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7 - Observations sur le déroulement de la séance


Mme Dani�le HOFFMAN-RISPAL. - J'ai une remarque � vous faire, Monsieur le Pr�sident. Juste deux mots.
M. LE PR�SIDENT. - Oui ?
Mme Dani�le HOFFMAN-RISPAL. - Nous avons pens�, au sein de la 5e Commission, et je crois que je parle au nom des �lus toutes tendances confondues, qu'il serait souhaitable, quand nous avons des s�ances sur une journ�e et demi, que le Conseil g�n�ral n'ait pas lieu syst�matiquement le lendemain matin, mais soit remis, comme dans le temps, le lundi, � 15 heures parce que, compte tenu de l'importance des affaires sociales, nous souhaiterions que l'ensemble du Conseil puisse nous entendre et que cette s�ance ne soit donc pas syst�matiquement fix�e le lendemain matin, durant une salle aux trois-quarts vide.
M. LE PR�SIDENT. - Je n'ai pas d'avis personnel majeur sur cette affaire. C'est � la Conf�rence d'organisation d'en d�cider. J'en parlerai au Questeur et aux Pr�sidents de groupes.
Apparemment, je dis apparemment, dans la mesure o� il y a une journ�e et demi, il n'est pas mauvais de mettre le Conseil g�n�ral � part. C'est, au contraire, un moyen de montrer son autonomie, plut�t que de le mettre entre deux s�ances qui le cachent un peu. Il y a donc des arguments dans les deux sens.
Mme Gis�le STIEVENARD. - L'Assembl�e est clairsem�e.
M. LE PR�SIDENT. - Et les �lus absents ont tort car la partie Conseil g�n�ral recouvre des choses de la vie quotidienne, sur le plan social notamment, que je consid�re comme tr�s importantes, m�me si l'on est en d�saccord sur certaines modalit�s.
La date m'est �gale. Choisissons la plus adapt�e. Nous en parlerons en Conf�rence d'organisation.
(M. Philippe LAFAY, vice-pr�sident, remplace M. Jean TIBERI, pr�sident, au fauteuil de la pr�sidence).

Juin 1999
Débat
Conseil général
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