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M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous examinons le projet de d�lib�ration DDEEES 298.

La parole est � Sylvain GAREL. Il s'agit d?une subvention � l'association des commer�ants du Haut-Montmartre pour les illuminations de fin d?ann�e.

M. Sylvain GAREL. - Merci, Monsieur le Maire.

C'�tait une intervention tr�s courte, simplement pour f�liciter les commer�ants du Haut Montmartre, d?abord pour les illuminations qu?ils font depuis maintenant trois ans, mais surtout pour avoir respect� les recommandations d'un v?u que nous avons fait adopter, dans le 18e et au Conseil de Paris, de ne pas commencer les illuminations avant le d�but d�cembre.

Effectivement, l?association des commer�ants du Haut Montmartre a inaugur� ses illuminations le 7 d�cembre. Ils ont donc largement respect� cette r�glementation. Cela me permet � c�t� de cela de d�noncer ceux qui, comme par exemple les commer�ants du Poteau, ont commenc� d�s le 10 novembre � �clairer leur rue alors que nous avons adopt� un v?u pour que les illuminations ne commencent pas avant le 1er d�cembre, pour �viter un gaspillage mais aussi un d�tournement complet des f�tes de fin d?ann�e avec pour effet que dans certains quartiers on illumine, du 1er d�cembre au 1er f�vrier, c?est-�-dire pendant plus de trois mois, les rues.

Je pense que notre Ville doit maintenant passer � une deuxi�me phase par rapport aux associations de commer�ants, et dire que nous conditionnons nos subventions au fait que soient respect�es ces limites que nous avons donn�es, c?est-�-dire du 1er janvier jusqu'� la semaine qui suit les soldes de janvier, c?est-�-dire la mi-janvier. Je pense que les associations qui ne respectent pas cette r�gle devraient se voir priv�es de tout ou partie de leurs subventions.

Je vous remercie.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Merci.

La parole est � Mme Lyne COHEN-SOLAL.

Mme Lyne COHEN-SOLAL, adjointe, au nom de la 2e Commission. - Merci.

Je vais faire comme Sylvain GAREL, je vais f�liciter les commer�ants du Haut Montmartre pour les illuminations, pour la peine qu'ils prennent d?organiser ces festivit�s et pour respecter aussi les dates que nous indiquons par lettre. Nous envoyons des lettres pour confirmer les subventions dans lesquelles nous notons, de mani�re extr�mement explicite, le fait que ces illuminations doivent avoir lieu seulement en d�cembre et janvier.

Evidemment, nous ne pouvons pas proc�der par oukase, d�cr�ter depuis l'H�tel de Ville que c'est comme cela et pas autrement. Moi, je compte aussi sur les maires d'arrondissement pour en d�battre avec les associations de commer�ants.

Ce sont les maires d?arrondissement qui nous donnent des avis sur les associations qui m�ritent d'�tre aid�es. Je trouve qu'il est normal aussi que, par arrondissement, les choses soient faites de mani�re organis�e.

C?est vrai que je trouve un peu dommage d'illuminer d�s le 15 novembre, mais souvent les associations de commer�ants se basent sur les grands magasins qui ne sont absolument pas subventionn�s par la Ville et qui font ce qu'ils veulent.

Nous le redisons et nous allons le redire. Simplement, nous n'intervenons que pour 30 % dans le prix de ces illuminations, le reste �tant assum� par les associations de commer�ants.

Nous allons donc le redire, comptez sur nous, mais je pense que les maires d'arrondissement pourraient aussi en parler avec les associations de commer�ants qu'ils connaissent afin que les choses soient plus coordonn�es, mais je suis d'accord avec vous sur le fond.

M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Merci.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DDEEES 298.

Qui est pour ?

Contre ?

Abstentions ?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2010, DDEEES 298).

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