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52- 1997, P 567 - Subvention à l'Association pour le renouveau de la rue Papillon, 5, rue Papillon (9e). - Montant : 80.000 F.



M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Maintenant, nous allons examiner le projet de d�lib�ration P 567 : subvention � l'association pour le renouveau de la rue Papillon 5, rue Papillon dans le 9e. Montant : 80.000 F.
Madame MARCHIONI, vous avez la parole.
Mme Mireille MARCHIONI. - Nous voterons cette subvention pour l'organisation d'une animation commerciale dans ce quartier qui a besoin de retrouver une vie normale apr�s les �v�nements traumatisants qu'il a connus.
A l'occasion de cette d�lib�ration, je voudrais rappeler nos propositions pour requalifier ce quartier qui en a bien besoin, qui est particuli�rement d�pourvu d'�quipements sociaux et culturels.
Pourquoi la Ville n'exerce-t-elle pas son droit de pr�emption sur les immeubles anciens v�tustes pour en cr�er dans ce quartier ? Quels sont vos projets � ce sujet ? Une concertation avec la population, les associations et les �lus locaux devrait voir le jour rapidement.
D'autre part, les riverains, confront�s aux nuisances du chantier, particuli�rement au bruit, demandent que la Ville et la S.N.C.F. se concertent pour en diminuer les inconv�nients.
M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Merci, Madame MARCHIONI.
M. BOULENGER de HAUTECLOCQUE a la parole pour r�pondre � l'intervenant.
M. Jean-Marc BOULENGER de HAUTECLOCQUE, au lieu et place de M. G�rard LEBAN, adjoint, au nom de la 7e Commission. - Merci, Monsieur le Maire.
Je r�pondrai sur le projet de d�lib�ration portant sur une subvention � une association de commer�ants et Mme MARCHIONI comprendra bien que je ne puisse lui r�pondre en ce qui concerne les probl�mes de pr�emption des immeubles.
Pr�vue initialement, du 17 au 25 mai 97, la f�te des papillons a �t� repouss�e � diverses reprises, en raison de l'�lection nationale. Elle commencera demain, le 24 juin, pour se terminer le 30.
L'an dernier, une somme de 150.000 F pr�lev�e sur la provision de l'Adjoint au Maire charg� des finances, a �t� accord�e par notre Assembl�e, en raison du caract�re tout � fait exceptionnel de cette f�te imagin�e au lendemain de l'accident survenu sur le chantier " EOLE " en d�cembre 1995, f�te fort r�ussie d'ailleurs, � laquelle j'avais �t� convi� � participer, et je dois saluer une nouvelle fois les organisateurs qui savent faire preuve d'une capacit� d'imagination et de conception assez remarquable cette ann�e.
Apr�s discussion avec le Pr�sident de l'association, nous sommes convenu d'une subvention de 80.000 F imput�e sur les cr�dits de l'adjoint au Maire charg� du commerce et de l'artisanat. Je pr�cise que les autre co-financeurs sont la S.N.C.F. qui met 180.900 F dans l'op�ration, les commer�ants, les entreprises et les artisans car l'association a su, effectivement, mobiliser tout le quartier et cela m�rite aussi d'�tre salu�, pour 243.612 F, � quoi s'ajoute le produit de ventes diverses pour 25.326 F, soit, avec la subvention de 80.000 F de la Ville de Paris, un budget de 529.838 F. Pour m'�tre rendu l� bas � l'�poque, je puis vous dire que la concertation a bien fonctionn�, qu'un grand nombre de r�unions ont �t� organis�es avec la S.N.C.F. et la Ville et que nous sommes toujours tr�s attentifs au suivi de cette op�ration.
Merci, Monsieur le Pr�sident.
(Applaudissements sur les bancs des groupes " Rassemblement pour Paris " et " Paris Libert�s ").
M. Michel BULT�, adjoint, pr�sident. - Merci, Monsieur BOULENGER de HAUTECLOCQUE.
Je vais donc mettre aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration P 567.
Qui est pour ?
Contre ?
Abstentions ?
Le projet de d�lib�ration est adopt� � l'unanimit�. (1997, P 567).
Merci.

Juin 1997
Débat
Conseil municipal
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