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M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Nous passons � l?examen de v?ux non-rattach�s, et tout d?abord le v?u n��133 relatif � un hommage du Conseil de Paris aux mort.e.s de la rue.

Je donne la parole � M.�Pascal JULIEN.

M.�Pascal JULIEN. - Merci.

C?est parce que nous avons d�pos� ce v?u qu?il y a eu ce matin l?hommage? Hier, pardon. A force d?�tre ici du matin au soir? Bient�t, on pourra apporter son duvet et dormir ici.

Parce que le groupe des �cologistes a d�pos� ce v?u, il y a eu hier cette minute de silence forte, j?ai envie de dire. Nous souhaitons qu?elle se renouvelle � l?avenir.

Notre v?u ayant �t� exauc� � l?avance, j?anticipe en disant que l?on ne va pas le maintenir. Cela n?aurait pas de sens.

C?est marginal ce que je dis par rapport � la cause d�fendue, mais j?aurais trouv� de bonne courtoisie que la Maire dise d?o� venait cette initiative. Elle ne l?a pas fait. Nous avons donc laiss� ce v?u. Je dis les choses maintenant. Tout va bien, on reste ami, mais enfin, je pense qu?un peu de respect et de courtoisie, entre alli�s, c?est plut�t bien. Ce que je dis est vraiment secondaire, au regard de la r�alit� de ces 566�morts recens�es par l?association "Morts de la rue", en sachant que ce chiffre reste un chiffre, h�las, incertain. Je vous remercie.

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Merci.

Pour vous r�pondre, Dominique VERSINI.

Mme�Dominique VERSINI, adjointe. - Merci, Monsieur le Maire. Mes chers coll�gues, cher Pascal JULIEN, je n?ai pas tout � fait compris ce que vous avez dit ou sous-entendu.

Il y a eu cette minute de silence, et c?est tr�s bien que vous l?ayez sugg�r�, mais je pense que la Ville de Paris et le collectif "Morts de la rue" sont absolument convaincus que nous sommes tous aupr�s d?eux et que notre action permanente et continue est une action aupr�s des gens de la rue.

Nous les soutenons �galement, et c?est normal, nos services fun�raires les accompagnent aussi pour permettre l?accompagnement des personnes en situation de rue sur Paris.

Je crois qu?il n?y a rien � dire d?autre, sauf le fait que, quand m�me, nous sommes tous dans cet h�micycle, de fa�on unanime, tout � fait exemplaires aupr�s du collectif "Morts de la rue" et qu?ils le savent parfaitement. Merci en tout cas de votre intervention.

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Le v?u est donc retir�?

M.�Pascal JULIEN. - Oui, c?est cela.

Voeu d�pos� par le groupe Ecologiste de Paris relatif � l'adh�sion � l'Association nationale des villes et territoires accueillants.

Avril 2019
Débat
Conseil municipal
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