retour Retour

3 - Rappel au règlement


M. LE pr�sideNT. - Nous allons passer � l'examen de la mise en ?uvre des nouvelles actions prioritaires du 12e Programme d�partemental d'insertion et des engagements pluriannuels en faveur de l'insertion des allocataires du R.M.I. � Paris.
Je vais m'exprimer bri�vement, Apr�s quoi deux vice-pr�sidentes, Gis�le STIEVENARD etMyl�ne STAMBOULI, s'exprimeront et le d�bat suivra.
Je pr�cise simplement que je serai oblig� de partir � 9 heures 20 puisque je dois (pas besoin de le commenter, je pense que c'est de mon devoir) rejoindre le Pr�sident de la R�publique pour la c�r�monie qui honore la m�moire des harkis.
M. Christophe NAJDOVSKI. - Un rappel au r�glement, Monsieur le Maire...
M. LE pr�sideNT. - Je vous en prie, mais bri�vement, parce que sinon je ne vais m�me pas pouvoir parler du P.D.I. !
M. Christophe NAJDOVSKI. - Nous �tions en s�ance hier soir tard et il avait �t� convenu que la s�ance durerait jusqu'� minuit. Or, des votes ont eu lieu Apr�s minuit, ce qui est un viol de l'accord tacite qui avait �t� pris devant les Conseillers, et un certain nombre de v?ux que nous avions d�pos�s ont donc �t� vot�s Apr�s minuit en notre absence...
M. Sylvain GAREL. - Et rejet�s !
M. Christophe NAJDOVSKI. - ... et rejet�s.
Donc, Apr�s votre intervention sur le P.D.I., puisque vous devez partir, je demanderai une suspension de s�ance, Monsieur le Pr�sident.
M. LE pr�sideNT. - La suspension de s�ance est de droit et vous savez que c'est le Maire qui en fixe la dur�e ; donc, on verra... Il faudra que cela reste raisonnable.
Pour le reste, c'est bien de dire qu'on ne va pas au-del� de minuit, mais en m�me temps, qu'est-ce que vous voulez... tout le monde souhaite des ordres du jour extr�mement charg�s, on a trois, quatre communications, pr�s de 700 projets de d�lib�ration... Pour ma part, je suis content que cette Assembl�e travaille beaucoup. Alors, faisons le sacrifice, toutes les quatre semaines, de deux jours et une nuit. Je ne suis pas tellement favorable aux s�ances de nuit, je vous le dis tout de suite, parce qu'on ne travaille pas bien... regardez, on n'est pas tr�s nombreux ce matin...
M. Yves CONTASSOT. - On n'�tait pas plus nombreux hier soir !
M. LE pr�sideNT. - Oui, je sais.
Sur le r�glement int�rieur, je vois plein d'avanc�es... On va disposer des d�lib�rations 12 jours avant, c'est formidable ! Je suis tr�s content, ce sont des progr�s ; pour ma part, �tant un vieux Conseiller de Paris ayant si�g� surtout dans l'opposition, je dois dire que tout ce qui va dans le sens d'une meilleure intervention par une meilleure information de tous les Conseillers, c'est du bon travail.
En m�me temps, je nous dis � tous, qui que nous soyons : ne nous mettons pas la barre tellement haute qu'on ne pourrait pas la franchir. Si, par exemple, parfois, il faut si�ger jusqu'� minuit et quart, eh bien... peut-�tre que c'est un petit sacrifice qu'on doit demander.
Apr�s votre interruption de s�ance, le Maire adjoint qui s'occupe de l'organisation des s�ances, qui semble faire l'unanimit� d'Apr�s ce que j'ai compris, essayera de surmonter cette difficult�.
Vous permettez qu'on passe maintenant au P.D.I. ? Vous ferez Apr�s votre interruption de s�ance.

Septembre 2001
Débat
Conseil général
retour Retour