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Vœu déposé par le groupe les Républicains et Indépendants relatif à la sécurisation des écoles et crèches parisiennes.


M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Nous examinons le v?u n��51 relatif � la s�curisation des �coles et cr�ches parisiennes.

La parole est � M. Jean-Baptiste MENGUY.

M. Jean-Baptiste MENGUY. - Merci, Monsieur le Maire.

La question de la s�curit� dans les �coles et les cr�ches est primordiale. Les �v�nements malheureux de d�cembre montrent que la question de la s�curit� reste �minemment d'actualit�. Il y a eu un exercice P.P.M.S. dans les �coles, il y a quelques semaines, qui a montr� de nombreux dysfonctionnements, des carences encore en mati�re d'�quipement, d'alarme et puis de dispositif anti-intrusion. C'est encore un sujet d'actualit� que nous ne devons pas prendre � la l�g�re et sur lequel des efforts, qui ne sont pas que financiers mais aussi mat�riels, doivent �tre accomplis. C'est la raison pour laquelle, � partir des retours terrains des cr�ches, via ma coll�gue Fran�oise MALASSIS, et des �coles, via Chantal ROLGEN, Philippe GOUJON a souhait� d�poser ce v?u afin que les maires d'arrondissement aient un retour d'exp�rience sur ces exercices et �galement pour que toutes les r�parations, les mises en place, les mises aux normes soient rapidement effectu�es pour s�curiser durablement et de fa�on p�renne contre les intrusions, � la fois les �coles et les cr�ches de tout Paris. Je vous remercie.

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Merci beaucoup.

Monsieur Patrick BLOCHE, vous avez la parole.

M. Patrick BLOCHE, adjoint. - J'ai pris connaissance avec attention de ce v?u, puisqu'il �voque une pr�occupation qui peut ne nous �tre que commune, � savoir la s�curit� des enfants accueillis dans les cr�ches et les �coles parisiennes. Assez curieusement, il est fait r�f�rence � une op�ration dite P.P.M.S., Plan particulier de mise en s�ret�, qui a vis� justement � voir l'aspect op�rationnel ou non de la s�curit� des �coles et des coll�ges. J'�tais moi-m�me dans une �cole du 3e arrondissement. Je le dis tr�s sinc�rement, je n'ai pas entendu l'alarme alors que j'�tais dans le r�fectoire. C'est justement ce type d'op�ration qui permet de faire le diagnostic, le constat et de corriger d'�ventuelles failles ou d�faillances. Je dis cela parce que j'aimerais beaucoup que ce v?u soit retir�, surtout que je travaille de mani�re toujours constructive avec la mairie du 15e arrondissement, car il laisserait entendre que nous ne faisons pas le travail en ce domaine. Je ne pense pas que ce soit l'esprit de celles et ceux qui l'ont d�pos�, et cet �change ayant eu lieu au sein de notre Assembl�e, je regretterais beaucoup d'y donner un avis d�favorable s'il �tait maintenu.

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Donc, une demande de retrait�? Est-il retir�?

M. Jean-Baptiste MENGUY. - En accord et sur les bons conseils du maire du 15e, nous souhaitions vraiment attirer l?attention sur ce sujet. Nous retirons le v?u compte tenu des �changes que nous avons avec les services sur ce travail. N�anmoins, beaucoup de choses restent encore � faire.

M. Emmanuel GR�GOIRE, premier adjoint, pr�sident. - Je vous remercie.

Février 2019
Débat
Conseil municipal
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