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M. Ian BROSSAT, adjoint, pr�sident.- Nous passons � la 3e Commission et, conform�ment au r�glement int�rieur du Conseil de Paris, je donne la parole � son pr�sident, M. Claude DARGENT.

M. Claude DARGENT.- Merci, Monsieur le Maire.

Comme l?avait souhait� notre Conseil, la s�ance de la 3e Commission s?est ouverte par une pr�sentation du bilan de l?activit� des fourri�res par Francis PACAUD, chef du service des d�placements de la DVD. C?�tait le premier bilan depuis le transfert de cette activit� � la Ville. Il �tait notamment indiqu� que les fourri�res sont g�r�es en r�gie, tandis que l?enl�vement des v�hicules est assur� par des prestataires externes. Ce service s?articule aujourd?hui autour de 6�pr�fourri�res et 3�fourri�res. L?activit� a �t� l�g�rement plus faible en 2018 avec une augmentation r�guli�re de la part des deux-roues motoris�s.

Apr�s une pr�sentation du fonctionnement du march� d?enl�vement ont �t� pr�sent�s les co�ts et les recettes�: un co�t de 9,1�millions d?euros pour des recettes � hauteur de 25�millions d?euros. Les recettes marquent une baisse qui s?explique par une diminution d?entr�es en pr�fourri�re, lors de cette ann�e de bascule pour cette nouvelle comp�tence de la Ville. D?autre part, c?est par la part croissante des deux-roues motoris�s que j?�voquais, puisque ces deux-roues d�clenchent �videmment des recettes inf�rieures � celles d?une automobile.

Des �volutions susceptibles d?impacter l?organisation du march� ont �t� pr�sent�es, notamment la fermeture de la pr�fourri�re Balard et la r�duction de moiti� de la capacit� de la pr�fourri�re Pantin pendant une p�riode transitoire de quatre ann�es.

J?ai ensuite interrog� Francis PACAUD sur l?int�r�t de maintenir un double service de pr�fourri�re. Philippe GOUJON, de son c�t�, s?est �tonn� de l?annonce de la fermeture de la pr�fourri�re Balard. Francis PACAUD a r�pondu que le syst�me de pr�fourri�re et fourri�re �tait n�cessaire pour des questions d?espace. Quant � la fermeture de la pr�fourri�re Balard, c?est une n�cessit� pour des raisons de s�curit�, celle-ci n?�tant pas aux normes et les travaux n�cessaires semblant trop on�reux.

Je ne reviens pas sur la pr�sentation des r�sultats de la M.I.E. sur le p�riph�rique, dont nous avons largement discut�.

Nous sommes ensuite pass�s aux projets de d�lib�ration.

C�lia BLAUEL a pr�sent� des projets de d�lib�ration pr�voyant des subventions � des associations pour leur action en faveur de la lutte contre la pr�carit� �nerg�tique, ainsi que celui portant sur le budget annexe de l?assainissement et de l?eau. Elle a �galement pr�sent� le projet de d�lib�ration relatif � l?optimisation de la collecte s�lective des papiers et des emballages m�nagers.

Colombe BROSSEL a ensuite pr�sent� les projets de d�lib�ration organisant les subventions � des associations intervenant dans les quartiers "politique de la ville".

P�n�lope KOMIT�S a mentionn� un certain nombre de projets de d�lib�ration relatifs � des jardins et � des jardins partag�s. Elle a �galement pr�sent� les deux projets de d�lib�ration relatifs aux affaires fun�raires�: celui concernant la conception et la construction d?un parc fun�raire et l?exploitation des cr�matoriums parisiens d?une part, et celui concernant la gestion du service ext�rieur des pompes fun�bres d?autre part. Ce sont des projets de d�lib�ration sur lesquels nous aurons l?occasion de revenir.

Enfin, Christophe NAJDOVSKI a pr�sent� le projet de d�lib�ration relatif aux mesures de gratuit� pour les transports en commun pour les jeunes Parisiens. Voici un r�sum� des d�bats de la 3e Commission. Je vous remercie. (M.�Paul SIMONDON, adjoint, remplace M.�Ian BROSSAT au fauteuil de la pr�sidence).

M. Paul SIMONDON, adjoint, pr�sident.- Merci beaucoup, Monsieur le Pr�sident.

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