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Mme LA MAIRE DE PARIS.- Jean-Louis, qui est tout sauf sage, mais qui ose, et ose la M�tropole. Jean-Louis MISSIKA.

M.�Jean-Louis MISSIKA, adjoint.- J?essaye d?atteindre la sagesse, Madame la Maire, mais c?est difficile.

Tout d?abord, je voudrais remercier tous les orateurs. Le d�bat �tait int�ressant, vif. Comme souvent, j?ai ressenti un peu d?injustice quand j?entendais certaines critiques. Mais enfin, je remercie tout le monde d?avoir essay� de dire les choses sur un sujet qui est vraiment tr�s difficile et compliqu�.

Je vais centrer mon intervention sur les critiques plut�t que sur les louanges ou les approbations. Je vais commencer peut-�tre par ce qu?a dit M.�Eric H�LARD sur ce document, en disant que c?�tait une liste d?actions et que cela ressemblait plus � un bilan qu?� un projet.

Je voudrais lui dire que faire le Grand Paris, c?est mener des projets � l?�chelle du Grand Paris. La liste qu?il y a dans ce document, c?est une liste de projets, dont certains ont �t� lanc�s d�s 2014, d?autres en 2016, mais tous ces projets sont des projets urbains. Or, un projet urbain, ce n?est pas sur 2�ans ou 3�ans, mais sur 10�ans, sur 20�ans.

Prenons par exemple l?Arc de l?innovation. C?est une proposition que la Ville de Paris a faite � nos voisins territoires de l?Est et du Nord de Paris. Trois territoires. Qu?est-ce que cette proposition�? C?est de travailler ensemble pour d�finir une strat�gie d?attractivit� de l?ensemble de ces territoires en direction des entreprises de la nouvelle �conomie. On sait que ces entreprises sont moins int�ress�es par l?Ouest parisien que les autres. C?est un effort conjoint pour organiser une communaut� de cr�ateurs, d?innovateurs, qui d�passe les fronti�res du p�riph�rique et concerne l?ensemble de ces territoires, parce qu?il y a des entrepreneurs, des artistes, des cr�ateurs, des chercheurs sur l?ensemble de ces territoires. C?est un effort urbain de r��quilibrage entre l?Est et l?Ouest, parce qu?aujourd?hui, notre M�tropole est d�s�quilibr�e. Les logements sont � l?Est et les emplois sont � l?Ouest, ce qui cr�e des probl�mes de mobilit� consid�rables. Ce que nous faisons avec ces territoires, c?est de travailler ensemble � ce r��quilibrage. C?est un projet sur 20�ans, qui a �t� lanc� au cours de cette mandature. Ce n?est pas un bilan de mandature.

Je pourrais en dire autant en ce qui concerne "Inventons la M�tropole". "Inventons la M�tropole" est une reprise de "R�inventer Paris". C?est la Maire de Paris qui a propos� � Patrick OLLIER de refaire au niveau de la M�tropole ce que nous avons fait et r�ussi avec "R�inventer Paris". "Inventons la M�tropole" est un projet qui va s?�taler sur 20�ans. Cela ne fait pas partie d?un bilan. C?est une vision vraiment �triqu�e de croire qu?� partir du moment o� un truc est annonc�, il est d�ploy�. Non. On est dans de l?urbanisme, dans de l?architecture, dans de l?am�nagement du territoire. C?est pour cela que c?est extr�mement important. C?est pareil pour la zone � faibles �missions. La Z.F.E. est un projet sur les�5 � 10�prochaines ann�es. C?est un moyen de sortir du diesel. Faire la Z.F.E. est une fa�on que Paris a de coop�rer, peut-�tre en avance de phase, avec les autres villes de la M�tropole pour construire une ville � la fois r�siliente et respirable. Il en va de m�me pour GEMAPI, pour le sch�ma m�tropolitain d?am�nagement num�rique, cher � Daniel-Georges COURTOIS.

Tout cela, ce sont des id�es qui se sont transform�es en projets, qui ont �t� vot�s par des instances et se d�ploieront dans les�10 ou les�20 prochaines ann�es.

Que dire des Jeux olympiques et paralympiques�? C?est un outil fondamental pour la M�tropole du Grand Paris non seulement pour construire son identit�, parce que cet �v�nement construira une identit� Grande Parisienne, mais aussi parce que c?est un outil d?acc�l�ration de la transformation d?un territoire fondamental pour le Grand Paris qu?est la Seine-Saint-Denis et notamment Plaine Commune.

Et m�me sur des choses plus petites, comme la participation d?Est Ensemble au syst�me de formation que nous avons mis en place et qui s?appelle "ParisCode", comme la participation d?un certain nombre de communes et de territoires � TUMO, l?�cole que nous avons lanc�e en plein c?ur de Paris pour que les jeunes m�tropolitains puissent se former � la cr�ation num�rique.

Je voudrais donner un autre exemple qui est cit� dans la communication et que peu de gens ont �voqu�. Je fais une exception pour Catherine BARATTI-ELBAZ. La transformation des portes de Paris en places du Grand Paris�: voil� un projet m�tropolitain fondamental qui va nous mobiliser tous, tous les territoires concern�s, pour les�20 prochaines ann�es. Nous avons fait la porte de Vanves et la porte des Lilas. La porte Maillot, chacun s?en aper�oit, est en construction. La livraison est pr�vue en 2023. Porte de Montreuil�: livraison en 2023. Porte de Vincennes�: livraison en 2021. Porte Pouchet�: elle va �tre livr�e cette ann�e. Porte de Bagnolet, dont Python-Duvernois�: en 2022. Porte de la Chapelle, porte d?Aubervilliers, porte d?Ivry, porte de la Villette, porte de Versailles, les portes du 18e arrondissement avec Clignancourt, Montmartre et Poissonniers. Il faut se rendre compte que le chantier que nous avons lanc� en d�but de mandature est �norme. Ce chantier va se prolonger lors de la prochaine mandature et sans doute m�me dans celle d?apr�s. Il faut se rendre compte que c?est ainsi que l?on construit la M�tropole. C?est ainsi que l?on fait la M�tropole du Grand Paris. C?est pour cela que la M�tropole doit �tre une M�tropole des projets, et pas une M�tropole des institutions.

La Maire de Paris et d?autres orateurs ont insist� �galement sur la m�tropolisation de tous les outils de la Ville de Paris. Je pense � l?APUR, � la SEMAEST, � "Paris & M�tropole Am�nagement", � "Paris&Co". La transformation de ces outils en outils m�tropolitains est �galement la fa�on qu?a eue la Ville de Paris de participer � l?effort m�tropolitain et d?offrir � la M�tropole des outils qui ont fait leurs preuves � l?�chelle de la Ville.

Parmi toutes les interventions, je voudrais tout de m�me en citer une qui me para�t tout � fait int�ressante�: celle de Julien BARGETON. Je souhaite le f�liciter, parce que jamais je n?ai entendu une critique aussi f�roce et pertinente de l?action ou plut�t de l?inaction du Gouvernement et du pr�sident de la R�publique sur le Grand Paris. On nous annon�ait, en tout d�but de mandature, un "Big Bang". Je dois dire que l?on n?a rien vu venir, pas de "Big Bang", rien du tout. On a le sentiment que la politique actuelle, c?est celle du�: "il est urgent de ne rien faire".

Je voudrais rappeler au s�nateur BARGETON. C?est le l�gislateur, pas la Ville de Paris, qui doit d�finir les r�gles du jeu, les voies et les moyens d?une gouvernance efficace. Nier cela, c?est nier l?�vidence. Paris d�fend des positions claires, et depuis longtemps, sur la question de la gouvernance du Grand Paris. Quelles sont les positions que nous d�fendons�? Nous disons qu?il faut une gouvernance de la zone dense. La R�gion Ile-de-France n?est pas le lieu o� l?on peut avoir une gouvernance de la zone dense. Nous disons que les communes et les agglom�rations de communes doivent �tre au c?ur de cette gouvernance. Cela para�t une �vidence quand on voit le r�le des maires, notamment au cours de la p�riode r�cente.

Nous disons que la gouvernance doit permettre une vraie coop�ration entre les territoires. Le drame du Grand Paris est que les institutions du Grand Paris divisent plus qu?elles ne rassemblent. C?est la responsabilit� du l�gislateur, Monsieur le S�nateur, de faire en sorte que les outils soient des outils de coop�ration, non pas d?affrontement. Nous avons besoin d?un choc de coop�rations pour le Grand Paris. Il faut d�fricher de nouvelles formes de gouvernance. Il faut exp�rimenter.

Je voudrais vous rappeler quelques chiffres qui sont extr�mement instructifs. 30�% des actifs du Grand Paris vivent en grande couronne francilienne. 6�% vivent en dehors de l?Ile-de-France. Au moins 15�% du revenu produit dans l?agglom�ration parisienne se distribuent en dehors. Ces donn�es doivent nous questionner sur les instances de gouvernance. Puisqu?une part croissante des actifs de la M�tropole ne vivent ni ne votent dans la collectivit� o� ils travaillent, �tudient, font leurs achats, comment organiser la prise de d�cision et la participation citoyenne�? Les citoyens veulent des �lus de proximit�, mais revendiquent aussi d?�tre consult�s pour des d�cisions qui concernent leur quotidien hors de leur commune de r�sidence. Aucun d�coupage de la M�tropole, aucune r�partition des comp�tences ne r�soudront ce paradoxe. Ils risquent au contraire de l?aggraver. C?est pourquoi nous parlons de "communs m�tropolitains". C?est pourquoi nous disons que les outils de gouvernance qui doivent �tre cr��s sont des outils de gouvernance des communs m�tropolitains.

Je voudrais dire un dernier mot sur la conf�rence m�tropolitaine des parties prenantes, qui est l?une des grandes propositions faites par la Maire de Paris sur l?organisation de la future M�tropole. Anne HIDALGO a fait allusion � la COP, c?est-�-dire la conf�rence des parties organis�e annuellement par l?ONU sur le climat. Je crois que c?est un bon exemple de l?efficacit� de ce mod�le. L?id�e est relativement simple. La M�tropole du Grand Paris ne doit pas �tre une M�tropole o� la conversation est exclusivement entre les maires et les fonctionnaires. Il faut que toutes les parties prenantes soient concern�es et participent � l?�laboration de ce projet m�tropolitain.

C?est pourquoi il doit y avoir une conf�rence, un espace de d�bat sur l?int�r�t m�tropolitain, qui d�bouche sur des orientations strat�giques et des propositions d?actions ouvertes � toutes les parties prenantes, organis�e p�riodiquement sur des s�quences limit�es, par exemple sur une dizaine de jours tous les ans, sur des th�matiques sp�cifiques. Elle associe, sur des p�riodes limit�es, les collectivit�s territoriales, les acteurs publics et priv�s, la soci�t� civile et l?Etat dans un cycle de d�bats, de s�minaires et de manifestations qui peuvent se d�rouler � plusieurs endroits du Grand Paris. Je pense qu?une conf�rence des parties prenantes de cette sorte peut �tre lanc�e d�s 2020. Elle pourrait porter sur la discussion du projet de loi de r�forme, notamment sur tous les sujets qui f�chent�: quel territoire, quelle fusion, quel financement, quelle gouvernance.

Je voudrais terminer sur une derni�re remarque. L?APUR et l?I.A.U. ont pr�sent� ce matin, au Forum m�tropolitain, une analyse des financements et des m�canismes de financement de l?ensemble des acteurs de la M�tropole du Grand Paris. On s?aper�oit qu?il y a des baisses de dotations, des baisses de financements � tous les niveaux�: au niveau des communes, des territoires, des d�partements, de la M�tropole du Grand Paris. Il est absolument impossible de faire une v�ritable r�forme de structure en m�me temps qu?il y a une baisse des budgets. On sait tr�s bien que, financi�rement, il est n�cessaire de financer la r�forme de structure. Je pense que, l� aussi, il faudrait qu?il y ait un minimum de coh�rence dans la politique men�e pour que l?on puisse enfin avoir un outil � la hauteur des enjeux de la M�tropole du Grand Paris. Je vous remercie.

Mme LA MAIRE DE PARIS.- Merci beaucoup pour votre excellente intervention, cher Jean-Louis MISSIKA, qui montre la vision et les pas concrets mis au service de cette vision. Je n?ajouterai qu?un seul point.

Paris, au sein de cette M�tropole et de cette zone dense, a une fonction d?innovation. Et celle-ci, on la revendique, je la revendique. Cela veut dire qu?il y a des sujets sur lesquels nous devons �tre pr�curseurs. C?est aussi la fonction de Paris. On l?a �t� sur les mesures adopt�es � une majorit� ici, dans ce Conseil, puisque �videmment, tout ce qui se d�cide � Paris est adopt� au sein de ce Conseil municipal dans les r�gles d�mocratiques de coll�gialit�, de d�bat et de contradiction publique. Mais nous avons adopt� des r�gles sur les questions de lutte contre la pollution, sur les questions relatives � l?interdiction du diesel � partir de 2024 et des moteurs thermiques � partir de 2030. Nous l?avons vot� ici et port� avec nos coll�gues, au sein de la M�tropole du Grand Paris, la Z.F.E., qui est un instrument extraordinaire.

S?il avait fallu attendre que tout le monde soit d?accord autour de nous sur la sortie du diesel, qui �tait une d�cision assez radicale, mais dont on assume et j?assume la radicalit�, parce que c?�tait une condition radicale n�cessaire pour la sant� publique de nos habitants. S?il avait fallu attendre que les 131�maires soient d?accord, on aurait perdu du temps. Donc, il y a des sujets sur lesquels il faut accepter le risque pris d?avoir effectivement un temps d?avance. Cela rappellera de beaux souvenirs � certains. Ce temps d?avance, c?est la fonction de Paris. Et l?on ne va pas faire en sorte que cette fonction n?existe plus. D?ailleurs, ce n?est pas une fonction r�cente de Paris. Je cite souvent Victor Hugo et un ouvrage de 1867. Lisez-le, il est tr�s inspirant. En tous les cas, il m?inspire tous les jours. Dans cet ouvrage tr�s inspirant, il y a un chapitre entier sur la fonction de Paris, dans lequel la fonction de Paris est justement cet agitateur, cette modernit�, cette capacit�. Je n?aurai �videmment pas ici le lyrisme de Victor Hugo. A l?�poque, on ne parlait pas de changement climatique, mais il disait que Paris avait aussi cette fonction d?�clairer par sa capacit� � innover.

Et donc, c?est dans cette tradition que nous nous situons lorsqu?effectivement, nous posons des actes, qui parfois peuvent faire discussion, mais qui sont dict�s, par exemple, par un imp�ratif de sant� publique et de respect de l?environnement. Quand ce sont ces causes nobles qui nous animent, il faut accepter d?avoir ce temps d?avance. Je constate avec bonheur que lorsque l?on a ce temps d?avance sur des causes nobles et fortes, on entra�ne. C?est aussi cela, la fonction de Paris. Pas tous seuls. Il y a beaucoup de choses qui s?inventent tout autour de nous sur les territoires de la M�tropole. Je pense notamment � la culture, � l?�nergie qu?il y a dans toutes ces villes voisines, qui nous apprennent �norm�ment sur nous-m�mes et nous bousculent. Et donc, il faut accepter ce jeu-l�. Il faut accepter aussi de se faire bousculer, parce qu?il y a des territoires tr�s innovants dans cette M�tropole du Grand Paris qui nous poussent � �tre plus ouverts, � �tre peut-�tre moins technocratiques, moins attendus. Je pense aux questions relatives � la place de la culture et de l?art.

Voil� ce que je voulais dire en conclusion de ce d�bat, un d�bat extr�mement important qui va continuer � occuper les �lus de Paris dans le r�le qui est le leur, qui ne se substitue en aucun cas au l�gislateur. Au l�gislateur de faire son travail. Mais je pense qu?avec la proposition phare qu?il y a dans cette communication ce matin, il y a de quoi permettre au l�gislateur et au Gouvernement de faire son miel de nos propositions pour continuer � fabriquer cette M�tropole qui est essentielle pour am�liorer la qualit� de vie de nos habitants, pas simplement � Paris mais dans toute la M�tropole.

Je vous remercie.

Je vais maintenant vous proposer de proc�der au vote, d?abord d?un amendement technique, et puis des v?ux et des projets de d�lib�ration.

Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u n��1 d�pos� par le groupe Socialiste et Apparent�s, avec un avis favorable de l?Ex�cutif.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le v?u est adopt�. (2019, V. 196).

Je mets aux voix, � main lev�e, l?amendement technique n��2�bis d�pos� par l?Ex�cutif.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

L'amendement technique n��2 bis est adopt�.

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SG�15, ainsi amend�.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration amend� est adopt�. (2019, SG 15).

En r�ponse au v?u n��3 d�pos� par Mme SIMONNET, l?Ex�cutif a d�pos� un v?u n��3�bis.

Madame SIMONNET, est-ce que vous le retirez�?

Mme�Danielle SIMONNET.- Je ne le maintiens pas.

Mme LA MAIRE DE PARIS.- D?accord. Tr�s bien. Merci.

Je mets aux voix, � main lev�e, le v?u n��3�bis d�pos� par l?Ex�cutif.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le v?u est adopt�. (2019, V. 197).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DPE�38.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DPE 38).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SG�21.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, SG 21).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SG�31.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, SG 31).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SG�33.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, SG 33).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration SG�35.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, SG 35).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DPE�7.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DPE 7).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DPE�27.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DPE 27).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DAC�62.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DAC 62).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DAC�387.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DAC 387).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DAC�399.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DAC 399).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD�42.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DVD 42).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD�44.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DVD 44).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD�49.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DVD 49).

Je mets aux voix, � main lev�e, le projet de d�lib�ration DVD�57.

Qui est pour�?

Qui est contre�?

Qui s?abstient�?

Ne prend pas part au vote�?

Le projet de d�lib�ration est adopt�. (2019, DVD 57).

Mme LA MAIRE DE PARIS.- Comme il n?y a pas de vote sur la communication, l?ensemble des projets de d�lib�ration, v?ux et amendement viennent d?�tre adopt�s, je vous en remercie. Et de fa�on totalement consensuelle puisque je crois qu?ils ont �t� vot�s � l?unanimit�, ce qui est int�ressant � faire valoir. Quand l?int�r�t sup�rieur des Parisiens nous anime, cela marche bien.

Juin 2019
Débat
Conseil municipal
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