�

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Nous allons commencer ceux de la 1�re Commission. Conform�ment au R�glement int�rieur, je donne la parole � sa pr�sidente, Mme Marie-Claire CARR�RE-G�E, pour trois minutes maximum.

Mme Marie-Claire CARR�RE-G�E. - Merci beaucoup, Monsieur le Maire.

La 1�re Commission s?est r�unie le mardi 26 janvier et, apr�s l?�lection de son bureau, sous la pr�sidence de Francis SZPINER, nous avons entendu l?adjoint R.H. Antoine GUILLOU, que je remercie d?avoir fait un point d?�tape sur la situation des agents de la Ville pendant la crise sanitaire, � la fois sur les questions li�es au t�l�travail notamment, mais aussi les questions de "testing" et de vaccination.

Paul SIMONDON nous a pr�sent� les tableaux d?ex�cution budg�taire. Je l?en remercie aussi. Je souhaiterais - je le dis en s�ance car, ainsi, cela ne sera peut-�tre pas � redire plusieurs fois - vraiment exprimer le point de vue des membres de la 1�re Commission en demandant que les quelques agr�gats dont on nous informe de l?�volution, � l?occasion de ces tableaux de suivi budg�taire, soient transmis aux membres de la 1�re Commission plut�t trois ou quatre jours avant la r�union que trois ou quatre minutes. Cela permettrait de travailler ensemble sur des bases fiables.

Nous avons ensuite examin� les projets de d�lib�ration qui �taient � l?ordre du jour�: �videmment, la cr�ation de la filiale de la S.A.E. P.O.P.B. d�di�e � l?exploitation d?Arena�2, et ensuite beaucoup de projets de d�lib�ration li�s malheureusement � la situation �conomique � Paris, en cons�quence de la pand�mie? Beaucoup de projets de d�lib�ration sur le soutien aux commerces, au tourisme, etc.

Enfin, nous avons examin� les v?ux qui rel�vent de la 1�re Commission. J?ai malheureusement appris sur Twitter, d?ailleurs apr�s notre r�union de Commission qui les avait examin�s, que sept ou huit v?ux - je ne sais m�me pas le nombre�! - avaient �t� retir�s de l?ordre du jour, seul l?auteur de ces v?ux ayant �t� inform� par un "mail" de l?administration de la Ville de Paris. J?ai fait part de ma d�sapprobation � la Maire de Paris dans une lettre que je lui ai adress�e en fin de semaine derni�re. Je fais confiance � l?Ex�cutif, en lien avec les pr�sidents de groupe, pour �laborer ensemble?

Je ne pense pas qu?il y ait moyen et n�cessit� de modifier le R�glement int�rieur, mais je leur fais confiance pour �laborer ensemble une doctrine et une m�thode, claires et partag�es, visant � d�terminer les v?ux qui rel�vent de la cat�gorie des v?ux rattach�s au sens de l?article 14 de notre nouveau R�glement int�rieur et ceux qui n?en rel�vent pas. Je vous remercie.

(M. Patrick BLOCHE, adjoint, remplace M. Emmanuel GR�GOIRE au fauteuil de la pr�sidence).

M. Patrick BLOCHE, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame la Pr�sidente.

Vous avez consacr� une grande partie de votre intervention au fonctionnement des Commissions et au fonctionnement de notre Conseil, et je vous en remercie. J?ai d?ailleurs pris l?initiative de r�unir les huit pr�sidentes et pr�sidents de Commission pour que nous puissions mettre de la coh�rence, si j?ose dire, en ce d�but de mandature, pour que les fonctionnements des Commissions s?effectuent avec des r�gles communes. On ne comprendrait pas que ce qui se fait dans une Commission ne se fasse pas dans l?autre, ou inversement.

Je voudrais juste faire une rectification, puisque vous �tes une juriste �minente. Il n?y a pas eu de retrait de l?ordre du jour d?un certain nombre de v?ux non rattach�s qui n?avaient aucun objet avec les projets de d�lib�ration auxquels ils �taient rattach�s. Il y a eu une non-inscription � l?ordre du jour, et c?est le Code g�n�ral des collectivit�s territoriales qui donne � la Maire de Paris, et � elle seule, la ma�trise de l?ordre du jour.

Voil�, c?�tait simplement pour me placer dans le cadre et du R�glement int�rieur du Conseil de Paris et dans le r�glement qui s?impose � nous, qui est celui de la loi.

�