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M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Le v?u n� 46 est relatif � la mise en place d?un dispositif de contr�le d'acc�s aux voies de l?�lot Maillol-Maignen-Leclanch�. Il a �t� d�pos� par le groupe U.M.P.P.A.

La parole est � M. Philippe GOUJON.

M. Philippe GOUJON, maire du 15e arrondissement. Merci, Monsieur le Maire.

Nous sommes l� dans un secteur difficile du 15e, le long des voies ferr�es de Montparnasse, et qui est anim�, malheureusement, par des trafics de drogues, des rassemblent nocturnes et diurnes, des agressions, etc.

C'est la raison pour laquelle un v?u a �t� adopt�, d?ailleurs � l'unanimit�, lors du Conseil du 15e arrondissement pour mettre en place un syst�me de contr�le d'acc�s, de fermeture de cet ensemble social immobilier � la demande des riverains - il y a eu une p�tition des riverains, d'une directrice de cr�che -, et lors du dernier conseil de quartier, ceci a �t� propos�, parce qu'il y a des jeux de ballon violents, parce que la gardienne a encore �t� agress�e r�cemment, un personnel technique de la R.I.V.P. aussi ; il y a un certain nombre d?incivilit�s et de bandes.

Il a �t� demand� que?

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Monsieur GOUJON, dirigez-vous vers votre conclusion.

M. Philippe GOUJON, maire du 15e arrondissement. - ? les rues Maignen et Leclanch� soient int�gr�es au square Dalpayrat, de mettre une meilleure surveillance, bref, une meilleure protection de ce site.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Je vous remercie.

Madame LEPETIT, vous avez la parole.

Mme Annick LEPETIT, adjointe. - Merci, Monsieur le Maire.

J'�mets un avis favorable sur ce v?u.

Je souhaite juste apporter quelques pr�cisions, puisqu'il s'agit de voies publiques pi�tonnes am�nag�es, je crois, dans les ann�es quatre-vingts, dans le cadre de la Z.A.C. "Vaugirard". Elles sont aujourd'hui le lieu de trafics et de rassemblements nocturnes.

Je pensais d?ailleurs qu'il y avait un dispositif de contr�le d'acc�s aux voies ; il n?y est plus. Par cons�quent, il faut, bien �videmment, en remettre un, d'une mani�re ou d'une autre.

Je ne vous cacherai pas, Monsieur GOUJON, et vous le savez mieux que moi, que le cas de la rue Maillol est plus complexe, parce que dans cette voie, il y a des �quipements publics, notamment une cr�che, et que la voie est consid�r�e comme voie pompiers par la Pr�fecture de police. La fermer reviendrait � la d�classer en voie priv�e et je ne suis pas s�re que les habitants recherchent cette solution-l�.

On va donc y r�fl�chir. J'accepte votre v?u, d'autant qu'il a �t� vot� � l'unanimit� lors du Conseil du 15e arrondissement, mais je vous demanderai, bien �videmment, l'aide de tous les �lus du 15e pour que nous puissions examiner tr�s pr�cis�ment le cas de la rue Maillol, qui pose des petits probl�mes.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Merci.

Vous le posez, il y a un avis favorable, tr�s rapidement.

M. Philippe GOUJON, maire du 15e arrondissement. - Je remercie Mme LEPETIT de sa proposition et que nous puissions tous ensemble veiller � ne pas commettre l?erreur qui avait �t� commise avec la mise en place d'une barri�re qui n'a pas donn� satisfaction et qui, au contraire, a amen�, � la limite, plus de probl�mes qu'elle n'en a r�gl�.

Merci de cet accord sur ce v?u.

M. Jean VUILLERMOZ, adjoint, pr�sident. - Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u d�pos� par le groupe U.M.P.P.A. assorti d'un avis favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour ?

Qui est contre ?

Abstentions ?

Le v?u est adopt� � l'unanimit�. (2010, V. 99).

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