2010, DVD 132 - Approbation du principe et des modalités de lancement d'une consultation relative à la fourniture de matériel de comptages routiers pour l'Observatoire de la Mobilité. Signature du marché correspondant.
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M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Nous examinons le projet de d�lib�ration DVD 132 concernant l'approbation du principe et des modalit�s de lancement d?une consultation relative � la fourniture de mat�riel de comptages routiers pour l?Observatoire de la Mobilit�. Signature du march� correspondant.
La parole est � Mme DOUVIN, pour cinq minutes maximum.
Mme Laurence DOUVIN. - Je vais faire beaucoup moins, Monsieur le Maire.
Je vais simplement revenir sur une question pos�e plusieurs fois dans cette enceinte, parce qu'elle ne re�oit pas de r�ponse.
Pouvoir effectuer des comptages routiers est une n�cessit� �vidente, pour �tre en mesure d?appr�cier le volume de la circulation et, bien s�r, son �volution dans diff�rentes circonstances. Il n'est donc pas question de s?opposer au principe m�me de ce projet de d�lib�ration et, justement, parce que les �tudes qui sont demand�es par l?Observatoire de la Mobilit� int�ressent tous les �lus, nous sommes en faveur de cette d�pense envisag�e pour l'achat de compteurs et nous demandons � �tre destinataires du r�sultat de ces comptages et �tudes.
Il est parfaitement choquant que, la plupart du temps, ces �tudes restent confidentielles et � l'unique disposition de l?Ex�cutif, alors qu'elles sont financ�es avec les imp�ts de tous les Parisiens et que nous avons parfaitement le droit, sinon le devoir, d?en conna�tre la teneur.
Je demande donc que le r�sultat de ces comptages et �tudes soit communiqu� � tous les �lus ou au minimum aux membres de la 3e Commission.
Je vous remercie.
M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame.
La parole est � Mme LEPETIT.
Mme Annick LEPETIT, adjointe, au nom de la 3e Commission. - J'appr�cie beaucoup les interventions de Mme DOUVIN quand elle r�clame, et elle le fait assez souvent, � cor et � cri, qu'elle n'est pas assez inform�e.
Je suis plut�t dans la transparence et je donne toutes les informations, d�s lors qu'elles sont en ma possession et d�s lors, surtout, qu'elles sont utiles.
Il est normal que nous ayons et que l'Ex�cutif ait des outils pour travailler, c'est la moindre des choses, et qu'ils soient, bien �videmment, communiqu�s aux �lus ; c'est le cas, par exemple, Madame DOUVIN, pour la mise en place du double sens cyclable o� des comptages ont �t� faits, pr�cis, et ce sont des �l�ments qui sont donn�s aux maires d'arrondissement dans le cadre des discussions que nous avons avec eux pour l'installation des double sens cyclables.
Je vous donne cet exemple parce qu'il est tr�s pr�sent dans mon esprit, puisque nous sommes en train de le faire, mais quand il s'agit de travaux, l� aussi, je me r�f�re � la question d'actualit� que j'ai eue hier, puisque votre groupe semble estimer qu'il y a beaucoup trop de travaux dans Paris et que cela a des incidences, ce qui est vrai d'ailleurs, sur le trafic automobile, nous faisons des comptages pour estimer les reports de circulation.
Vous m'avez demand�, Madame DOUVIN, d'ailleurs, des pr�cisions concernant l?am�nagement des berges et ces pr�cisions, vous les aurez.
Bien �videmment, il est n�cessaire d'acheter des compteurs, et l�, en l'occurrence, c?est un march� pour des compteurs sp�cifiques, pour des op�rations ponctuelles, telles que je viens de les citer, et nous vous donnons les �l�ments, bien s�r, d�s lors qu'il s'agit d'�l�ments sur lesquels vous avez besoin d'informations, et donc je ne manque pas de vous les fournir d�s lors que vous nous les demandez.
Nous n'avons rien � cacher en mati�re de comptage.
M. Pierre SCHAPIRA, adjoint, pr�sident. - Tr�s bien ! Nous sommes toujours dans la transparence.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD 132.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2010, DVD 132).
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