Observations sur le déroulement de la séance.
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M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Oui, je voulais vous consulter sur la suite de la s�ance. Il semble clair?
M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Une interruption de s�ance.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Non, il y a plusieurs possibilit�s, donc je voudrais avoir votre avis.
Il semble clair que l?on ne terminera pas avant une heure et demie, deux heures de d�bat.
Il y a plusieurs possibilit�s. Soit une courte interruption, ce qui aurait plut�t ma pr�f�rence, en effet, il y a des agents ici qui travaillent. Je vous le signale aux uns et aux autres.
Nous faisons donc une courte interruption de s�ance et nous reprendrions vers deux heures moins le quart avec...
(R�actions de protestation dans l?h�micycle).
Non, non? mais je fais ma proposition si cela ne vous d�range pas.
La s�ance rependrait d?ici 40 minutes, disons 35 � 40 minutes, et nous terminerions - si en plus les groupes font des efforts - vers 3 heures, 3 heures et demie sans grande difficult�.
L?autre solution, c?est d?interrompre plus longuement et de reprendre �ventuellement la s�ance plus tard dans l?apr�s-midi vers 16 heures.
(Rires dans l?h�micycle).
Un certain nombre d?�lus m?ont fait part de leur volont� - et je la respecte- d?aller manifester et donc cela peut �tre aussi �videmment une solution.
Je vais interroger les groupes sur ces propositions.
Monsieur VUILLERMOZ, voulez-vous commencer ?
M. Jean VUILLERMOZ. - S?il faut s?arr�ter un petit moment pour que le personnel puisse se reposer et �ventuellement d�jeuner tr�s rapidement, je serais plut�t pour la premi�re proposition qui consiste � s?arr�ter une demi-heure.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur DUTREY, voulez-vous r�pondre ?
M. Ren� DUTREY. - Je trouve que, pour une fois, beaucoup d?attention est donn�e au personnel, j?ai envie de dire : le personnel a bon dos, aujourd?hui, par rapport � toutes les s�ances, quelquefois de 14 heures et les s�ances de nuit que nous pouvons avoir !
Je serais pour une troisi�me solution qui est de continuer la s�ance et de finir avant 15 heures pour pouvoir, effectivement, comme il �tait pr�vu, comme nous en avions discut� � la conf�rence d?organisation, pr�voir une s�ance qui nous permette d?aller � la manifestation.
M. Philippe GOUJON. - Le personnel appr�ciera la sollicitude des ?Verts? !
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Monsieur BLOCHE ?
M. Patrick BLOCHE. - Il me paraissait plus rationnel et plus simple que nous puissions suspendre pour le d�jeuner. De toute fa�on, je m?inscris dans l?id�e d?une pause-d�jeuner ; cela me para�t n�cessaire pour tout le monde, y compris pour les �lus qui peuvent avoir une hypoglyc�mie assez comparable au personnel, et aux collaborateurs aussi !
J?�tais plut�t dans l?id�e, comme on l?a toujours fait, de prendre en compte des �v�nements ext�rieurs au Conseil de Paris, c?est-�-dire de reprendre la s�ance � 16 heures.
Si cette solution est trop compliqu�e?
M. Philippe GOUJON. - Vous avez un pr�c�dent ?
M. Patrick BLOCHE. - ? est-ce que je peux me permettre?
Nous avons �t� amen�s � adapter l?ordre du jour de la s�ance du Conseil de Paris � la demande de tous les groupes, y compris � la demande de l?opposition, par rapport � certains �v�nements ext�rieurs au Conseil de Paris. Je ne vais pas reprendre l?historique des s�ances du Conseil de Paris.
En l?occurrence, je serais plut�t pour reprendre � 16 heures. Mais cela dit, moi, je suis un homme de bonne volont� et je serais un peu comme Jean VUILLERMOZ, s?il y a un d�sir majoritaire pour reprendre � 13 heures 45, je n?y vois pas d?opposi-tion.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - D?accord.
Monsieur LEGARET ?
Madame CAPELLE, pardon ! Je vous ai oubli�e.
Mme Liliane CAPELLE. - Merci, c?est gentil !
Je vais vous emb�ter. Je vous emb�te ? Non, je ne suis pas comme cela !
Je m?alignerai bien volontiers sur l?avis des groupes de la majorit� pour une suspension de s�ance aussi courte que possible.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - D?accord. Merci.
Monsieur LEGARET ?
M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Il est raisonnable d?interrompre et que l?on puisse avoir le temps de d�jeuner rapidement.
Pour 2 heures moins le quart, cela me para�t quand m�me tr�s difficile, ne serait-ce que pour les personnels parce que, se faire servir au restaurant en 40 minutes !
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - 14 heures ?
M. Jean-Fran�ois LEGARET, maire du 1er arrondissement. - Je sugg�re que l?on reprenne � 14 heures et je m?en-gage, si les autres groupes en font autant, � essayer de demander aux orateurs d?�tre aussi courts que possible, de mani�re que l?on puisse terminer cette s�ance dans de bonnes conditions.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Je vous en remercie beaucoup. A tout � l?heure.
Je manque � toutes mes...
M. PERNIN voulait dire un mot.
M. Jean-Fran�ois PERNIN. - Tout � fait. Simplement, je voulais dire : au groupe U.D.F., nous sommes pour la premi�re solution.
M. Christophe CARESCHE, adjoint, pr�sident. - Merci.
La s�ance est suspendue.
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