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144 - VI - Questions des élus non-inscrits.QOC 2000-603 Question de Mme Marie-Thérèse JUNOT, MM. Jacques FÉRON et Jean-Louis GIRAL, élus indépendants, à M. le Maire de Paris relative aux nuisances provoquées par la présence de cirques aux abords du square Alexandre et René-Parodi (16e)


Libell� de la question :
"Question � M. le Maire de Paris relative aux nuisances permanentes aux abords du boulevard de l'Amiral-Bruix, entre les portes Maillot et Dauphine (16e).
Mme Marie-Th�r�se JUNOT, MM. Jacques F�RON et Jean-Louis GIRAL appellent une nouvelle fois l'attention de M. le Maire de Paris sur la pr�sence quasi-permanente de cirques aux abords du square Alexandre-et-Ren�-Parodi (16e) qui engendrent toutes sortes de nuisances aux riverains du quartier : stationnements anarchiques, couloirs de bus encombr�s, d�gradations, d�p�ts sauvages d'ordures, ins�curit� nocturne.
Par ailleurs, force est de constater que la cr�ation d'un nouveau supermarch� dans les sous-sols du Palais des congr�s de la porte Maillot n'a fait qu'aggraver la situation.
Les riverains de ce secteur se plaignent de plus en plus. Pourtant, lors d'une pr�c�dente intervention, en date du 25 janvier 1999, M. le Maire de Paris avait laiss� entendre : "que le r�am�nagement du jardin Parodi devait �tre examin� � l'issue des travaux de modernisation du Palais des congr�s et qu'il conviendrait alors d'arr�ter une position d�finitive sur l'existence ou non d'un espace affect� aux cirques...". Qu'en est-il aujourd'hui ?"
R�ponse (M. Suzanne DECRESSAC-DESPUJOLS) :
"Le square Alexandre-et-Ren�-Parodi a en effet vocation � accueillir des �tablissements de cirque. Son r�am�nagement a d'ailleurs donn� lieu � la r�alisation d'un espace de nature � permettre l'implantation de chapiteaux. Il ne s'agit cependant pas d'une occupation permanente. Pour 2000, le site fut occup� 22 semaines par des cirques, ces installations ayant re�u un avis favorable du Maire d'arrondissement.
L'accueil de cirques entre dans le cadre de la politique municipale en faveur des arts de la piste, et plus particuli�rement des petits �tablissements de cirque. Cette action r�pond en outre aux attentes d'un important public.
Il semble quelque peu difficile de rendre l'implantation de cirques responsable des probl�mes de s�curit� dans ce secteur.
Il convient enfin de pr�ciser que l'extension du Palais des Congr�s s'est accompagn�e d'un accroissement des possibilit�s de stationnement en sous-sol."

Novembre 2000
Débat
Conseil municipal
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