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111- QOC 97-475 Question de M. Jean-Pierre REVEAU, élu du Front national, à M. le Préfet de police concernant la discothèque " La Main jaune " (17e).



Libell� de la question :
" A la suite de nombreuses plaintes �manant des riverains du quartier de la porte de Champerret (17e) concernant les exactions commises par des bandes de jeunes fr�quentant la discoth�que " La Main jaune ", les services de la Pr�fecture de police ont indiqu� �tre intervenus � plusieurs reprises pour mettre fin � ces d�sordres.
Cependant, les habitants du quartier s'�tonnent que la vigie ou antenne de police situ�e rue du Caporal-Peugeot soit quasiment � l'abandon : absence totale de fonctionnaires de police, porte tagg�e, volets � moiti� arrach�s, vitres d'une salet� repoussante.
M. Jean-Pierre REVEAU demande � M. le Pr�fet de police de lui indiquer la destination exacte de ce local, de lui communiquer les motifs qui conduisent � l'abandon de ce bureau ainsi qu'� l'absence de fonctionnaires de police.
Il souhaite �galement conna�tre le nombre d'�lotiers affect�s au secteur compris entre la porte de Champerret et la ville voisine de Levallois-Perret. "
R�ponse (M. LE PR�FET DE POLICE) :
" Les policiers portent une attention particuli�re � l'activit� de la discoth�que " La Main jaune ".
A la suite d'un avertissement que je lui ai r�cemment notifi�, le propri�taire de " La Main jaune " a indiqu� qu'il demandait � la soci�t� charg�e du gardiennage de la discoth�que de faire preuve d'une vigilance accrue.
L'exploitant de " La Main jaune " a �t� avis� qu'en cas de nouveaux incidents, une mesure de fermeture administrative serait prononc�e sans d�lai.
Au cours de mois de novembre, les fonctionnaires de police du secteur n'ont re�u aucune dol�ance � l'encontre de " La Main jaune ".
La surveillance du secteur incombe quotidiennement � six �lotiers, de 7 h 30 � 22 h 30, dont le relais est pris par les effectifs de la brigade de nuit.
Une antenne de police judiciaire est, par ailleurs, ouverte avenue Gourgaud, � proximit� de la Porte de Champerret.
Le local situ� rue du Caporal-Peugeot servait, jusqu'en 1994, de point d'appui aux agents de surveillance de la Ville de Paris charg�s du contr�le du stationnement, qui y prenaient leur service, leurs pauses et y avaient leur vestiaire.
Tous les agents de surveillance de Paris du 17e arrondissement ont �t�, depuis cette date, regroup�s au 132, boulevard Malesherbes.
Les instructions ont �t� donn�es pour qu'une �quipe de maintenance se rende rue du Caporal-Peugeot afin de proc�der aux op�rations d'entretien visant � rem�dier aux d�gradations signal�es. "
B - Question d'un Conseil d'arrondissement.

Décembre 1997
Débat
Conseil municipal
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