(La s�ance, lev�e le lundi 9 juillet 2001 � une heure, est reprise le mardi 10 juillet 2001 � neuf heures quinze minutes, sous la pr�sidence de M. le Maire de Paris).
M. LE MAIRE DE PARIS. - Nous allons reprendre nos travaux.
Je veux remercier tous ceux des �lus qui, tard cette nuit, ont travaill� pour faire avancer les dossiers.
Je voudrais dire en m�me temps - et je verrai les Pr�sidents de groupes bient�t - que si je trouve notre Assembl�e dynamique, contradictoire, cr�ative, m�me si on s'affronte un peu, il est tout � fait normal qu'il y ait aussi beaucoup de bonne humeur. C'est le cas, et je tiens quand m�me tout particuli�rement au respect que nous nous portons les uns aux autres y compris dans les s�ances de nuit, tard.
Donc sans en faire du tout un drame, je remercie tout particuli�rement David ASSOULINE de sa s�r�nit� et de son sens des responsabilit�s, quand il a pr�sid� cette nuit la s�ance en mon nom.
Je veux le remercier, je veux que cela se sache et si on a tous l'exp�rience d'emballements qui n'ont rien de grave, je verrais avec Christophe CARESCHE d�s la fin du mois d'ao�t ou au d�but septembre, quand tout le monde sera disponible en m�me temps, tous les Pr�sidents de groupes car j'entends que chacune et chacun soit respect� sans exception y compris si je devais, au cours de cette mandature, veiller au respect des �lus de la minorit�, je n'h�siterai donc pas � �tre raide avec les �lus de la majorit� qui manqueraient de respect vis-�-vis des �lus de la minorit�.
C'est vrai dans tous les sens et c'est vrai en particulier pour celles et ceux qui pr�sident cette s�ance.
Je suis tout � fait heureux d'avoir fait pr�sider cette s�ance par beaucoup, et cela continuera d'ailleurs, d'adjoints y compris par la benjamine. C'est un mode de fonctionnement l�gitime.
J'entends qu'elles et ils soient respect�s totalement pour qu'ils puissent bien entendu veiller au respect de chacun de nos coll�gues. J'y veillerai personnellement pour que chacun soit respect� sans aucune exception.