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26 - 2000, DLTI 65 - Autorisation à M. le Maire de Paris de signer une convention d'occupation domaniale pour l'installation de photocopieurs et cabines photographiques dans les mairies d'arrondissement et les sites administratifs de la Ville de Paris du 1er novembre 2000 au 1er novembre 2003


M. LE MAIRE DE PARIS. - Nous passons au projet de d�lib�ration DLTI 65 relatif � une convention d'occupation domaniale pour l'installation de photocopieurs et cabines photographiques dans les mairies d'arrondissement et les sites administratifs de la Ville de Paris du 1er novembre 2000 au 1er novembre 2003.
M. MORELL a la parole.
M. Alain MORELL. - Il s'agit bien du DLTI 65.
Monsieur le Maire, juste une petite remarque, c'est un projet que nous voterons. Ce sont des appareils qui concernent l'achat de mat�riels mis � la disposition du public dans les mairies d'arrondissement. il y a un tarif d'utilisation de ces appareils qui est libell� en francs. Fort bien pour aujourd'hui, mais pour l'avenir si on convertit m�caniquement, lors du changement en euros, on aboutira � un chiffre qui sera extr�mement compliqu� � mettre en ?uvre.
C'est donc une remarque d'une port�e un peu plus g�n�rale sur l'ensemble des march�s pass�s par la Ville et qui concernent des mat�riels ou des prestations qui seront mis � la disposition du public des habitants de la Ville de Paris.
Il nous semble indispensable, d'une mani�re g�n�rale, que la Ville de Paris se pr�pare mieux � la mise en place de l'euro, � ces aspects pratiques, avec des tarifs adapt�s � un usage quotidien.
Cette mise en ?uvre c'est demain. Elle doit �tre men�e d�s maintenant et il nous semble que dans un certain nombre de d�lib�rations ou de pr�paration que la Ville fait ou ne fait pas, ce point n'est pas assez pris en compte. Cette d�lib�ration en est une illustration assez particuli�re car "virgule 81 euros", vous m'expliquerez comment les Parisiens feront pour utiliser ce mat�riel.
Je crois qu'on a une responsabilit� grave. Une collectivit� aussi importante que la Ville de Paris doit contribuer et mettre des moyens cons�quents pour faire accepter par nos concitoyens cette �tape importante de notre histoire, qui est la mise en ?uvre de l'euro.
La Ville de Paris doit prendre toutes ses responsabilit�s dans ce domaine. Il faut y �tre particuli�rement attentif et toute d�lib�ration qui d�sormais �voquera ce probl�me doit prendre en compte les aspects pratiques de la mise en ?uvre.
Je vous remercie de votre attention.
M. LE MAIRE DE PARIS. - Monsieur AURELLI, vous avez la parole pour r�pondre � M. MORELL.
M. Paul AURELLI, adjoint, au nom de la 2e Commission. - Monsieur le Maire, mes chers coll�gues, M. MORELL a raison de s'interroger sur l'utilisation des appareils monnayeurs, mais en l'esp�ce il s'agit uniquement d'une convention d'occupation du domaine public avec la soci�t� "Portrex" qui est charg�e de mettre � la disposition des Parisiens des cabines photographiques et des photocopieurs.
Pour pr�venir d'�ventuels inconv�nients l'Administration a �t� conduite � demander � l'exploitant d'adapter ces appareils en fonction de la conversion en euros des tarifs pratiqu�s. Les solutions susceptibles d'�tre mises en ?uvre visent d'une part � �quiper les mat�riels d'un dispositif rendant la monnaie en euros, d'autre part � permettre le paiement par carte bancaire ce qui n'est pas encore le cas aujourd'hui. Il ne devrait donc, pour rassurer M. MORELL, et nos coll�gues de l'Assembl�e, r�sulter aucune g�ne pour les usagers qui pourront utiliser ces machines librement.
(M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, remplace M. le Maire de Paris au fauteuil de la pr�sidence).
M. Jean-Fran�ois LEGARET, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur AURELLI.
Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DLTI 65.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2000, DLTI 65).

Novembre 2000
Débat
Conseil municipal
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