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2021 DASES 22 - Subventions (210.500 euros) au Centre d’action sociale de la Ville de Paris et à 10 associations, et une subvention d’investissement (34.560 euros) pour des actions d’aide alimentaire à Paris. Conventions.


Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Nous examinons maintenant le projet de d�lib�ration DASES 22 et l?amendement technique n��131�: subvention au Centre d?action sociale de la Ville de Paris et � 10 associations, et une subvention d?investissement pour des actions d?aide alimentaire � Paris. - Conventions. La parole est � Mme Anessa LAHOUASSA, pour Changer Paris. Dans la salle.

Mme Anessa LAHOUASSA. - Merci, Madame la Maire.

Chers coll�gues, ces derni�res ann�es, nombreuses ont �t� les occasions de remarquer combien les Fran�ais ont exprim� leur d�tresse. La classe moyenne, � laquelle on ne donne quasiment rien mais � laquelle on demande tant, a fait entendre sa voix lors de nombreux mouvements pour revendiquer le droit de vivre du fruit de son travail. Alors que s?installe aujourd?hui une crise sociale de grande ampleur � la suite de la crise sanitaire, on ne peut malheureusement que constater le basculement d?une partie de cette classe moyenne dans une situation de pr�carit� particuli�rement inqui�tante. Partout, les retours de terrain nous disent l?�volution r�cente de la sociologie des b�n�ficiaires de l?aide alimentaire. Signe fort de ce basculement, nous y retrouvons d�sormais des travailleurs, des couples avec ou sans enfant, des retrait�s, et surtout - et cela doit nous alerter - beaucoup d?�tudiants.

A la pr�carit� �conomique, s?ajoutent les fragilit�s induites par le manque de sociabilit�, l?isolement et parfois la pression psychologique. Le cumul de ces difficult�s aggrave toujours plus la situation de nos jeunes. 46�% des jeunes ayant des probl�mes mat�riels ont aussi pr�sent� les signes d?une d�tresse psychologique, contre 24�% sans souci financier. Face � cette situation dramatique, notre groupe s?est mobilis� et a demand�, notamment par la voix de notre pr�sidente Rachida DATI, que le Gouvernement prenne la mesure de la situation et instaure d?urgence un revenu de crise pour les �tudiants. Ce revenu semble indispensable si l?on ne veut pas sacrifier une g�n�ration. Dans le 15e arrondissement, nous sommes forts d?une grande population �tudiante. Avec 32.000 �tudiants, nous sommes le deuxi�me arrondissement de Paris. Ce chiffre devrait passer � 40.000 dans le courant de cette mandature.

Mais aujourd?hui, c?est de notre inqui�tude dont je veux vous faire part. Notre inqui�tude pour ces jeunes qui, avant m�me de rentrer sur le march� du travail, se voient plong�s dans une situation de pr�carit� et de d�pendance qui les prive des plus belles ann�es de leur vie. Dans le 15e arrondissement, nous n?avions, bien s�r, pas attendu la crise actuelle pour nous soucier du devenir de ces jeunes. Face � ce drame social, la mairie du 15e arrondissement renforce les initiatives de soutien aux acteurs associatifs dans notre arrondissement, que je veux ici remercier. Malgr� tous les efforts conjoints, il reste encore bien du travail pour ces nouveaux publics pr�caires. Nous attendons de la Mairie de Paris qu?elle intensifie ses efforts. Nous soutiendrons toute initiative qui ira vers plus d?aide pour les �tudiants et les jeunes fragilis�s. Par ailleurs, nous regrettons qu?aucun des nouveaux projets d?aide alimentaire port�s par la Mairie, n?ait �t� fait dans notre arrondissement. Je parle, par exemple, de "Linkee".

Nous voterons bien �videmment pour ce projet de d�lib�ration. Je vous remercie.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci.

Je donne maintenant la parole, pour le groupe Communiste et Citoyen, � Mme Camille NAGET.

Mme Camille NAGET. - Merci, Madame la Maire.

Chers coll�gues, nous sommes appel�s � voter sur ce projet de d�lib�ration en faveur de l?alimentation pour les plus pr�caires. Malheureusement, ce n?est ni la premi�re, ni la derni�re fois que nous aborderons ce sujet dans cet h�micycle. Dans une situation d�j� difficile, nous avons bascul� dans l?urgence depuis le d�but de cette crise. Nous en avons parl� pour les jeunes - Barbara GOMES, Danielle SIMONNET et L�a FILOCHE en ont reparl� tout � l?heure - mais ils ne sont pas les seuls � souffrir de cette crise, pour qui les files d?attente s?allongent. Nous l?avions d�j� rappel�, mais il y a des chiffres qu?il n?est pas inutile de marteler. Le nombre de b�n�ficiaires des aides alimentaires a doubl� entre janvier 2020 et d�cembre 2020. Nous le redoutons du point de vue de la crise sociale�: le pire est devant nous.

Dans un pays de bas salaires, la pauvret� guette beaucoup trop de nos concitoyens. Le "Collectif des associations unies" a lanc� un appel en 2020�: "Ne passons pas d?une crise sociale � une crise humanitaire". Car si l?engagement des collectivit�s est fort, ils sont toujours en entente, nationalement, de mesures structurelles pour r�pondre durablement aux urgences sociales et endiguer la vague de pauvret�. Aux c�t�s de la Ville de Paris, les associations et les b�n�voles sont en premi�re ligne depuis le mois de mars dernier. Confinement, post-confinement ou confinement hybride, elles et ils sont l�, et nous saluons � nouveau leur engagement. Une solidarit� sans faille qui r�siste � toutes les �preuves. Bravo et merci.

La lutte contre la pr�carit� alimentaire est d?autant plus efficace que les types de r�ponses sont multiples�: paniers repas, colis alimentaires, paniers de fruits et l�gumes, etc. Car chaque public, chaque famille a des besoins diff�rents. Les �piceries sociales et solidaires s?inscrivent pleinement et sont compl�mentaires avec d?autres dispositifs, comme les "Paniers solidaires", exp�riment�s sous le pr�c�dent mandat et qui m�riteraient de revenir. A ce propos, je salue l?ouverture, par le "Secours populaire fran�ais", d?un nouveau libre-service solidaire dans le 13e arrondissement, sur le mod�le de celui dans le 18e arrondissement.

Je voulais profiter de ce projet de d�lib�ration pour avoir un mot en direction des personnels des C.A.S.-V.P. Une partie d?entre eux, et surtout d?entre elles, �taient pr�sents tout � l?heure devant l?H�tel de ville contre la loi de transformation de la Fonction publique, et pour dire aussi leurs inqui�tudes et leur fatigue. Les conditions sont difficiles pour tout le monde, et peut-�tre encore plus pour les travailleurs sociaux et les travailleuses sociales qui sont en premi�re ligne depuis le d�but. Ils ont besoin qu?on les soutienne, que l?on soit � leur �coute. Je voulais me faire la voix de ce message dans l?h�micycle. Je vous remercie.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci, Camille NAGET.

Je donne la parole maintenant � Mme Rapha�lle R�MY-LELEU, du groupe Ecologiste de Paris. Elle est dans la salle des f�tes, je pense. C?est � vous.

Mme Rapha�lle R�MY-LELEU. - Merci, Madame la Maire.

Chers coll�gues, affronter l?urgence sanitaire, la difficult� d?organiser la solidarit� et le besoin d?aides suppl�mentaires aux plus vuln�rables, voici le d�fi immense auquel s?est attel�e la Ville depuis un an, en s?appuyant sur le r�seau constitu� des C.A.S.-V.P. et des associations.

En cette journ�e de mobilisation �tudiante autour d?un cri d?alerte - les �tudiants et les �tudiantes meurent de faim et d?angoisse - les �cologistes tenaient � revenir sur les actions organis�es � destination de cette population �tudiante. Nous avons, toutes et tous, �t� choqu�s par les files d?attente devant la "Maison des initiatives �tudiantes", devant les �piceries solidaires, devant les CROUS. Pourtant, ces files d?attente sont la preuve que les dispositifs qui y sont install�s sont aujourd?hui utiles. Ce sont, � vrai dire, des dispositifs exemplaires, alliant le dynamisme de la vie associative et syndicale, et le soutien des infrastructures municipales. Des dispositifs exemplaires, mais gu�re suffisants. La pauvret� �tudiante nous a saut�s aux yeux. La pauvret�, et non plus seulement la pr�carit�. Les grandes associations de soutien et de distribution alimentaire ont d?ailleurs alert� depuis plusieurs mois. Qu?il s?agisse des "Restos du c?ur", du "Secours populaire fran�ais", toutes ont dit l?arriv�e massive des �tudiantes, des �tudiants et des jeunes dans les distributions.

La Ville de Paris fait des efforts consid�rables pour pr�venir ces situations, mais l?autonomie de la jeunesse ne peut pas d�pendre uniquement d?elle. Je tenais ainsi � vous dire que je reste abasourdie que, dans notre Conseil, certains et certaines osent encore d�fendre le "Plan 1 jeune, 1 solution" et critiquer l?action municipale, au pr�texte qu?elle serait d?abord r�serv�e aux �tudiants boursiers et boursi�res. 35�% des �tudiants et des �tudiantes b�n�ficient de bourses sur crit�res sociaux. Seuls 45.000 per�oivent l?�chelon maximal, qui s?�l�ve � un peu moins de 600 euros par mois sur 10 mois. 10 mois, car, c?est bien connu, l?�t�, les �tudiants et les �tudiantes vivent d?amour et d?eau fra�che. 555 euros, alors que le seuil de pauvret� est � 1.015 euros. L?inaction gouvernementale vis-�-vis des �tudiants et des �tudiantes les enferme dans la pauvret�. L?allocation d?autonomie est une revendication d?autant plus urgente, la crise nous l?a rappel�. Merci encore, donc, � celles - je pense ici � Marie-Christine LEMARDELEY et � L�a FILOCHE - qui agissent pour que la vie �tudiante ne soit pas enferm�e dans la simple perspective de lutter contre l?angoisse et la faim.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci, ch�re coll�gue.

Je donne maintenant la parole � Mme Carine PETIT, pour le groupe "G�n�ration.s".

Madame la Maire...

Mme Carine PETIT, maire du 14e arrondissement. - Chers coll�gues, quelques mots aussi sur ce projet de d�lib�ration et son objet, sur des subventions � des associations qui organisent l?aide alimentaire et particuli�rement les �piceries sociales et solidaires.

Je voulais le dire, parce qu?� Paris, pour y avoir particip� il y a quelques ann�es, monter un projet d?�picerie sociale et solidaire, c?est plus compliqu� qu?ailleurs. Parce que le probl�me, ce sont les locaux et le budget, qui imputent de mani�re tr�s importante l?�quilibre tr�s fragile d?une �picerie sociale et solidaire. Sur ce type de projet, la Ville n?a jamais failli. En tout cas, depuis 2001, elle a toujours cherch� � les d�velopper. Celles qu?elle a mises en place avec l?aide des associations, elle a maintenu et p�rennis� ses aides. Ce n?est parfois pas le cas d?autres partenaires publics et financiers.

Je voulais, comme mes coll�gues, dire vraiment et appuyer les remerciements � tous ces b�n�voles qui sont engag�s depuis de nombreuses ann�es, mais qui, depuis le premier confinement dur de mars dernier, ont maintenu contre vents et mar�es, malgr� les difficult�s d?organisation, le dispositif des �piceries sociales et solidaires, de l?aide alimentaire et des collectes, pour pouvoir r�cup�rer des denr�es et les redistribuer.

Je le dis parce que, souvent, ce sont des Parisiennes et des Parisiens qui sont � la limite de l?�ge o� il faudrait plut�t rester � son domicile que d?aller � la rencontre de celles et ceux qui sont le plus en difficult�, et qui, comme l?ont rappel� mes coll�gues avant moi, passent beaucoup de temps dans les files pour pouvoir r�cup�rer de l?aide d?urgence, de l?aide alimentaire.

Je voulais dire que les efforts de la Ville de Paris sont toujours intensifi�s, renouvel�s et croissants face � l?augmentation du besoin et de la demande. La Ville est �galement pr�sente pour r�pondre aux nombreux porteurs de projets qui font preuve, l� aussi, d?une grande agilit� pour s?adapter au mieux aux difficult�s d?un arrondissement, d?un quartier ou d?un public, que ce soit le public sp�cifique des �tudiants ou des familles. Bravo, en effet, � l?�quipe de L�a FILOCHE et � celle de Marie-Christine LEMARDELEY, qui r�pondent toujours aux sollicitations souvent trop nombreuses et, malheureusement, du jour au lendemain. Parce que lorsque l?on a une association qui porte un projet, on y r�pond le plus rapidement possible pour montrer que l?on n?attend pas 35 validations pour mettre en place cette distribution alimentaire d?urgence. C?est loin d?�tre le cas, puisque le "stop-and-go", en termes de soutien, est vraiment de la part de l?Etat. On a suivi au d�but de cette crise sanitaire que, l� aussi, il n?y avait pas de ligne directrice claire, ni de soutien, ni de perspective de soutien financier p�renne pour l?aide alimentaire au niveau europ�en, et que, parfois, le Gouvernement avait tendance � reporter cette non-d�cision de l?Europe sur les associations qui font et organisent tous les jours - matin, midi et soir, avec ou sans confinement, semi-confinement, ou, comme l?a rappel� ma coll�gue, dans tous les cas de figure - cette aide alimentaire. Les �piceries sociales et solidaires �galement, je le dis�: il y a un travail de grande qualit� dans l?accompagnement social, dans l?accompagnement de la d�marche globale de r�insertion des familles parfois. Je pense qu?il faut le souligner. Bravo et merci � toutes et � tous. En effet, un tr�s grand coup de chapeau aux agents du C.A.S.-V.P. qui, en central comme dans les arrondissements, permettent une coordination et d?�changer ici ou l� entre les publics, entre les sollicitations, les apports et les dons qui peuvent exister. C?est vraiment tr�s pr�cieux et tr�s important.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci. Pour r�pondre, je donne la parole � Mme L�a FILOCHE.

Mme L�a FILOCHE, adjointe. - Merci beaucoup.

Mes chers coll�gues, merci � chacune de vos interventions, puisqu?elles sont � la fois repr�sentatives de ce qu'il se passe � Paris, repr�sentatives des besoins, des attentes, mais aussi de ce que nous sommes capables de coproduire avec des b�n�voles, des bonnes volont�s qui ont envie d?installer dans leur quartier une �picerie sociale.

Je ne reviens pas sur la situation que vous avez toutes d�crite de mani�re tr�s claire et tr�s forte. Nous allons bient�t f�ter le premier anniversaire du d�but du confinement. Un an apr�s, la question de l?alimentation � Paris est toujours tr�s pr�occupante.

Ce projet de d�lib�ration nous permet de financer une partie des types de dispositifs d?aides alimentaires. Que ce soit la distribution de colis, la distribution de plats, nous en avons d�j� beaucoup parl� lors des pr�c�dentes s�ances de notre Conseil. L�, nous parlons de participer financi�rement au fonctionnement des �piceries sociales. Que ce soit celles qui sont cr��es et g�r�es par des structures dont ce n?est pas le c?ur d?activit�, comme le "Centre d?action sociale de la Ville de Paris" qui a ouvert une �picerie sociale dans le 19e arrondissement, l?"Association g�n�rale des �tudiants de Paris" qui est � l??uvre sur des questions d?�picerie sociale dans deux endroits dans Paris, ou le "Secours populaire fran�ais - F�d�ration de Paris" qui a beaucoup d?autres missions dans ses objectifs, ces structures ne sont pas d�di�es � l?origine aux questions alimentaires, mais se sont impliqu�es sur ces questions, et je les en remercie. Ou que ce soit des associations dont c?est la vocation premi�re. Dans le projet de d�lib�ration, vous avez la liste de toutes les associations qui seront financ�es dans le cadre de ce projet.

Les �piceries sociales sont pr�sentes dans presque tous les arrondissements. Effectivement, le 15e arrondissement pourrait tout � fait en avoir une. Ce n?est pas du tout un sujet. Il faut juste qu?il y ait une association qui se structure et organise une base, sur laquelle on pourrait voir dans quelle mesure il est possible de participer au financement.

Toutes ces associations ont jou� un r�le d�terminant l?ann�e derni�re et continuent d?accompagner les �tudiantes et les �tudiants, les familles, les personnes isol�es, qu?elles soient dans un logement ou h�berg�es. Les �piceries sociales sont �galement des lieux d?accueil, d?orientation et d?accompagnement, pr�cieuses dans ce contexte. Ces structures permettent � des publics fragiles un retour progressif vers l?autonomie, de pouvoir se rendre dans un magasin, de choisir ses produits, de passer � la caisse. Pour beaucoup de personnes, c?est un pas important et symbolique � franchir, mais aussi un lien avec une vie qui ne se veut pas � la marge. Nous renouvelons le soutien de la Ville de Paris, pour un total de 210.500 euros en fonctionnement et de 34.560 euros en investissement. Ces subventions sont en reconduction par rapport � l?ann�e derni�re, ou m�me en augmentation pour certaines d?entre elles. Ce montant comprend �galement une subvention pour le "Comit� local d?animation sociale et de solidarit�", qui a une activit� de distribution alimentaire inconditionnelle dans la mairie du 17e arrondissement. Cette structure s?inscrit dans le "Pacte de lutte contre la grande exclusion", sur lequel je reviendrai aupr�s de vous dans les mois � venir puisque nous allons le renouveler cette ann�e. Je vous invite donc, chacune et chacun, � voter ce projet de d�lib�ration, et je vous remercie pour votre soutien.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci, ch�re L�a.

Il y a l?amendement technique n��131.

J?ai une demande d?explication de vote de Mme IBLED, du groupe "Ind�pendants et Progressistes". Deux minutes.

Mme Catherine IBLED. - Merci, Madame la Maire, mes chers coll�gues.

Madame R�MY-LELEU, je ne peux pas vous laisser dire cela. Je suis personnellement extr�mement touch�e et impliqu�e par la situation des �tudiants. J?ai moi-m�me particip� aux distributions alimentaires propos�es par la mairie du 15e arrondissement. Je connais bien �galement la "Croix-Rouge", qui donne un soutien alimentaire aux �tudiants. Je trouve que vos propos accusateurs ne sont pas dignes de vous. Vous ne devriez pas dire cela. Le Gouvernement a mis en place un certain nombre de choses en faveur des �tudiants, notamment le "ch�que sant�" pour le bien des �tudiants, les "repas � 1 euro" midi et soir, qui rencontrent un grand succ�s. Je voulais juste vous rappeler ceci. Je vous remercie.

Mme Laurence PATRICE, adjointe, pr�sidente. - Merci.

Oui, ce n?�tait pas vraiment une explication de vote.

Je mets aux voix, � main lev�e, l?amendement technique n��131.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

L'amendement technique n��31 est adopt�.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DASES 22 ainsi amend�.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Le projet de d�lib�ration amend� est adopt�. (2021, DASES 22).

Février 2021
Débat
Conseil municipal
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