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97 - QOC 2000-644 Question de M. Hervé BENESSIANO à M. le Maire de Paris relative à l'aménagement de l'intersection des rues des Batignolles et Legendre (17e)


Libell� de la question :
"Suite � l'am�nagement de l'intersection des rues des Batignolles et Legendre (17e), un rond-point central min�ral in�vementl�vementgant a �t� r�alis�. Il avait pour vocation initiale de recevoir un agr�ment v�vementg�vementtal de surface.
Les B�timents de France ayant �mis en 1998 des contraintes afin de respecter la perspective de la fa�ade principale de l'�glise Sainte-Marie-des-Batignolles, le projet est rest� inachev�vement.
Les cons�quences imm�diates de cet �tat de fait sont l'utilisation du monticule min�ral pour le stationnement des v�hicules, de jour comme de nuit.
De plus, il n'est pas rare de constater que des camionnettes de livraison utilisent l'endroit pour d�charger, violant ainsi le souhait des B�timents de France de pr�server la perspective de l'�glise.
Un am�nagement v�vementg�vementtal horizontal et une protection de potelets bas sur le pourtour du rond-point permettraient de r�soudre un probl�me aga�vementant de mani�re r�currente pour les riverains et d'am�liorer aussi l'environnement du site.
M. le Maire de Paris peut-il indiquer � M. Herv� BENESSIANO si une r�alisation imminente est envisag�e ?"
R�ponse (M. Bernard PLASAIT, adjoint) :
"Dans le cadre du r�vementam�vementagement de la place du Docteur-F�vementlix-Lobligeois, il a �t� r�alis� en 1998 un rond-point central min�ral.
La fa�ade de l'�glise Sainte-Marie-des-Batignolles �tant class�e, l'avis de l'architecte des B�timents de France avait �t� demand�. Celui-ci avait r�pondu que le rond-point devait �tre min�ral et en aucun cas v�vementg�vementtal, ce dont a tenu compte le projet de la Direction de la Voirie et des D�placements.
Devant certaines difficult�s constat�es, le 27 octobre dernier a eu lieu une r�union � laquelle participaient la Direction des Parcs, Jardins et Espaces verts et l'architecte des B�timents de France. Sa position initiale n'a cependant pas �volu�. La protection du rond-point central par des obstacles a ainsi �t� refus�e. Compte tenu de ces �l�ments, la Ville n'a d'autre solution que le maintien de la situation existante. Le stationnement illicite doit donc �tre trait� par une r�pression accrue des services de police."

Novembre 2000
Débat
Conseil municipal
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