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50- 1997 P 830 - Subvention au Comité des fêtes et d'action sociale " Les amis du 6e ", mairie du 6e arrondissement. - Montant : 4.700 F.



M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Nous passons au projet de d�lib�ration P 830 concernant la subvention au Comit� des f�tes et d'action sociale " Les amis du 6e ", mairie du 6e arrondissement.
La parole est � M. MORELL.
M. Alain MORELL. - Nous approuvons cette d�lib�ration, comme les �lus l'ont fait en Conseil d'arrondissement. Cette association fait un travail collectif utile aux habitants, c'est le crit�re selon lequel nous nous d�terminons toujours.
En revanche, nous vous demandons une pr�cision sur une association qui diffuse dans les locaux de la mairie du 6e des informations et des autres textes qui ressemblent � la prose des maires de Vitrolles, Marignane et Toulon. Je veux parler du journal, ind�ment pr�sent� comme municipal, improprement appel� " Notre Sixi�me " dans lequel vous vous exprimez et dans l'�ditorial duquel le Maire tient des propos peu convenables, et qui sont � l'oppos� des qualit�s d'�quilibre et d'intelligence qui font le rayonnement habituel de ces quartiers.
(Applaudissements sur les bancs du groupe socialiste).

M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Je donne la parole � Jean-Pierre BURRIEZ.
M. Jean-Pierre BURRIEZ, adjoint, au nom de la 4e Commission. - Je ne comprends pas le sens de l'intervention de M. MORELL car c'est un dossier qui est le plus clair possible et qui concerne l'envoi de 22 jeunes � la Toussaint et 47 coll�giens pendant les vacances d'hiver.
M. MORELL a effectivement vot� ce projet de d�lib�ration au Conseil d'arrondissement, ainsi que ses deux coll�gues socialistes et, � cette heure tardive, il se lance dans des digressions qui n'ont rien � voir avec notre ordre du jour. Donc je vous propose de voter le projet de d�lib�ration.
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - C'est le moins qu'on puisse dire. Je remercie M. Jean-Pierre BURRIEZ, je mets aux voix le projet de d�lib�ration.
(Protestations sur les bancs des groupes socialiste, communiste et du Mouvement des citoyens).

Mes chers coll�gues, je ne vois pas ce que l'intervention de M. MORELL venait faire sur cette affaire.
M. Bertrand DELANO�. - Elle �tait tr�s pertinente.
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - C'est dommage que vous ayez rat� une intervention un peu plus t�t.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration P 830.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt� � l'unanimit�. (1997, P 830).

Septembre 1997
Débat
Conseil municipal
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