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35- 1997, DGIC 2 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer un marché négocié avec la société " Andersen Consulting " pour l'hébergement du service " 3615 Paris " et le développement de nouveaux services transactionnels jusqu'au 31 décembre 1997.



M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Nous allons passer au projet de d�lib�ration DGIC 2 donnant autorisation � M. le Maire de Paris de signer un march� n�goci� avec la soci�t� Andersen Consulting pour l'h�bergement du service 36-15 Paris et le d�veloppement de nouveaux services transactionnels jusqu'au 31 d�cembre 1997.
Je donne la parole � l'orateur inscrit, M. ARNAUD.
M. Eric ARNAUD. - Monsieur le Maire, ce rapport ne pose pas vraiment de probl�me sur la forme et donc je ne m'�tendrai pas dessus.
Par contre, sur le fond, je voudrais attirer votre attention sur deux �l�ments.
Ce rapport concerne un service 36-15 grand public, le service 36-15 Paris. Il a son utilit� et ce service que nous ne contestons pas comptabilisait d'ailleurs plus de 500.000 appels en 1996 et d�gageait un b�n�fice de 1,8 millions de francs hors taxes pour la Ville de Paris, autant pour le prestataire de service et autant pour France-T�l�com.
Simplement deux petites questions : consid�rez-vous cette cl�e de r�partition comme la plus juste ? Croyez-vous que la facturation 36-15 appliqu�e par ce service public est la plus adapt�e ?
Je pense qu'une facturation Minitel moins co�teuse serait plus justifi�e pour les Parisiens.
Enfin, petite incidente, la Mairie de Paris a mis en place un service Internet, r�cemment. J'attire l'attention sur la n�cessaire prise en compte de ce nouveau service dans le cadre du contrat � venir, afin d'�viter tout effet de doublon.
Merci, Monsieur le Maire.
M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur ARNAUD.
Pour r�pondre, je donne la parole � M. Jean-Fran�ois LEGARET.
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, au nom de la 1�re Commission. - Je r�pondrai simplement � M. ARNAUD qu'il s'inscrit sur une d�lib�ration qui concerne le service 3615. Il nous parle d'Internet, ce n'est pas tout � fait le m�me sujet.
Je veux bien que le sujet soit int�ressant et vous savez qu'il y a une d�monstration ici m�me aujourd'hui, mais je voudrais rappeler � M. ARNAUD que les deux syst�mes ne sont pas accessibles de la m�me mani�re et que pour l'instant, c'est encore le service 3615 qui r�pond au plus grand nombre de connexions puisqu'au 31 ao�t 1997 le service 3615 Paris a re�u 300.817 appels. Je crois que c'est un service qui ne peut pas et qui ne doit pas, dans l'imm�diat, �tre abandonn�.
C'est la raison pour laquelle il nous est propos� par cette d�lib�ration de poursuivre ce service.
M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur LEGARET.
Tr�s rapidement ?
M. Eric ARNAUD. - Je ne conteste pas ce service, j'attire l'attention sur un devenir. Bien s�r, actuellement, M. LEGARET a raison de dire que 3615 n'est pas un service Internet mais dans le m�me temps, il n'a pas du tout r�pondu � ma question concernant le co�t de ce service pour les Parisiens.
M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur ARNAUD.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DGIC 2.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt� � la majorit�, le groupe du Mouvement des citoyens, Mmes SILHOUETTE, BILLARD, SCHERER et M. BLET s'�tant abstenus et M. REVEAU ayant vot� contre. (1997, DGIC 2).

Septembre 1997
Débat
Conseil municipal
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