIN, si elle accepte ce v?u bis, de retirer le sien.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Il dit quoi ?

M. Christophe GIRARD, adjoint. - Je vous propose donc, Madame la Maire, de retirer votre v?u au profit d'un v?u bis de l'Ex�cutif proposant d'une part que la D.P.P. et la DASCO, j'associe donc Mme BROSSEL, �tablissent un diagnostic fin des besoins et que d?autre part, la D.P.P. r�ponde aux besoins diagnostiqu�s.

Vous avez compris ?

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - C'est tr�s clair.

Mme Colombe BROSSEL, adjointe. - C'est tr�s bien.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - C?est parfait, c?est limpide.

Madame DOUVIN, est-ce que vous saisissez la proposition ?

Mme Laurence DOUVIN. - Si j?ai bien compris, si la D.P.P. doit effectivement faire un diagnostic, consid�rer les besoins et prendre les mesures en fonction des besoins, je retire mon v?u.

M. Fran�ois DAGNAUD, adjoint, pr�sident. - Merci beaucoup.

Je prends acte du retrait du v?u n� 71.

Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u de l'Ex�cutif avec le soutien a priori unanime du Conseil.

Qui est pour ?

Pas d?oppositions ?

Abstentions ?

Le v?u est donc adopt�. (2010, V. 320).

Décembre 2010
Débat
Conseil municipal
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